Connaissez-vous les différents noms de l’Esprit saint ?
Paraclet, huile de joie, Esprit de la grâce... Il existe plusieurs noms pour décrire le Saint-Esprit et son action.
Saint-Esprit, c’est sous ce terme qu’est désignée la troisième personne de la Trinité. Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu qui désigne l’Esprit est « ruah », un terme qui signifie souffle. L’Esprit saint est aussi connu sous de nombreux autres noms : Esprit du Père, Esprit du créateur, Saint-Esprit de Dieu… Sans oublier, les noms des sept dons de l’Esprit saint formalisés par saint Thomas d’Aquin, comme Esprit de sagesse ou de force. Mais il existent d’autres noms peu connus pour désigner le Saint-Esprit. En voici une petite liste :
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Ecoutez le curé de Cucugnan, il va vous convaincre de vous confesser
Vous éprouvez des difficultés avec la confession ? Le "Curé de Cucugnan", incarné par l'acteur Fernand Sardou dans le film de Marcel Pagnol, vous fera peut-être changer d'avis...
« Il y en a qui disent : “J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner.” C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et Elle n’en a point : Elle est infinie. » Ainsi parlait le saint Curé d’Ars, celui qui pouvait confesser des heures durant au point d’en oublier de se nourrir et de dormir. Si la miséricorde de Dieu est bien infinie, nombreux sont ceux qui peinent à en faire l’expérience à travers la confession, qui pourrait bien être le plus mal-aimé des sacrements. À tort ! Nous crie presque Fernand Sardou, alias le curé de Cucugnan, dans le film de Marcel Pagnol. Réalisé en 1968 et intégralement en noir et blanc, il est le résultat de l’adaptation au cinéma de l’œuvre d’Alphonse Daudet, « Lettres de mon moulin ».
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Notre-Dame : les premières travées de la charpente montées à blanc
Une nouvelle étape de franchie pour Notre-Dame. Jeudi 25 mai, les premières travées de sa belle charpente en chêne massif ont été totalement montées à blanc. Il s’agit d’un ouvrage exceptionnel, d’une longueur de 32 mètres, de 14 mètres de largeur et de 10 mètres de hauteur. Les charpentiers mobilisés ont utilisé, au cours de ce chantier, en grande partie des outils manuels et ont suivi le dessin initial de cet ouvrage, basé sur un modèle médiéval.
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Vous avez dit « décivilisation » ?
La décivilisation est à nos portes, mais à qui la faute ? De toutes les violences dont se plaint le président de la République, c’est bien celle de la morale libertaire de la déconstruction qui est responsable, estime l’écrivain Xavier Patier.
Illibéralisme, déconstruction, ensauvagement, incivilités, disruption, et maintenant « décivilisation »: on peut dire qu’à défaut d’avoir apporté le bonheur aux Français, Emmanuel Macron aura inlassablement contribué à enrichir leur vocabulaire. Lors du conseil des ministres du 24 mai, il a déclaré, selon la presse : « Depuis un certain temps et dans l’ensemble des pays, il y a une forme décivilisation. »
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Quels sont les freins à la venue de l’Esprit saint ?
Pour se préparer à la Pentecôte, célébrée ce dimanche 28 mai, Aleteia a interrogé le père Gaultier de Chaillé pour identifier les possibles freins à l’action de l’Esprit saint dans notre vie. Curé de Villepreux-Les Clayes (Yvelines), il est auteur du livre Les dons de l’Esprit Saint (Mame). Quels sont alors ces grands obstacles qui peuvent empêcher l’action du Saint-Esprit ?
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Ces encombrants martyrs de la Commune
Les martyrs de la Commune sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai 2023. Leur béatification n’aura pas été un long fleuve tranquille. C’est que les massacrés de 1871, à commencer par l’archevêque de Paris, n’avaient pas que des amis, y compris au sein de l’Église, et qu’il ne fallait pas désespérer Billancourt…
Cinq prêtres martyrs sous la Commune, tués en haine de la foi le 26 mai 1871 lors du massacre de la rue Haxo, ont été béatifiés samedi 22 avril en l’église Saint-Sulpice à Paris. S’ils sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai, leur béatification n’a pourtant pas été un long fleuve tranquille.
Lorsque, en juillet 1870, Mgr Georges Darboy, archevêque de Paris, prétextant l’entrée en guerre de la France contre la Prusse, quitte hâtivement Rome et une aula conciliaire surchauffée, tant en raison de la canicule qui pèse sur la Ville que des tensions entre partisans et opposants du dogme de l’infaillibilité pontificale, il ne peut deviner qu’il ne lui reste pas un an à vivre. Ni non plus qu’il périra victime des haines révolutionnaires contre l’Église, encore moins que le Vatican lui contestera alors la palme du martyre.
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Le retour de la Syrie dans le concert des nations
Douze ans après en avoir été chassée, la Syrie a réintégré la Ligue arabe, marquant son retour sur la scène diplomatique. Pour la France, estime le géopoliticien Jean-Baptiste Noé, cette victoire de Bachar al-Assad rend nécessaire de réajuster sa diplomatie.
