À Piszkowice, près de Wroclaw (sud-ouest de la Pologne), les religieuses de la congrégation des Sœurs de Marie Immaculée prennent soin des enfants abandonnés ou rejetés par leur famille. Dans leur maison d’accueil, ils sont tous désirés et aimés. Récit.

« Personne ne te voulait ? Alors, nous te voulons de tout cœur », lance sœur Klara à Tosia, 6 ans, qui vient d’arriver dans la maison d’accueil de la congrégation des Sœurs de Marie Immaculée. « Mais où est maman ? », demande-elle en serrant la main de la religieuse. Comme Wojtus, garçonnet récupéré par la police d’un foyer des parents alcooliques. Comme Zuzia, 7 ans, orpheline non voyante. Ou encore comme Darius, 5 ans, rejeté par sa famille… et une cinquantaine d’autres jeunes habitants de la maison. Mais Tosia comme les autres y sont accueillis à bras ouverts, par les religieuses de la congrégation. Trois institutions sont rassemblées dans leur centre : une maison de soins, une école primaire et un centre de rééducation pour les enfants souffrant de handicaps mentaux graves.

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