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Dieu, les autres et le temps : au lieu de vouloir contrôler ces trois réalités, nous serions mieux inspirés de les considérer comme des grâces à accueillir avec gratitude.
La Modernité nous a donné le goût du contrôle, de la maîtrise de toute chose. Le vrai bonheur consiste à goûter les différentes dimensions de la réalité comme des dons ou des grâces plutôt que comme des objets sur lesquels faire main basse. Dieu est foncièrement généreux. Il a donné à l’homme, sa créature, une telle dignité que la tête a fini par lui tourner. L’homme s’est pris pour Dieu ! Au lieu d’attribuer son excellence à la munificence du Créateur, la créature a cru dans sa présomption que cette excellence était son fait ! Toutefois, combien de démentis la réalité apporte-t-elle à cette prétention ! L’homme sent bien qu’il n’est pas Dieu et qu’il n’est pas capable de Lui commander. Mais son Créateur n’est pas la seule réalité dont il n’est pas maître. Il ne contrôle ni ses semblables ni le temps qui lui échappe et le conduit vers la mort. Pourtant, dans sa folie, l’homme ne désarme pas. De toute force, dans son orgueil vertigineux, il désire toujours se rendre maître de ces trois réalités qui lui échappent. Comment procède-t-il pour y parvenir ?
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"Œcuménisme du sang", cette belle formule du pape François pour désigner l’unité dans la persécution trouve une résonance particulière en cette semaine de prière pour l’unité des chrétiens : dans de nombreux pays du monde, les persécutions croissent. À quoi il serait possible d’ajouter un "œcuménisme du silence", tant ces persécutions se font souvent dans une indifférence totale, observe le géopoliticien Jean-Baptiste Noé.
En matière de bruit médiatique, le nombre ne fait pas toujours l’actualité. Dans de nombreux pays, les persécutions contre les chrétiens sont en augmentation, sans que cela ne suscite beaucoup de commentaires. Afrique, Asie, Amérique centrale, que les rapports émanent de l’Aide à l’Église en détresse (AED) ou de l’ONG protestante Portes ouvertes, les données sont sensiblement les mêmes : les persécutions augmentent et les chrétiens sont des victimes faciles. Le tout dans une relative indifférence.
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Un homme armé d’une machette a ciblé deux églises d'Algésiras, dans le sud de l’Espagne, ce mercredi 25 janvier aux alentours de 19 heures. Il a blessé un prêtre et tué un sacristain après lui avoir porté plusieurs coups de machette.
Une violente attaque a eu lieu mercredi 25 janvier vers 19 heures, dans deux églises situées dans le sud de l’Espagne. L’assaillant s’est introduit dans une première église, San Isidro d’Algésiras. Armé d’une machette, il a grièvement blessé le père Antonio Rodriguez, vicaire paroissial de la paroisse de María Auxiliadora. Âgé de 74 ans, le prêtre est pour le moment dans un état stable. Le suspect se serait disputé quelques heures auparavant avec des paroissiens en leur donnant l’injonction de se convertir à l’islam. Il s’est rendu ensuite dans l’église Nustra Señora de La Palma, située à quelques mètres, dans laquelle il a brisé des crucifix avant de s’attaquer au sacristain, Diego Valencia, avec son arme blanche. Celui-ci a tenté de s’enfuir avant d’être rattrapé à l’extérieur par le terroriste, qui lui a infligé plusieurs coups mortels.
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Un homme a ouvert le feu sur plusieurs personnes alors qu’elles sortaient d’une église, dans le nord de Londres, samedi 14 janvier. Six d’entre elles ont été blessées, parmi lesquelles une petite fille de 7 ans qui se trouve entre la vie et la mort. Un suspect a été interpellé dimanche.
Alors que des fidèles catholiques sortaient d’une messe en l’église St Aloysius d’Euston de Londres samedi 14 janvier, un homme armé a surgi en voiture et déclenché une fusillade, vers 14h30 heure française. Il a tiré plusieurs coups de feu, blessant six personnes, dont deux petites filles âgées respectivement de douze et sept ans. La première a pu quitter l’hôpital après avoir été soignée pour de légères blessures aux jambes, mais la plus jeune est quant à elle toujours hospitalisée, dans un état critique. Quatre autres femmes, âgées de 21 à 54 ans, dont la vie n’est pas en danger, sont également à l’hôpital.
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