Il y a douze ans, au moment des révoltes en Syrie, de leur répression et du glissement vers la guerre, nombreux étaient les ministres et les diplomates européens à assurer que Bachar al-Assad n’en avait plus que pour quelques semaines de pouvoir. Douze ans après, il est toujours en poste à Damas, tient le pays et opère la réintégration de son pays dans un grand nombre de cénacles diplomatiques.
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Fin de vie : le programme déjà « ficelé » du gouvernement
Ministre déléguée chargée des Professions de santé, Agnès Firmin-Le Bodo a présenté les contours du futur projet de loi sur la fin de vie et "l’aide active à mourir". Si elle met en avant un processus de "co-construction" inédit avec les parlementaires et les soignants, plusieurs groupes et associations dénoncent un projet "déjà ficelé" par le gouvernement.
Les contours de la future loi sur la fin de vie, dont la légalisation de l’aide active à mourir, se précisent. Dans un entretien accordé au JDD publié dimanche 21 mai, Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée des Professions de santé chargée de porter le projet de loi sur la fin de vie qui « sera coconstruit d’ici la fin de l’été » selon le souhait d’Emmanuel Macron a partagé son souhait d’assurer « une traçabilité de A à Z ». Car c’est bien elle qui défendra le texte du gouvernement devant les parlementaires et non François Braun, ministre de la Santé. Agnès Firmin-Le Bodo s’était déclaré favorable à titre personnel à l’aide active à mourir tandis que son collègue avait émis des réserves. Le texte portera sur trois thèmes : l’aide active à mourir (suicide assisté et/ou euthanasie), les droits des patients et les soins palliatifs.
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"Une journée pour la terre", le 3 juin, au Bartèu
Pour passer la vitesse supérieure dans notre conversion écologique, le Bartèu vous attend !
[HOMÉLIE] L’Ascension, ce mystère de la présence au cœur de l’absence
Père abbé des chanoines prémontrés de l’abbaye de Mondaye, le Fr. François-Marie Humann commente les textes de la solennité de l’Ascension (Ac 1, 1-11 ; Ps 46 ; Eph 1, 17-23 ; Mt 28, 16-20). L’Église naissante découvre qu’elle n’est ni abandonnée, ni livrée à elle-même : la grâce de l’Ascension, c’est l’espérance.
L’Ascension marque une étape importante dans la vie des Apôtres du Christ, l’heure où « une nuée vient le soustraire à leurs yeux » (Ac 1, 9). L’Église naissante va alors découvrir qu’elle n’est ni abandonnée, ni livrée à elle-même. Abandonnée, elle ne l’est pas, car une nouvelle présence du Seigneur, au cœur de son apparente absence, va être expérimentée, avec la venue de l’Esprit Saint, le Consolateur. Livrée à elle-même, elle ne l’est pas davantage, car sa mission ne fait que commencer. Il ne s’agit pas en effet de rester « là, à regarder le ciel » (Ac 1, 11) mais au contraire d’aller et, de toute les nations, faire des disciples (Mt 28, 19). Cet envoi en mission est accompagné d’une promesse, qui est tout le contraire d’une absence : « Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20).
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Que fête-t-on à l’Ascension ?
La fête de l’Ascension célèbre la montée de Jésus vers Dieu son Père. Elle est fêtée en France le jeudi de l’Ascension, quarante jours après Pâques. Mort et ressuscité, il quitte ses disciples tout en continuant d’être présent auprès d’eux, mais différemment. Il promet de leur envoyer une force, celle de l’Esprit-Saint.
La fête de l’Ascension, célébrant l’entrée du Christ dans la gloire de Dieu, est une des principales fêtes chrétiennes, qui s’inscrit dans le prolongement de Pâques et annonce la Pentecôte, dix jours plus tard. Le jour de l’Ascension, la couleur des vêtements liturgiques (que porte le prêtre) est le blanc, couleur de la fête, de la lumière et de la joie.
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Dr Alexandra Henrion Caude : « Pour avoir un débat apaisé sur les effets du vaccin, encore faudrait-il qu’il ait lieu ! »
Généticienne, ancienne directrice de recherche à l'Inserm, Alexandra Henrion Caude a publié en mars "Les apprentis sorciers" (Albin Michel). Elle y partage ses connaissances sur l’ARN messager, cette molécule qui compose les vaccins contre le Covid, et livre une analyse critique de la stratégie vaccinale mise en œuvre par le gouvernement. Aleteia l’a rencontrée.
Dans Les apprentis sorciers (Albin Michel), véritable succès de librairie, Alexandra Henrion Caude dénonce l’injection, à grande échelle, de vaccins à base d’ARN messager. Depuis juillet 2020, la généticienne qualifie de « folie » le fait de « traiter une population saine comme si elle était malade ». Son ouvrage fait notamment état de nombreuses études évoquant les effets indésirables graves du vaccin. Un livre qui se veut aussi être une « main tendue » pour ouvrir un débat sur le respect du patrimoine génétique qui est donné à chacun, débat qui, selon elle, n’a jamais eu lieu.
