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Comment agir sans craindre ni l'échec ni le jugement ? Comment ne plus avoir peur à l'idée du rejet ? Voici cinq exercices pour trouver sa place au milieu des autres.
« Depuis mon adolescence, j’ai beaucoup de mal à m’intégrer dans différents groupes de personnes », confie à Aleteia Laure, documentaliste parisienne de 31 ans. À l’époque, qu’il s’agisse d’un groupe de prière ou d’un cours de gym, à chaque rendez-vous, la jeune femme ressentait toujours la peur d’être rejetée. « J’ai même développé une sorte de réflexe : celui de croire qu’avant même d’avoir dit quoique ce soit, je serai déjà repérée et aussitôt rejetée. Aujourd’hui, je me suis installée à Paris pour commencer mon premier job. C’est à nouveau le même mécanisme qui se met en place. Je pense qu’il y a réellement quelque chose chez moi qui provoque un manque d’acceptation de la part des autres. Est-ce à cause de mon éducation trop « vieille école » ? Ma timidité ? Mon manque de confiance en moi ? Je ne sais pas, mais je suis coincée dans une spirale de plus en plus puissante qui me fait éviter toute rencontre possible », confie-t-elle convaincue que sans aide, elle n’y arrivera pas.
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L’épreuve du grand oral du baccalauréat démarre ce lundi 19 juin. Les grands timides peuvent se tourner vers le Seigneur pour lui demander la force et le courage d’ouvrir la bouche face aux examinateurs.
Bien entendu, implorer le Seigneur n’est pas une formule magique. Réclamer son aide n’exclut pas des révisions dignes de ce nom et un travail sérieux tout au long de l’année. Néanmoins, lorsqu’un étudiant a fait tout ce qui lui était possible de faire, et qu’il reste tétanisé, à cause de sa timidité, à l’idée de devoir parler durant vingt minutes, ce verset de la Bible peut lui être d’un grand réconfort.
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À l’occasion de la fête du Saint-Sacrement, célébrée cette année dimanche 11 juin, découvrez ces quatre mots qui résument le sacrifice de la messe et qui sont un excellent guide pour la vivre encore plus profondément.
La sainte Messe est une réalité si profonde et mystique que tous les livres de la terre ne seraient pas suffisants pour la décrire. Pourtant, quatre mots clés peuvent la résumer. Pendant la prière eucharistique, au moment de la consécration du pain, le prêtre dit :
« Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant : « Ceci est mon corps livré pour vous ». »
Ces mots sont donc prendre, rendre grâce, rompre et donner. Cela vaut la peine de réfléchir davantage sur ces mots pour mieux comprendre ce que l’Eucharistie dit de Jésus et ce qu’elle invite à faire. Cela vous aidera aussi à la vivre encore plus profondément.
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Envoyé par le pape François en Ukraine, le cardinal Zuppi a rencontré le président Zelenski. Pour notre chroniqueur Michel Cool, cette mission de déminage illustre bien la vocation diplomatique essentielle de l’Église catholique.
Le pape François a dépêché à Kiev, les 5 et 6 juin derniers, le cardinal Matteo Zuppi pour rencontrer des acteurs humanitaires et politiques de l’Ukraine en guerre, depuis son invasion par la Russie, dans la nuit du 23 au 24 février 2022. Le point d’orgue de sa visite a été sa rencontre avec Volodymyr Zelenski. Devant l’émissaire du Pape, le président ukrainien en kaki a défendu son plan de paix, présenté comme un préalable à tout règlement négocié du conflit : celui-ci exige le retrait des troupes russes de l’Ukraine, des réparations et des poursuites judiciaires contre les chefs militaires russes. « Comme la guerre se déroule sur notre territoire, l’algorithme pour parvenir à la paix ne peut être qu’ukrainien », soutient le chef d’État. Ses échanges avec le cardinal se sont déroulés en outre dans le contexte alarmant de la destruction du barrage HPP de Kakhovka dont les deux belligérants se renvoient la responsabilité. Le président Zelenski a une nouvelle fois dénoncé les « horribles crimes de guerre » commis par la Russie.
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Si de nombreux pèlerinages des mères de famille ont lieu toute l’année, les plus gros se déroulent ces 9, 10 et 11 juin, réunissant des milliers de femmes désireuses de confier leur famille au Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie.
