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Les dernières informations.
Douze ans après en avoir été chassée, la Syrie a réintégré la Ligue arabe, marquant son retour sur la scène diplomatique. Pour la France, estime le géopoliticien Jean-Baptiste Noé, cette victoire de Bachar al-Assad rend nécessaire de réajuster sa diplomatie.
Il y a douze ans, au moment des révoltes en Syrie, de leur répression et du glissement vers la guerre, nombreux étaient les ministres et les diplomates européens à assurer que Bachar al-Assad n’en avait plus que pour quelques semaines de pouvoir. Douze ans après, il est toujours en poste à Damas, tient le pays et opère la réintégration de son pays dans un grand nombre de cénacles diplomatiques.
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Ministre déléguée chargée des Professions de santé, Agnès Firmin-Le Bodo a présenté les contours du futur projet de loi sur la fin de vie et "l’aide active à mourir". Si elle met en avant un processus de "co-construction" inédit avec les parlementaires et les soignants, plusieurs groupes et associations dénoncent un projet "déjà ficelé" par le gouvernement.
Les contours de la future loi sur la fin de vie, dont la légalisation de l’aide active à mourir, se précisent. Dans un entretien accordé au JDD publié dimanche 21 mai, Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée des Professions de santé chargée de porter le projet de loi sur la fin de vie qui « sera coconstruit d’ici la fin de l’été » selon le souhait d’Emmanuel Macron a partagé son souhait d’assurer « une traçabilité de A à Z ». Car c’est bien elle qui défendra le texte du gouvernement devant les parlementaires et non François Braun, ministre de la Santé. Agnès Firmin-Le Bodo s’était déclaré favorable à titre personnel à l’aide active à mourir tandis que son collègue avait émis des réserves. Le texte portera sur trois thèmes : l’aide active à mourir (suicide assisté et/ou euthanasie), les droits des patients et les soins palliatifs.
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Plus de cent étudiants érythréens de confession chrétienne ont été arrêtés au cours d'un raid policier début avril. Ils ont été emprisonnés dans une prison réputée pour ses terribles conditions de détention.
103 Érythréens chrétiens, majoritairement étudiants, ont été arrêtés à Asmara, la capitale, lors d’un raid policier au début du mois d’avril, selon l’ONG Release International. Ces derniers se seraient rassemblés pour un temps de prière et auraient enregistré des vidéos destinées aux réseaux sociaux. Ils ont été emmenés à la prison de Mai Serwa, qui détient en son sein plus de 500 prisonniers chrétiens dont la plupart n’ont jamais été jugés. Mai Serwa est tristement connue pour sa surpopulation carcérale et les traitements inhumains infligés aux détenus.
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Comment atteindre le Ciel ? Pour Thérèse de Lisieux, dont l'Eglise fête ce 29 avril le 100e anniversaire de sa béatification, rien de mieux que de prendre directement l'"ascenseur spirituel." Voici les cinq étages à monter.
Chez Thérèse de Lisieux, tout est finalement un peu à l’envers. Alors que la vision traditionnelle de la sainteté est comparée à l’ascension d’une montagne bien escarpée, la petite Thérèse a eu l’intuition d’atteindre le Ciel d’une manière opposée : au lieu de gravir les marches du « rude escalier de la perfection », elle veut prendre… l’ascenseur. Rien d’étonnant : c’est à son époque que l’ascenseur apparaît comme une invention technologique qui fait rêver tout le monde :
« Je veux chercher le moyen d’aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle. Nous sommes dans un siècle d’inventions, maintenant ce n’est plus la peine de gravir les marches d’un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement. Moi, je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m’élever jusqu’à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection.
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C’était il y a cent ans jour pour jour. Le 29 avril 1923, la basilique Saint-Pierre resplendit de la gloire de la petite Thérèse de l’Enfant Jésus, proclamée bienheureuse. L’Église et le monde sont en fête. Récit d’une journée pleine de grâces et de surprises.
Fait assez exceptionnel pour l’époque, il se sera écoulé à peine un quart de siècle entre la mort à Lisieux de sœur Thérèse de l’Enfant Jésus, petite carmélite inconnue, le 30 septembre 1897, et sa béatification, en 1923, alors qu’elle est devenue mondialement célèbre. Préparées, attendues, les cérémonies qui se dérouleront à Saint-Pierre de Rome le 29 avril 1923, marqueront les esprits comme un très grand triomphe, en même temps qu’une célébration du catholicisme français, au terme du long refroidissement entre la IIIe République laïcarde et le Vatican.