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De l’importance politique des moines
En France, ce sont les moines qui ont dessiné les paysages. Et il est frappant d’y constater, relève l’écrivain Xavier Patier, à quel point la santé des ordres monastiques annonce avec deux ou trois générations d’avance les grandes évolutions du pays.
Le monachisme a inventé la France, c’est-à-dire l’Europe chrétienne. Les ordres clunisiens et cisterciens, tous deux fondés à partir de la règle bénédictine, n’ont pas seulement donné à la prière et au travail leur statut de dignité, ils ont aussi dessiné nos paysages. Et ces paysages, tellement harmonieux quand la laideur du monde n’a pas encore trouvé le temps de les défigurer, traduisent en bois, en routes, en clochers, en vignes et en cultures un idéal chrétien. Nous croyons aimer nos paysages parce qu’ils dessinent une jolie nature, mais en vérité nous les aimons au plus profond de nos cœurs parce qu’ils nous parlent du Christ. Nos chemins vicinaux sont des chemins de moines. Nos communes sont des paroisses ou des prieurés : 4.473 d’entre elles portent le nom d’un saint. Cinq millions de Français, souvent ceux qui vivent dans le monde rural déclassé, mentionnent le nom d’un saint quand on leur demande leur adresse.
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Un nombre d’inscriptions record au pèlerinage de Chartres 2023
Notre-Dame de Chrétienté, l’association qui organise chaque année un grand pèlerinage vers Chartres à la Pentecôte, enregistre en 2023 un taux de participation jamais égalé par le passé. Pas moins de 16.000 pèlerins s’apprêtent à rallier Paris à Chartres les 27, 28 et 29 mai prochains.
Ni le motu proprio Traditionis custodes, ni même le rescrit publié le 21 février 2023 restreignant l’usage du rite tridentin auquel Notre-Dame de Chrétienté est attachée, ne semblent freiner les fidèles. Au contraire, les pèlerins marchant de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartes à la Pentecôte 2023 n’auront jamais été aussi nombreux.
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Quelles armes utiliser quand le Diable susurre de mauvaises pensées ?
Tout le monde peut avoir des pensées troublantes. Mais comment s’en débarrasser quand elles deviennent intempestives et éloignent du Seigneur ?
Hormis les cas de maladie mentale, la tradition chrétienne reconnaît que les esprits malins peuvent parfois perturber et tenter les gens. Il peut s’agir des pensées troublantes et même blasphématoires. Habituellement, c’est un trouble intérieur, qui finit par disparaître. Mais ces manifestations intempestives sont parfois le signe d’une tentation.
Les tentations du monde sont innombrables. Il y a aussi des tentations intérieures, comme l’enseigne saint Jacques. Chacun est tenté par son propre désir qui l’entraîne et l’attire (Jc 1, 14). Mais il ne faut pas exclure les tentations du Tentateur et des esprits mauvais. Elles sont habituellement de l’ordre de l’insinuation, comme une pensée parasite. Il arrive qu’elles soient violentes, ou insistantes.
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Mixité sociale dans l’Enseignement catholique : une manœuvre de diversion ?
Alors que le ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye présente des mesures visant à favoriser la mixité sociale à l’école, un protocole avec l'enseignement catholique est annoncé pour le 17 mai. Chef d’établissement catholique à Lyon, Marc Bouchacourt estime que l’école n’est pas chargée de résoudre un problème social dont elle n’est pas responsable. Si tous les établissements doivent prendre leur part, l’État doit aider plus justement les familles aux faibles revenus.
Les performances de l’école française se dégradent selon Pisa, en mathématiques en particulier. Les professeurs français sont parmi les plus mal payés d’Europe tout en travaillant, selon les dires des syndicats ces derniers jours, plus que la moyenne de leurs collègues européens (plus de 43 heures par semaine) ; les concours n’attirent plus suffisamment et le nombre de suppléants encore plus mal payés n’a jamais été aussi important ; 17 % des postes en secondaire et 17 % en primaire étaient non-pourvus à la rentrée 2022 ; le calendrier du nouveau baccalauréat provoque de deux à trois semaines de paralysie des lycées au mois de mars sans permettre de « reconquérir » le mois de juin du fait de la deuxième série d’épreuves ; les examens du brevet et du baccalauréat ne se déroulent plus sans accrocs : sujets dévoilés avant l’épreuve, corrigés in extremis, parfois après le début de l’épreuve comme en STMG à la dernière session de mars.
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Un sanctuaire dédié à Notre-Dame de Fatima inauguré dans l’État indien martyr d’Orissa
Dans l'État indien d'Orissa, un sanctuaire marial, dédié à Notre-Dame de Fatima, a été inauguré le samedi 13 mai 2023. Une véritable source d'espérance dans cet État tristement connu pour les exactions commises en 2008 sur la minorité chrétienne par des hindous.