Une organisation millimétrée pour anticiper ces trois jours sans « Maman » à la maison, un effort physique, des conditions souvent spartiates… Mais qu’est-ce qui peut bien pousser ces milliers de mères de famille à quitter leurs proches et leur confort pour marcher sous le soleil ou sous la pluie, durant ce mois de juin réputé pour être pourtant bien chargé ? Les réponses sont multiples et propres à chacune mais à les entendre, une vraie joie résulte de se retrouver entre femmes pour prier, marcher, partager et grandir dans sa vocation de femme, d’épouse et de mère.
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Les résultats tant attendus viennent d’être publiés, les lycéens viennent de recevoir leur premier appel… ou pas. Certains font malheureusement face aux déceptions ou même aux refus de la plateforme. Comment réagir ?
Déception, inquiétude, peur… Les émotions ressenties par le jeune – et par ses parents – quand les résultats de Parcoursup ne sont pas concluants, peuvent être vives, jusqu’à perturber le sommeil. Que ce soit parce que le lycéen n’a pas obtenu ce qu’il souhaitait, ou parce qu’à ce stade, il n’a aucune attribution, la situation peut sembler sans issue. Que faire ?
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Point d’orgue de ces trois jours de pèlerinage, la messe pontificale de ce lundi de Pentecôte, présidée par Mgr Thomas Gullickson, archevêque et nonce émérite originaire du Dakota du Sud, et co-célébrée par Mgr Philippe Christory, évêque de Chartres. Un grand moment de ferveur et de communion.
Il n’est pas surprenant que le pèlerinage organisé par Notre-Dame de Chrétienté, qui avait pour thème cette année : « L’Eucharistie, salut des âmes », ait trouvé son point d’orgue dans la messe de clôture célébrée dans la cathédrale de Chartres en ce lundi 29 mai après-midi. Les messes précédentes, les enseignements sur l’Eucharistie, la progression spirituelle des pèlerins… Tout ceci a trouvé un écho et un accomplissement au cours de cette majestueuse célébration. La messe, célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain, a rassemblé les 16.000 pèlerins qui ont marché durant trois jours de l’église saint Sulpice à Paris jusqu’à la cathédrale de Chartres ces 27, 28 et 29 mai 2023.
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Un désir profond renaît auprès des jeunes générations : servir la France et participer à sa grandeur. Mais comment agir en tant que chrétien ? Comment concilier la sainteté et la politique ? Jeanne d’Arc, indique la voie, par cette expression devenue célèbre : "Dieu, premier servi".
Crise économique, écologique, identitaire, guerre… Les défis auxquels sont confrontées nos sociétés sont nombreux et ne pourront être relevés sans un engagement fort des jeunes générations. Mais comment un chrétien peut-il agir sans dévier du dessein ultime de sa vie : la sainteté ? Charles Péguy donne une indication « Tout commence en mystique, et tout finit en politique ». Cette phrase s’illustre dans la vie de Jeanne d’Arc. Mystique et politique ne faisaient plus qu’un pour Jeanne. Elle nous montre par sa vie queservir Dieu, c’est servir la France.
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C'est aux États-Unis que cela va se passer : à partir du 18 mai 2024, pendant deux mois, quatre processions eucharistiques vont partir des quatre points cardinaux des États-Unis pour former un immense signe de croix et se retrouver au 10ème Congrès Eucharistique de l'Indiana, qui aura lieu du 17 au 21 juillet 2024.
C’est à l’occasion du 10e Congrès eucharistique national qui se tiendra du 17 au 21 juillet 2024 à Indianapolis, dans l’Indiana, que quatre processions eucharistiques vont traverser les États-Unis, du Nord au Sud et d’Est en Ouest, ce qui constituera ainsi « le plus grand pèlerinage eucharistique de l’histoire », annoncent les organisateurs qui estiment que près de 100.000 pèlerins pourraient y participer.
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Depuis 2013, l’éducation à la sexualité a opéré un virage dangereux : il ne s’agit plus de prévention mais de faire découvrir les plaisirs du sexe sans tabous s’il y a "consentement". Pour l’essayiste Blanche Streb, qui est aussi mère de famille, nous sommes dans bien des cas devant un viol des consciences. Les parents ne doivent pas renoncer à leur responsabilité.
Voici une anecdote pas anecdotique, inspirée de faits malheureusement bien réels… Mercredi après-midi, jour des enfants. Une jeune maman accompagne, comme elle le fait souvent, ses bambins à la médiathèque du coin. Rien de bien original, jusque-là. Juste une mère qui s’évertue à proposer autre chose que des écrans à ses enfants. Et qui espère leur transmettre le goût de la lecture, pour les aider à grandir et aussi à vivre, au travers des mots, de belles aventures.