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Quand il est difficile d’aimer son Église, quand la réforme dans l’Église paraît impossible, un guide sûr nous est donné avec sainte Catherine de Sienne (1347-1380). En pleine crise, avec une folle liberté de ton et un infini respect, elle s’est employée à sanctifier chacun à sa place, et si elle ose réprimander les clercs dans l’erreur, c’est pour fortifier leur autorité, pas pour diluer leur ministère.
Dans une de ses lettres, sainte Catherine de Sienne écrit : « Oui, nous devons nous passionner pour la sainte Église, par amour de Jésus crucifié » (Lettre à la reine de Hongrie, 145). Voilà qui sonne aujourd’hui comme une provocation ! On veut bien à la rigueur aimer Jésus, d’ailleurs plutôt ressuscité que crucifié — ça fait moins peur —, mais de là à se passionner, à cause de Jésus, pour l’Église qualifiée de sainte, là on ne suit plus. Peut-on vraiment l’aimer cette Église dont la vie est rythmée par les scandales et les abus, dont la médiocrité des clercs est imitée souvent par celle des fidèles, et qui ne sait plus annoncer le Christ ressuscité à un monde qui la rejette violemment ou s’éloigne d’elle dans un silence indifférent ? Jésus, d’accord, l’Église, non ! Pourtant, Catherine l’a perçu plus que quiconque, l’amour de Jésus jusqu’à la Croix exige de se passionner pour l’Église. Car comme elle l’écrit dans une autre lettre : « L’Église, c’est la même chose que le Christ » (Lettre à Nicolas Soderini, 53). Parce que l’Église est à la fois corps mystique du Christ et épouse du Christ selon saint Paul, on ne saurait aimer ni servir le Christ sans aimer et servir l’Église. Pour comprendre cet amour inconditionnel de l’Église chez Catherine, il faut se pencher un peu sur son itinéraire.
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Le monde entier connaît l’ange au sourire de la cathédrale de Reims. Et pourtant la capitale champenoise peut se targuer de posséder un autre trésor : les trente anges que René Lalique a créés pour l’église Saint-Nicaise, au cœur de l'étonnante cité-jardin du Chemin Vert. Ils confèrent à ce sanctuaire une atmosphère toute particulière.
À Reims se trouve une église qui, si elle n’accueille évidemment pas autant de visiteurs que la cathédrale, recèle elle aussi de nombreux trésors. Au centre du quartier du Chemin Vert, à la périphérie de la ville, se dresse l’étonnante église Saint-Nicaise. Si l’extérieur de style romano-byzantin est simple, c’est la richesse de ses décors qui la distingue : son aménagement intérieur a été réalisé par quelques-uns des plus grands artistes et décorateurs de l’époque de sa construction, dans les années 1920. Le peintre Maurice Denis a ainsi conçu le baptistère, surmonté de versets bibliques et entouré d’un décor représentant des paysages fluviaux. Roger de Villiers a créé quant à lui la plus grande partie du statuaire dont une remarquable Sainte Famille ainsi que Saint Nicaise, patron et fondateur du diocèse de Reims à qui l’église est consacrée.
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C’est un pape certes fatigué, au souffle parfois court, mais solidement debout qui a entamé la première journée de son voyage en Hongrie, où il est arrivé ce matin, 28 avril. Au cœur de son message adressé à l’Europe : la paix dans l'Ukraine voisine.
Par Anna Kurian, envoyée spécial en Hongrie. De nombreuses questions ont été soulevées autour de la santé de François ces derniers temps. Depuis un an, le pape de 86 ans souffrant du genou se déplace la plupart du temps en fauteuil roulant ou en déambulateur. Une réduction de mobilité qui a demandé des aménagements lors des sorties, des célébrations et des voyages. Et fin mars, François a été hospitalisé trois jours à l’hôpital Gemelli de Rome, officiellement pour une bronchite. Les rumeurs étaient allées bon train autour de cette hospitalisation dont le Saint-Siège avait cherché en un premier temps à relativiser la gravité.
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Dans son dernier essai, “Dieu, après la peur” (Salvator), le philosophe Martin Steffens présente la crainte de Dieu, ce don du Saint-Esprit mal compris. Il explique à Aleteia comment la crainte chrétienne nous libère de la peur en acceptant de nous laisser surprendre dans la rencontre avec Dieu.
Le don du Saint-Esprit de la crainte de Dieu ne signifie pas avoir peur de Dieu. Au contraire, explique Martin Steffens, cette crainte est un désir, le désir d’une rencontre qui nous enseigne que tout nous est donné, que nous ne possédons rien, que rien n’est absolument de notre fait. C’est ainsi que la crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu.