En Inde, dans le diocèse de Cuttack-Bhubaneswar situé dans l’État indien d’Orissa, plus de 5.000 chrétiens ont fêté l’ouverture d’un sanctuaire dédié à Notre-Dame de Fatima, samedi 13 mai. Ce nouveau lieu spirituel se trouve plus précisément au cœur du village catholique de Sugadabadi, dans le diocèse de Kandhamal où une centaine de chrétiens avaient été tués en 2008, et leurs maisons et églises gravement endommagées. Les émeutes, menées par des fondamentalistes hindous, avaient causé la fuite de 55.000 personnes. Cette vague de violence anti-chrétienne est « l’expérience la plus douloureuse de l’Église en Inde », avait notamment confié à Fides l’archevêque de Cuttack-Bhubaneswar, Mgr John Barwa. Les chrétiens de la région ont vécu une période de « douleur psychologique, d’agonie, de traumatismes, en particulier pour les plus petits » et l’horreur vécue rappelle à quel point « l’intégrisme hindou est cruel envers les chrétiens », affirme Peter Digal, catholique indien, auprès d’AsiaNews.
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« Ça se parle », mais pour dire quoi ?
Tout le monde se parle, mais pour dire quoi, et comment ? Il devient vital de retrouver une parole juste et ajustée, défend l’essayiste Blanche Streb, une parole responsable et qui engage, qui résiste aux tentations d’humiliation, de domination, de manipulation...
« Consternant. » Ce mot, sans aucun doute, vous est-il déjà venu à maintes reprises devant certaines « prises de becs » — oups, pardon — « prises de paroles » politiques, médiatiques, ou même lors d’un conseil municipal, au coin de la rue ou sur un banc public. En 1830, Schopenhauer rédigeait un manuel d’art oratoire — l’Art d’avoir toujours raison — devenu un classique de l’argumentation. Dans ce texte au succès inégalé, trente-sept stratagèmes sont exposés comme autant d’armes de plus en plus redoutables et élaborées pour convaincre. Mais quand la partie semble perdue car l’autre est définitivement supérieur, Schopenhauer propose alors « l’ultime stratagème » : s’en prendre à la personne elle-même !
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[EN IMAGES] Quand 14.000 militaires se réunissent à Lourdes
Le 63e pèlerinage militaire international s’est tenu à Lourdes du 12 au 14 mai. Il a rassemblé quelque 14.000 militaires issus de 40 nations. Retour en images sur cet événement spirituel et fraternel fort.
Placé sous le thème « Que l’on bâtisse ici une chapelle », le 63e pèlerinage militaire international s’est déroulé à Lourdes du 12 au 14 mai. 14.000 militaires issus de 40 nations se sont réunis dans la cité mariale en signe de paix et de fraternité. Il s’agit d’une invitation « à se retrouver, cheminer ensemble, œuvrer à l’unité », précise le diocèse aux Armées. « Ce message est particulièrement d’actualité en cette période de trouble où la guerre fait rage aux portes de l’Europe. » Messes, chemin de croix, challenge international des blessés et des valides, procession, festival de musiques militaires… Un programme varié auquel ont pu participer l’ensemble des pèlerins dont 150 malades et blessés de guerre.
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Prière pour les chrétiens d’Orient
À l’occasion de la journée internationale des chrétiens d’Orient organisée ce dimanche 14 mai, découvrez une prière à l’intention des chrétiens du Proche et du Moyen-Orient, écrite par des étudiants réfugiés suivant les cours de français avec l’Œuvre d’Orient.
Syriaques, syro-malabars, chaldéens, coptes, maronites, grec-melkites, arméniens… Les chrétiens d’Orient – qui vivent au Proche et au Moyen-Orient – font face depuis plusieurs années à de nombreuses difficultés. Organisée ce dimanche 14 mai, la journée internationale des chrétiens d’Orient est une belle occasion de se plonger dans l’histoire de ces minorités chrétiennes qui fondent en partie la richesse de l’Église universelle. Et voici une touchante prière (écrite par des étudiants réfugiés qui suivent les cours de français de l’Œuvre d’Orient) à réciter en communion de prière avec nos frères et sœurs d’Orient :
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La venue du Pape François à Marseille samedi 23 septembre
[EN IMAGES] Le sanctuaire de Fatima aujourd’hui
L’Église s’apprête à célébrer la fête de Notre-Dame de Fatima, le 13 mai, en souvenir du jour des premières apparitions de Marie aux trois jeunes bergers portugais. Aleteia vous propose de découvrir le sanctuaire en images.