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Tandis que les enquêtes sociologiques accusent une sévère chute du catholicisme, la violence ne cesse de progresser dans la société. Lien de cause à effet ? La civilisation chrétienne n’était pas parfaite, répond Louis Daufresne, mais elle assurait la cohésion sociale par la maîtrise des mauvais instincts.
Y a-t-il un lien de cause à effet entre déchristianisation et décivilisation ? Plus la foi reculerait, plus la barbarie avancerait. Allons plus loin : les deux termes sont-ils synonymes ? L’un serait dans les mœurs ce que l’autre serait dans les cœurs. L’intérieur déteindrait sur l’extérieur. Pourquoi ce jeu de mots croisés ? C’est l’actualité qui le veut. D’un côté, l’historien Guillaume Cuchet, enquête Insee à l’appui, pointe la chute du catholicisme « qui passe de 43 à 25%, soit une quasi-division par deux en douze ans ». De l’autre, la mort des trois jeunes policiers de Roubaix percutés par un chauffard alcoolisé et drogué amène Emmanuel Macron à dénoncer « les comportements irresponsables qui tuent ».
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Aux chrétiens déboussolés par les scandales qui se succèdent dans l’Église, le frère Jacques-Benoît Rauscher, dominicain du couvent de Lyon, propose dans son livre "Quand l’Église s’effondre" (Cerf) un chemin inspiré de la vie de saint Dominique pour garder l’espérance.
Je rencontre beaucoup de personnes ces derniers temps qui sont déboussolées par les scandales qui se répètent dans l’Église. Ces personnes ne sont pas des victimes directes de méfaits commis par des prêtres ou des religieux ; elles ne sont pas non plus coupables de ce qui s’est passé. Mais leur foi est ébranlée par ces événements. Et il y a de quoi ! J’avoue que je n’ai pas toujours les mots pour les aider. J’avoue que, moi non plus, je ne sors pas indemne des sinistres actualités qui mettent en avant la perversité de personnes qui avaient donné leur vie à l’Église.
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La messe de clôture du pèlerinage de Chartres, le lundi de Pentecôte, ne marque pas pour autant la fin du "pélé". Ce dernier continue à porter du fruit au-delà des frontières, à travers les pèlerinages qu’il inspire à l'étranger, mais aussi dans le cœur de milliers de pèlerins, touchés voire bouleversés par ces rencontres avec soi-même, avec d’autres, et avec le Seigneur.
En ce week-end de Pentecôte, 16.000 pèlerins marchent de Paris à Chartres dans le cadre du pèlerinage annuel organisé par Notre-Dame de Chrétienté. Une affluence record cette année qui a contraint les organisateurs à clôturer les inscriptions quelques jours avant le départ. Si l’association Notre-Dame de Chrétienté a fêté ses 40 ans l’année dernière, la tradition des pèlerinages vers Chartres ne date pas d’hier. Le rayonnement de Notre-Dame de Chartres remonte à l’an 876, date à laquelle le roi Charles le Chauve, petit-fils de Charlemagne, offre à la cathédrale l’une des plus précieuses reliques mariales : le voile de la Vierge, exposé désormais dans une chapelle du déambulatoire. Le pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté s’inscrit dans cette longue tradition de dévotion mariale, et continue à porter des fruits spirituels insoupçonnés, en France comme à l’étranger.
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Depuis l’origine, le génie de l’homme rêve devant les merveilles infinies de la Création. En rêvant ainsi, observe le père Benoist de Sinety, curé de la paroisse Saint-Eubert de Lille, l’homme partage le rêve de Dieu, un rêve de création toujours renouvelée dans l’amour incarné.
Des pêcheurs d’éponges qui naviguent, au printemps 1900, le long de la côte d’Anticythère, une île grecque au sud du Péloponnèse. L’un des plongeurs, brandissant une main de bronze pêchée sur place, dira qu’il a vu des corps nus et des chevaux au fond de l’eau. Le monde découvrira qu’il s’agit en fait d’une épave romaine coulée en 86 avant Jésus Christ, à l’époque où l’Empire dévastait les dernières cités grecques et les pillait de leurs trésors. L’embarcation faisait route vers la Ville avec, à son bord, quelques chefs d’œuvre comme cet Éphèbe d’Anticythère attribué à Lysippe et conservé au Musée national archéologique d’Athènes.