Aleteia : Au premier abord, on peut croire que vous allez nous parler de Dieu tel qu’il ne faut plus le craindre, dans la lignée de livres comme Nous irons tous au Paradis, plein d’un optimisme chrétien…
Martin Steffens : Il n’y a pas d’optimisme chrétien, mais seulement une espérance chrétienne. Laquelle, en effet, nous libère de toutes nos peurs, même de la peur de Dieu.
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La béatification de cinq prêtres tués sous la Commune le 26 mai 1871 s’est déroulée ce samedi 22 avril à l’église Saint Sulpice, à Paris, présidée par le Cardinal Marcello Semeraro, préfet du dicastère des causes des saints. Une célébration majestueuse, portée par la prière des fidèles et des nombreux prêtres présents, sous le signe de la joie.
Si une béatification est toujours une fête pour le Peuple de Dieu, la joie était d’autant plus palpable en ce samedi 22 avril à Saint Sulpice que cela faisait plusieurs décennies que les ordres auxquels appartenaient les cinq prêtres tués sous la Commune attendaient la reconnaissance de leur martyre. Environ 2.500 personnes se sont rassemblées dans la plus grande église de Paris. L’occasion était rare : cinq prêtres français, tués en haine de la foi par des partisans de la Commune de Paris le 26 mai 1871, ont été proclamés bienheureux. Des noms méconnus de la plupart des fidèles, mais dont la béatification permet désormais de rendre le culte public. Il s’agit du père Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, ainsi que des pères Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, tous les quatre religieux picpuciens.
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En béatifiant cinq prêtres massacrés "en haine de la foi", l’Église ne cherche pas la polémique avec les défenseurs de la Commune de Paris. Sa démarche est tout sauf politique, souligne notre chroniqueur, c’est un devoir de justice et de vérité.
Ce samedi 22 avril, l’Église catholique béatifie cinq ecclésiastiques martyrisés pendant la Commune. Citons-les : Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, quatre religieux picpuciens. Pour l’occasion, le Vatican envoie une de ses huiles sur le feu des passions françaises : Mgr Marcello Semeraro, préfet du dicastère pour la cause des saints. Le cardinal se déplace en personne pour célébrer la messe à Saint-Sulpice, la plus grande église de Paris. Gageons que des black blocs ne viennent pas gâcher la fête pour faire battre en retraite les Versaillais qui votent Emmanuel Macron et leurs suppôts calotins. Pourtant, sur ce dossier, le Saint-Siège a tout fait pour la jouer prudente car les maux gisent dans les mots : officiellement, l’Église va honorer les prêtres martyrs « de 1871 » et non « de la Commune », à l’image des martyrs « de septembre » (1792) préféré à ceux « de la Révolution française ». Dater plutôt que nommer. Comment interpréter ce jeu de cache-cache sémantique ? Hasardons-nous à quelques pistes.
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Après l’exécution de Mgr Darboy et de ses cinq compagnons, la Commune de Paris est emportée par sa folie meurtrière. Ce seront les tueries des 25 et 26 mai avenue d’Italie et rue Haxo, où meurent dans la confusion mais dignement seize autres prêtres et religieux, avec une quarantaine d’otages. (3/3)
Dans quelques jours, les troupes versaillaises auront repris Paris. Adolphe Thiers avait eu la possibilité de sauver l’archevêque de Paris et 74 autres otages avec lui en les échangeant contre Auguste Blanqui, mais s’en était bien gardé. Il fera donner à Mgr Darboy des obsèques nationales solennelles. Pour l’heure, l’annonce de l’assassinat de l’archevêque est pain bénit. Maintenant, les Communards n’ont plus de pitié à attendre ; ils sont tous voués à la mort, les vrais coupables comme les innocents, les idéalistes comme les assassins.
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"N'aie pas peur Il est là, Ohoh lalalalalala" ! Assurément ce refrain entêtant va être repris par près de 10.000 lycéens qui se retrouvent enfin à Lourdes à partir de ce dimanche pour le Frat 2023.
Ce dimanche 23 avril, c’est le grand retour du Frat à Lourdes ! Après les années d’annulation à cause du Covid, près de 10.000 lycéens sont attendus du 23 au 28 avril dans la cité mariale pour vivre une semaine exceptionnelle de foi, de partage et de prières. Ils pourront, entre autres, rencontrer quelques personnalités qui ont marqué l’année catho, comme le comédien Mehdi Djaadi, auteur de Coming out, ou encore sœur Catherine, la religieuse qui apparaît dans le dernier film de Gad Elmaleh, Reste un peu.