13 mai 1917. Alors que la guerre fait rage en Europe et a déjà volé au Portugal la vie de nombre de ses enfants, trois jeunes bergers, Lucie, François et Jacinthe, en route pour les champs, sont frappés de stupeur. Le soleil est à son zénith, mais la lumière qui les inonde n’est pas de ce monde-ci. En hauteur, flottant comme sur un nuage, près d’un vieux chêne « une dame toute vêtue de blanc » baisse vers eux un regard pétri d’une tendresse infinie. La petite Lucie n’a alors que de 10 ans, et ses cousins François et Jacinthe, plus jeunes encore, sont respectivement âgés de 8 et 7 ans. Le rendez-vous devient mensuel, et la foule, de plus en plus nombreuse, se presse autour des petits bergers.
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Une bénédiction historique et symbolique place Saint-Pierre
Le patriarche copte orthodoxe Tawadros II était présent ce mercredi 10 mai aux côtés du pape François place Saint-Pierre. François a salué la venue du patriarche d’Alexandrie à Rome, signe de "l’amitié" entre l’Église copte orthodoxe et l’Église catholique.
C’est une audience bien singulière qui a eu lieu place Saint-Pierre ce mercredi 10 mai. Sous une pluie fine, le pape François a fait son tour traditionnel en papamobile pour saluer les pèlerins venus l’écouter. Mais avant de rejoindre son siège, il est allé retrouver le patriarche Tawadros II au pied de la basilique Saint-Pierre. Sourire aux lèvres, les deux chefs religieux se sont donné l’accolade, avant que le pape argentin n’embrasse la croix pectorale de Tawadros – comme il le fait souvent lorsqu’il rencontre un représentant orthodoxe, en signe de fraternité.
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[EN IMAGES] 1.600 chefs scouts ont traversé la baie du Mont Saint-Michel
Près de 2.000 scouts sont réunis du samedi 6 au lundi 8 mai 2023 au Mont Saint-Michel à l’occasion des Journées Nationales des Guides et Scouts d’Europe. Un rassemblement inédit et hautement symbolique.
C’est au Mont Saint-Michel, il y a 57 ans, qu’est né le baussant des Guides et Scouts d’Europe, ce drapeau représentant une croix rouge agrémentée d’une fleur de lys, sur un fond noir et blanc. En 1966, pour fêter le millénaire du Mont Saint-Michel, les Scouts d’Europe organisent un pèlerinage au sanctuaire, pendant lequel ils montent un « tableau vivant » représentant les Hébreux devant rejoindre le Mont, opposés aux Égyptiens. Les Hébreux portent des étendards blancs, tandis que les Égyptiens ont des étendards noirs. Réunies, les deux couleurs offrent un fond symbolique, représentant la lutte entre le bien et le mal. Le premier baussant a été béni au Mont Saint-Michel à cette occasion et déposé dans la chapelle Notre-Dame-sous-Terre.
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Les reliques de Thérèse de Lisieux débarquent à Paris !
Les reliques de sainte Thérèse de Lisieux sont accueillies jusqu’au 14 mai à la basilique Notre-Dame-des-Victoires (IIe arrondissement). Une belle occasion pour les Parisiens, Franciliens et touristes de venir se recueillir devant la patronne des missions !
Alors que l’année 2023 marque les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux ainsi que le 100e anniversaire de sa béatification, les reliques de la sainte poursuivent leurs pérégrinations. Depuis le 1er mai et jusqu’au 14, c’est à Paris qu’elles se trouvent, plus précisément dans la basilique Notre-Dame des Victoires (IIe arrondissement). Dans le détail, une neuvaine de prière pour les malades est organisée devant les reliques.
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Au Bartèu : 12 mai et 3 juin
Bonjour à tous,
Nous vous invitons à deux événements organisés au Bartèu :
le 12 mai à 20h : |
Une soirée consacrée aux Mystères et Merveilles du Cosmos, |
Cette conférence accessible à tous, sera présentée par M Michel Grépinet. |
Le 3 juin de 10h à 18h : |
Une journée ouverte à tous, pour se rencontrer, échanger, prendre conscience davantage, changer de regard, expérimenter, espérer. |
Dans les pas de « l’écologie intégrale » du pape François. |
Informations d'inscription téléchargeables. |
Pour recevoir la newsletter du Bartèu contacter Benoît :
Le millénaire du Mont Saint-Michel ou l’heure de renouer avec l’essentiel
Mille ans après la pose de la première pierre de l’abbatiale, que viennent chercher les pèlerins du Mont Saint-Michel ? Pour l’auteur des "Romans du Mont Saint-Michel" (Éditions du Rocher), livre-enquête sur le succès populaire du Mont à travers les siècles, la quête est plus enfouie, mais toujours la même : se préparer pour le Ciel.
Le Mont Saint-Michel fête encore un millénaire ! En 1966 c’était son « millénaire monastique », pour commémorer l’arrivée des moines au Mont. Ces moines étaient des bénédictins mais aussi des Normands, placés là par le duc Richard pour soustraire le Mont à l’influence bretonne… En 2023, voici une nouvelle célébration officielle : le millénaire de la première pierre de l’abbatiale. Celle-ci fut construite aux frais de quatre ducs de Normandie dont Guillaume le Conquérant, qui l’inaugura en 1080 ; pour lui le haut-lieu devait servir le prestige du duché. Ensuite le Mont a subi l’emprise des rois d’Angleterre et celle des rois de France… Ainsi le politique s’est acharné à détourner le spirituel ; le spirituel a dû lutter pour rester lui-même.
