Depuis l’origine, le génie de l’homme rêve devant les merveilles infinies de la Création. En rêvant ainsi, observe le père Benoist de Sinety, curé de la paroisse Saint-Eubert de Lille, l’homme partage le rêve de Dieu, un rêve de création toujours renouvelée dans l’amour incarné.

Des pêcheurs d’éponges qui naviguent, au printemps 1900, le long de la côte d’Anticythère, une île grecque au sud du Péloponnèse. L’un des plongeurs, brandissant une main de bronze pêchée sur place, dira qu’il a vu des corps nus et des chevaux au fond de l’eau. Le monde découvrira qu’il s’agit en fait d’une épave romaine coulée en 86 avant Jésus Christ, à l’époque où l’Empire dévastait les dernières cités grecques et les pillait de leurs trésors. L’embarcation faisait route vers la Ville avec, à son bord, quelques chefs d’œuvre comme cet Éphèbe d’Anticythère attribué à Lysippe et conservé au Musée national archéologique d’Athènes. 

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