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Paraclet, huile de joie, Esprit de la grâce... Il existe plusieurs noms pour décrire le Saint-Esprit et son action.
Saint-Esprit, c’est sous ce terme qu’est désignée la troisième personne de la Trinité. Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu qui désigne l’Esprit est « ruah », un terme qui signifie souffle. L’Esprit saint est aussi connu sous de nombreux autres noms : Esprit du Père, Esprit du créateur, Saint-Esprit de Dieu… Sans oublier, les noms des sept dons de l’Esprit saint formalisés par saint Thomas d’Aquin, comme Esprit de sagesse ou de force. Mais il existent d’autres noms peu connus pour désigner le Saint-Esprit. En voici une petite liste :
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Vous éprouvez des difficultés avec la confession ? Le "Curé de Cucugnan", incarné par l'acteur Fernand Sardou dans le film de Marcel Pagnol, vous fera peut-être changer d'avis...
« Il y en a qui disent : “J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner.” C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et Elle n’en a point : Elle est infinie. » Ainsi parlait le saint Curé d’Ars, celui qui pouvait confesser des heures durant au point d’en oublier de se nourrir et de dormir. Si la miséricorde de Dieu est bien infinie, nombreux sont ceux qui peinent à en faire l’expérience à travers la confession, qui pourrait bien être le plus mal-aimé des sacrements. À tort ! Nous crie presque Fernand Sardou, alias le curé de Cucugnan, dans le film de Marcel Pagnol. Réalisé en 1968 et intégralement en noir et blanc, il est le résultat de l’adaptation au cinéma de l’œuvre d’Alphonse Daudet, « Lettres de mon moulin ».
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Une nouvelle étape de franchie pour Notre-Dame. Jeudi 25 mai, les premières travées de sa belle charpente en chêne massif ont été totalement montées à blanc. Il s’agit d’un ouvrage exceptionnel, d’une longueur de 32 mètres, de 14 mètres de largeur et de 10 mètres de hauteur. Les charpentiers mobilisés ont utilisé, au cours de ce chantier, en grande partie des outils manuels et ont suivi le dessin initial de cet ouvrage, basé sur un modèle médiéval.
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La décivilisation est à nos portes, mais à qui la faute ? De toutes les violences dont se plaint le président de la République, c’est bien celle de la morale libertaire de la déconstruction qui est responsable, estime l’écrivain Xavier Patier.
Illibéralisme, déconstruction, ensauvagement, incivilités, disruption, et maintenant « décivilisation »: on peut dire qu’à défaut d’avoir apporté le bonheur aux Français, Emmanuel Macron aura inlassablement contribué à enrichir leur vocabulaire. Lors du conseil des ministres du 24 mai, il a déclaré, selon la presse : « Depuis un certain temps et dans l’ensemble des pays, il y a une forme décivilisation. »
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Pour se préparer à la Pentecôte, célébrée ce dimanche 28 mai, Aleteia a interrogé le père Gaultier de Chaillé pour identifier les possibles freins à l’action de l’Esprit saint dans notre vie. Curé de Villepreux-Les Clayes (Yvelines), il est auteur du livre Les dons de l’Esprit Saint (Mame). Quels sont alors ces grands obstacles qui peuvent empêcher l’action du Saint-Esprit ?
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Les martyrs de la Commune sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai 2023. Leur béatification n’aura pas été un long fleuve tranquille. C’est que les massacrés de 1871, à commencer par l’archevêque de Paris, n’avaient pas que des amis, y compris au sein de l’Église, et qu’il ne fallait pas désespérer Billancourt…
Cinq prêtres martyrs sous la Commune, tués en haine de la foi le 26 mai 1871 lors du massacre de la rue Haxo, ont été béatifiés samedi 22 avril en l’église Saint-Sulpice à Paris. S’ils sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai, leur béatification n’a pourtant pas été un long fleuve tranquille.
Lorsque, en juillet 1870, Mgr Georges Darboy, archevêque de Paris, prétextant l’entrée en guerre de la France contre la Prusse, quitte hâtivement Rome et une aula conciliaire surchauffée, tant en raison de la canicule qui pèse sur la Ville que des tensions entre partisans et opposants du dogme de l’infaillibilité pontificale, il ne peut deviner qu’il ne lui reste pas un an à vivre. Ni non plus qu’il périra victime des haines révolutionnaires contre l’Église, encore moins que le Vatican lui contestera alors la palme du martyre.
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