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Maria Valtorta, le linceul de Turin… la science face à l’inexplicable
Dans "Miracles", documentaire en salles depuis le 10 avril, le réalisateur Pierre Barnérias mène une enquête fouillée sur trois énigmes qui restent scientifiquement inexpliquées : le linceul de Turin, l’image de Notre-Dame de Guadalupe et les écrits de Marie Valtorta. Saisissant.
C’est un film qui ne manquera pas de passionner les connaisseurs comme les néophytes. Dans son dernier documentaire intituléMiracles, en salles depuis le 10 avril, le réalisateur Pierre Barnérias plonge les spectateurs dans une enquête saisissantes autour de trois énigmes qui demeurent scientifiquement inexpliquées : le fameux linceul de Turin, l’image de Notre-Dame de Guadalupe et les écrits de Maria Valtorta. Avec finesse et sensibilité, il vient enrichir le dialogue entre foi et raison en soumettant ces trois phénomènes mystérieux au regard des chercheurs et scientifiques dont l’historien Jean-Christian Petitfils, le photographe du Shroud of Turin Research Project (STURP) Barrie Schwortz, et du spécialiste François-Michel Debroise.
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Érythrée : une centaine d’étudiants chrétiens arrêtés lors d’un raid
Plus de cent étudiants érythréens de confession chrétienne ont été arrêtés au cours d'un raid policier début avril. Ils ont été emprisonnés dans une prison réputée pour ses terribles conditions de détention.
103 Érythréens chrétiens, majoritairement étudiants, ont été arrêtés à Asmara, la capitale, lors d’un raid policier au début du mois d’avril, selon l’ONG Release International. Ces derniers se seraient rassemblés pour un temps de prière et auraient enregistré des vidéos destinées aux réseaux sociaux. Ils ont été emmenés à la prison de Mai Serwa, qui détient en son sein plus de 500 prisonniers chrétiens dont la plupart n’ont jamais été jugés. Mai Serwa est tristement connue pour sa surpopulation carcérale et les traitements inhumains infligés aux détenus.
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Cinq étages pour atteindre le Ciel selon sainte Thérèse de Lisieux
Comment atteindre le Ciel ? Pour Thérèse de Lisieux, dont l'Eglise fête ce 29 avril le 100e anniversaire de sa béatification, rien de mieux que de prendre directement l'"ascenseur spirituel." Voici les cinq étages à monter.
Chez Thérèse de Lisieux, tout est finalement un peu à l’envers. Alors que la vision traditionnelle de la sainteté est comparée à l’ascension d’une montagne bien escarpée, la petite Thérèse a eu l’intuition d’atteindre le Ciel d’une manière opposée : au lieu de gravir les marches du « rude escalier de la perfection », elle veut prendre… l’ascenseur. Rien d’étonnant : c’est à son époque que l’ascenseur apparaît comme une invention technologique qui fait rêver tout le monde :
« Je veux chercher le moyen d’aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle. Nous sommes dans un siècle d’inventions, maintenant ce n’est plus la peine de gravir les marches d’un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement. Moi, je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m’élever jusqu’à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection.
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29 avril 1923, le jour où Thérèse de Lisieux a été béatifiée
C’était il y a cent ans jour pour jour. Le 29 avril 1923, la basilique Saint-Pierre resplendit de la gloire de la petite Thérèse de l’Enfant Jésus, proclamée bienheureuse. L’Église et le monde sont en fête. Récit d’une journée pleine de grâces et de surprises.
Fait assez exceptionnel pour l’époque, il se sera écoulé à peine un quart de siècle entre la mort à Lisieux de sœur Thérèse de l’Enfant Jésus, petite carmélite inconnue, le 30 septembre 1897, et sa béatification, en 1923, alors qu’elle est devenue mondialement célèbre. Préparées, attendues, les cérémonies qui se dérouleront à Saint-Pierre de Rome le 29 avril 1923, marqueront les esprits comme un très grand triomphe, en même temps qu’une célébration du catholicisme français, au terme du long refroidissement entre la IIIe République laïcarde et le Vatican.
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Comment sainte Catherine de Sienne a réformé l’Église
Quand il est difficile d’aimer son Église, quand la réforme dans l’Église paraît impossible, un guide sûr nous est donné avec sainte Catherine de Sienne (1347-1380). En pleine crise, avec une folle liberté de ton et un infini respect, elle s’est employée à sanctifier chacun à sa place, et si elle ose réprimander les clercs dans l’erreur, c’est pour fortifier leur autorité, pas pour diluer leur ministère.