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Un jour, un homme ne s’est pas vengé, et l’histoire s’est retournée. Ainsi naquit le règne de la Miséricorde, raconte le père Luc de Bellescize, montrant que la rédemption est plus forte que le mal.
« Quel est ton nom ? demande l’empereur de Rome dans le film Gladiator de Ridley Scott, tu as bien un nom tout de même ? — Mon nom est Gladiateur, dit “l’Espagnol” en se retournant. — Comment oses-tu me tourner le dos, esclave ! Tu vas retirer ton casque et me dire comment tu te nommes. » Alors l’ancien officier fait face à son ennemi :
Mon nom est Maximus Desimus Meridius, commandant en chef des armées du Nord, général des légions Félix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurèle. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassinée, mais j’aurais ma vengeance dans cette vie ou dans l’autre.
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En disparaissant aux yeux de ses disciples dans l’auberge d’Emmaüs, Jésus ressuscité leur révèle que la charité qui fut la sienne durant sa vie terrestre, agit désormais en eux.
« Reste avec nous car le soir tombe… » disent les disciples d’Emmaüs à leur compagnon de route en qui ils n’ont pas encore reconnu Jésus(Lc 24,29). Nous, chrétiens du XXIe siècle, savons que c’est le Christ qui cheminait avec eux. Connaissant le fin mot du récit, pouvons-nous encore faire nôtre l’invitation des deux pèlerins : « Reste avec nous car le soir tombe » ? Le cri du cœur des compagnons de route du Ressuscité est-il toujours d’actualité ? Certainement, car quand le « soir tombe », c’est-à-dire quand les ténèbres commencent à gagner sur la lumière, souvent nous sommes découragés, voire déprimés. La foi ne nous prémunit pas toujours contre le moral en berne, l’abattement. Aussi est-ce dans ces moments de trou d’air spirituel et moral qu’il est recommandé de se souvenir du récit évangélique du soir du jour de Pâques, et surtout de reprendre à son compte, du fond du cœur, les propos pressants des deux disciples : « Reste avec nous car le soir tombe. »
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La messe prévue à Vaumeilh dimanche 30 avril est reportée au dimanche 14 mai , la fête du village ayant été déplacée à cette date .
Le dimanche 30 avril , la messe aura donc lieu à La motte du Caire ( 11h ) .
Le pape François a dénoncé "une euthanasie cachée et progressive" qui consiste à priver une personne âgée des traitements dont elle a besoin afin d’ "économiser".
Devant les membres de l’association religieuse italienne des instituts socio-sanitaires (ARIS), qu’il a reçus le 13 avril 2023 au Vatican, le Pape a constaté la tendance des hôpitaux à abréger les hospitalisations, en traitant « les phases les plus aiguës de la maladie » mais pas « les maladies chroniques », conduisant à « des parcours peu respectueux de la dignité des personnes », en particulier les plus âgées.
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Ce vendredi 14 avril à 20h35, KTO vous propose une émission spéciale consacrée à la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, quatre ans après l'incendie.
Reconstruction, nettoyage, aménagement liturgique... l'occasion de faire le point sur les étapes du chantier, de découvrir des chefs-d'œuvre de l'édifice avant même sa réouverture et aussi d'évoquer ensemble l’aménagement liturgique de cette cathédrale qui demeure une invitation permanente à la prière, et qui n’a jamais cessé d’attirer les regards du monde entier.
Sur notre plateau, la rédaction de KTO reçoit :
- Mgr Olivier Ribadeau-Dumas, recteur-archiprêtre de la cathédrale Notre-Dame de Paris
- Philippe Jost, Directeur général délégué de l’Etablissement public chargé de rebâtir Notre-Dame de Paris
Avec la participation de Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Paris et du Général Georgelin, président de l’Établissement public.
Pour nourrir les échanges, posez vos questions à
Les fouilles préventives menées en vue de la reconstruction de la flèche de la basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ont révélé de belles surprises. 210 sépultures de l'époque mérovingienne et carolingienne ont été mises au jour.
Après les deux sarcophages de plomb découverts à Notre-Dame, c’est au tour de la basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)de livrer ses secrets. Menées en vue de la reconstruction de la flèche, des fouilles à l’intérieur et à l’extérieur du sanctuaire ont permis la découverte de 210 sépultures, dont les plus anciennes datent du Ve siècle et les plus récentes de la fin du Moyen Âge. Si la découverte de tombes n’a rien de surprenant – la basilique étant construite sur des cimetières – c’est leur nombre et leur état de conservation, qualifié « d’exceptionnel » par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) en charge des fouilles, qui retiennent l’attention.
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