Dans une de ses lettres, sainte Catherine de Sienne écrit : « Oui, nous devons nous passionner pour la sainte Église, par amour de Jésus crucifié » (Lettre à la reine de Hongrie, 145). Voilà qui sonne aujourd’hui comme une provocation ! On veut bien à la rigueur aimer Jésus, d’ailleurs plutôt ressuscité que crucifié — ça fait moins peur —, mais de là à se passionner, à cause de Jésus, pour l’Église qualifiée de sainte, là on ne suit plus. Peut-on vraiment l’aimer cette Église dont la vie est rythmée par les scandales et les abus, dont la médiocrité des clercs est imitée souvent par celle des fidèles, et qui ne sait plus annoncer le Christ ressuscité à un monde qui la rejette violemment ou s’éloigne d’elle dans un silence indifférent ? Jésus, d’accord, l’Église, non ! Pourtant, Catherine l’a perçu plus que quiconque, l’amour de Jésus jusqu’à la Croix exige de se passionner pour l’Église. Car comme elle l’écrit dans une autre lettre : « L’Église, c’est la même chose que le Christ » (Lettre à Nicolas Soderini, 53). Parce que l’Église est à la fois corps mystique du Christ et épouse du Christ selon saint Paul, on ne saurait aimer ni servir le Christ sans aimer et servir l’Église. Pour comprendre cet amour inconditionnel de l’Église chez Catherine, il faut se pencher un peu sur son itinéraire.
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Les anges en verre de Reims, surprenants chefs-d’œuvre de Lalique
Le monde entier connaît l’ange au sourire de la cathédrale de Reims. Et pourtant la capitale champenoise peut se targuer de posséder un autre trésor : les trente anges que René Lalique a créés pour l’église Saint-Nicaise, au cœur de l'étonnante cité-jardin du Chemin Vert. Ils confèrent à ce sanctuaire une atmosphère toute particulière.
À Reims se trouve une église qui, si elle n’accueille évidemment pas autant de visiteurs que la cathédrale, recèle elle aussi de nombreux trésors. Au centre du quartier du Chemin Vert, à la périphérie de la ville, se dresse l’étonnante église Saint-Nicaise. Si l’extérieur de style romano-byzantin est simple, c’est la richesse de ses décors qui la distingue : son aménagement intérieur a été réalisé par quelques-uns des plus grands artistes et décorateurs de l’époque de sa construction, dans les années 1920. Le peintre Maurice Denis a ainsi conçu le baptistère, surmonté de versets bibliques et entouré d’un décor représentant des paysages fluviaux. Roger de Villiers a créé quant à lui la plus grande partie du statuaire dont une remarquable Sainte Famille ainsi que Saint Nicaise, patron et fondateur du diocèse de Reims à qui l’église est consacrée.
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En Hongrie, un pape debout pour la paix
C’est un pape certes fatigué, au souffle parfois court, mais solidement debout qui a entamé la première journée de son voyage en Hongrie, où il est arrivé ce matin, 28 avril. Au cœur de son message adressé à l’Europe : la paix dans l'Ukraine voisine.
Par Anna Kurian, envoyée spécial en Hongrie. De nombreuses questions ont été soulevées autour de la santé de François ces derniers temps. Depuis un an, le pape de 86 ans souffrant du genou se déplace la plupart du temps en fauteuil roulant ou en déambulateur. Une réduction de mobilité qui a demandé des aménagements lors des sorties, des célébrations et des voyages. Et fin mars, François a été hospitalisé trois jours à l’hôpital Gemelli de Rome, officiellement pour une bronchite. Les rumeurs étaient allées bon train autour de cette hospitalisation dont le Saint-Siège avait cherché en un premier temps à relativiser la gravité.
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« La crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu »
Dans son dernier essai, “Dieu, après la peur” (Salvator), le philosophe Martin Steffens présente la crainte de Dieu, ce don du Saint-Esprit mal compris. Il explique à Aleteia comment la crainte chrétienne nous libère de la peur en acceptant de nous laisser surprendre dans la rencontre avec Dieu.
Le don du Saint-Esprit de la crainte de Dieu ne signifie pas avoir peur de Dieu. Au contraire, explique Martin Steffens, cette crainte est un désir, le désir d’une rencontre qui nous enseigne que tout nous est donné, que nous ne possédons rien, que rien n’est absolument de notre fait. C’est ainsi que la crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu.
Aleteia : Au premier abord, on peut croire que vous allez nous parler de Dieu tel qu’il ne faut plus le craindre, dans la lignée de livres comme Nous irons tous au Paradis, plein d’un optimisme chrétien…
Martin Steffens : Il n’y a pas d’optimisme chrétien, mais seulement une espérance chrétienne. Laquelle, en effet, nous libère de toutes nos peurs, même de la peur de Dieu.
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Béatification des cinq prêtres martyrs de la Commune, une joie palpable
La béatification de cinq prêtres tués sous la Commune le 26 mai 1871 s’est déroulée ce samedi 22 avril à l’église Saint Sulpice, à Paris, présidée par le Cardinal Marcello Semeraro, préfet du dicastère des causes des saints. Une célébration majestueuse, portée par la prière des fidèles et des nombreux prêtres présents, sous le signe de la joie.
Si une béatification est toujours une fête pour le Peuple de Dieu, la joie était d’autant plus palpable en ce samedi 22 avril à Saint Sulpice que cela faisait plusieurs décennies que les ordres auxquels appartenaient les cinq prêtres tués sous la Commune attendaient la reconnaissance de leur martyre. Environ 2.500 personnes se sont rassemblées dans la plus grande église de Paris. L’occasion était rare : cinq prêtres français, tués en haine de la foi par des partisans de la Commune de Paris le 26 mai 1871, ont été proclamés bienheureux. Des noms méconnus de la plupart des fidèles, mais dont la béatification permet désormais de rendre le culte public. Il s’agit du père Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, ainsi que des pères Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, tous les quatre religieux picpuciens.
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Les martyrs de la Commune, une béatification qui oblige
En béatifiant cinq prêtres massacrés "en haine de la foi", l’Église ne cherche pas la polémique avec les défenseurs de la Commune de Paris. Sa démarche est tout sauf politique, souligne notre chroniqueur, c’est un devoir de justice et de vérité.
Ce samedi 22 avril, l’Église catholique béatifie cinq ecclésiastiques martyrisés pendant la Commune. Citons-les : Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, quatre religieux picpuciens. Pour l’occasion, le Vatican envoie une de ses huiles sur le feu des passions françaises : Mgr Marcello Semeraro, préfet du dicastère pour la cause des saints. Le cardinal se déplace en personne pour célébrer la messe à Saint-Sulpice, la plus grande église de Paris. Gageons que des black blocs ne viennent pas gâcher la fête pour faire battre en retraite les Versaillais qui votent Emmanuel Macron et leurs suppôts calotins. Pourtant, sur ce dossier, le Saint-Siège a tout fait pour la jouer prudente car les maux gisent dans les mots : officiellement, l’Église va honorer les prêtres martyrs « de 1871 » et non « de la Commune », à l’image des martyrs « de septembre » (1792) préféré à ceux « de la Révolution française ». Dater plutôt que nommer. Comment interpréter ce jeu de cache-cache sémantique ? Hasardons-nous à quelques pistes.
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« À mort les calotins ! », le massacre des otages de la rue Haxo
Après l’exécution de Mgr Darboy et de ses cinq compagnons, la Commune de Paris est emportée par sa folie meurtrière. Ce seront les tueries des 25 et 26 mai avenue d’Italie et rue Haxo, où meurent dans la confusion mais dignement seize autres prêtres et religieux, avec une quarantaine d’otages. (3/3)
Dans quelques jours, les troupes versaillaises auront repris Paris. Adolphe Thiers avait eu la possibilité de sauver l’archevêque de Paris et 74 autres otages avec lui en les échangeant contre Auguste Blanqui, mais s’en était bien gardé. Il fera donner à Mgr Darboy des obsèques nationales solennelles. Pour l’heure, l’annonce de l’assassinat de l’archevêque est pain bénit. Maintenant, les Communards n’ont plus de pitié à attendre ; ils sont tous voués à la mort, les vrais coupables comme les innocents, les idéalistes comme les assassins.
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Frat de Lourdes : ce tube que 10.000 lycéens n’oublieront jamais
"N'aie pas peur Il est là, Ohoh lalalalalala" ! Assurément ce refrain entêtant va être repris par près de 10.000 lycéens qui se retrouvent enfin à Lourdes à partir de ce dimanche pour le Frat 2023.
Ce dimanche 23 avril, c’est le grand retour du Frat à Lourdes ! Après les années d’annulation à cause du Covid, près de 10.000 lycéens sont attendus du 23 au 28 avril dans la cité mariale pour vivre une semaine exceptionnelle de foi, de partage et de prières. Ils pourront, entre autres, rencontrer quelques personnalités qui ont marqué l’année catho, comme le comédien Mehdi Djaadi, auteur de Coming out, ou encore sœur Catherine, la religieuse qui apparaît dans le dernier film de Gad Elmaleh, Reste un peu.
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La paix par les plaies
Un jour, un homme ne s’est pas vengé, et l’histoire s’est retournée. Ainsi naquit le règne de la Miséricorde, raconte le père Luc de Bellescize, montrant que la rédemption est plus forte que le mal.
« Quel est ton nom ? demande l’empereur de Rome dans le film Gladiator de Ridley Scott, tu as bien un nom tout de même ? — Mon nom est Gladiateur, dit “l’Espagnol” en se retournant. — Comment oses-tu me tourner le dos, esclave ! Tu vas retirer ton casque et me dire comment tu te nommes. » Alors l’ancien officier fait face à son ennemi :
Mon nom est Maximus Desimus Meridius, commandant en chef des armées du Nord, général des légions Félix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurèle. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassinée, mais j’aurais ma vengeance dans cette vie ou dans l’autre.
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