Qui est cet évêque à un million d’abonnés sur Youtube ?
Mgr Robert Barron, évêque de Winona-Rochester dans le Minnesota, cartonne sur Youtube où il attire plus d’un million d’abonnés. Depuis ses débuts sur la plateforme en 2007, cet Américain francophile est devenu maître dans l’art de l’évangélisation sur les réseaux sociaux.
Un style épuré, une voix claire et une expression tranquille. À l’écran, Mgr Robert Barron préfère la simplicité aux codes couleurs un peu criards en vogue chez les Youtubeurs. Depuis 17 ans, cet évêque américain à la tête du diocèse de Winona-Rochester, dans le Minnesota, parle du Christ sur les réseaux sociaux. Aux États-Unis, l’évêque fait même un carton. Début février, il a dépassé le million d’abonnés sur sa chaîne Youtube, ouverte en 2007.
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Attaque sanglante contre une église catholique du Burkina Faso, 15 morts
Au moins quinze fidèles ont été tués et deux autres blessés dans une attaque survenue dimanche dans une église catholique du diocèse de Dori, dans le nord du Burkina Faso, non loin des frontières du Mali et du Niger.
Une tragédie sans fin pour les catholiques du Burkina Faso. « C’est dans la foi et dans l’espérance que nous portons à votre connaissance l’attaque terroriste dont a été victime la communauté catholique d’Essakane-Village ce jour 25 février 2024, alors qu’elle était réunie pour la prière du dimanche », a fait savoir dans un communiqué le diocèse de Dori, dans le nord du Burkina Faso. Et d’égrener un effroyable bilan : 15 morts et deux blessés. « En cette circonstance douloureuse, reprend le communiqué, nous vous invitons à la prière pour le repos en Dieu de ceux qui sont morts dans la foi, pour la guérison des blessés et pour la consolation des cœurs éplorés. Prions aussi pour la conversion de ceux qui continuent de semer la mort et la désolation dans notre pays, est-il écrit dans le communiqué. Que nos efforts de pénitence et de prière en ce temps béni du Carême nous obtiennent la paix et la sécurité pour notre pays le Burkina Faso. »
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A la découverte des musées du Vatican, une série inédite sur KTO
KTO vous propose une plongée dans les trésors artistiques du Vatican, accumulés par les papes pour manifester la gloire de Dieu, pour un voyage au sein de l'une des plus grandes collections d'art du monde. Une série de cinq épisodes produits par la RAI. Rendez-vous dès ce mercredi 28 février à 20h35.
Marchez en juin dans les pas de François d’Assise avec Aleteia !
Du 3 au 9 juin 2024, la rédaction d’Aleteia vous propose une marche spirituelle en Italie dans les pas de saint François d’Assise.
Sacré personnage que saint François d’Assise ! radical, marginal, anticonformiste, écolo… La figure du Povorello d’Assise n’a décidément, plus de 800 ans après, pas fini d’intriguer et d’interpeller. L’Église a reconnu plus de quarante miracles attribués à saint François d’Assise (1181-1226). Celui qui voyait Dieu en tout n’a cessé d’inspirer au fil des siècles par son exemple et son engagement total. Aujourd’hui, la rédaction d’Aleteia vous propose de marcher dans ses pas. Du 3 au 9 juin, joignez-vous à une marche au départ de Rieti et jusqu’à La Verna, en passant par Assise, afin de méditer sur la vie de saint François au cœur des paysages qu’il a aimés.
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Malte, petit paradis des pèlerins
Niché au cœur de la Méditerranée, au large de la Sicile et de la Tunisie, le petit archipel maltais a décidément tout pour ravir le cœur des touristes et des pèlerins. Malte ce sont des paysages à couper le souffle, une culture multiséculaire, des traditions qui se perpétuent mais aussi une foi profonde, un patrimoine religieux exceptionnel et une ferveur qui saura réchauffer les âmes engourdies.
Il est des voyages qui marquent autant le cœur que le corps, l’âme et l’esprit. Des voyages qui ne nécessitent pas de parcourir la moitié du globe pour déconnecter d’un quotidien effréné et se reconnecter à l’Essentiel. Situé au large de la Sicile et de la Tunisie, au cœur de la Méditerranée, l’archipel maltais en fait partie. Composé de six îles dont les principales sont Malte, Gozo et Comino, Malte est le plus petit État de l’Union européenne avec 316 km2 de superficie. Petit par la taille peut-être, mais certainement pas par son histoire, sa foi et son patrimoine.
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Quel est le secret de longévité des plus anciens ordres religieux ?
700 ans, 800 ans, 900 ans, et même presque 1.000 ans… Certains ordres religieux comptent parmi les organisations les plus anciennes du monde. Entre intuition fondatrice et règles de vie, prière et travail, discipline et fraternité, quel est leur secret de longévité ? Explication.
Y-a-t-il une forme de vie religieuse commune qui garantit une longévité de 700, 800, 900 ans ? Quelle est la formule qui donne des résultats aussi impressionnants ? De nombreux chercheurs se sont penchés sur la question en analysant de près les plus anciens ordres religieux. Comme, par exemple, ce monastère bénédictin d’Engelberg en Suisse, fondé en 1120 qui a fait l’objet d’une étude d’Emil Inauen de l’Université de Zurich, sur l’influence de la gouvernance monastique dans sa capacité de survie. D’autres scientifiques ont comparé la différence de mode de fonctionnement entre les ordres contemplatifs (les cisterciens) et les ordres prêcheurs (les dominicains) et leur potentiel de longévité grâce notamment aux mécanismes de gouvernance. Ceux qui sont définis par les règles de vie monastique (dont la Règle de saint Benoît ou celle de saint Augustin) qui constituent de vrais trésors de sagesse. Si elles peuvent être une vraie source d’inspiration pour la vie quotidienne de chaque chrétien, elles le sont également pour le management d’entreprise.
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[HOMÉLIE] De l’ablation à l’oblation, le sacrifice véritable
Le père Simon d’Artigue, curé de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse, commente les lectures du 2e dimanche de carême. Le sacrifice d’Abraham nous apprend le sens du sacrifice véritable : ce que Dieu attend de moi, ce n’est pas que je me sacrifie et que je meure, mais que je m’offre et que je vive.
Ce mercredi 21 février, nous célébrions le martyre de ces vingt-et-un coptes égorgés en 2015 sur une plage de Libye, non pas seulement des « ressortissants égyptiens » comme l’affirmait le président de la République, mais des fils de Dieu, des chrétiens, nos frères dans la foi. Vingt-et-un jeunes hommes sont à genoux, au pied d’hommes prêts à les égorger, parce qu’un dieu, leur dieu leur aurait demandé de le faire et ils sont égorgés à cause de leur foi. Ces vingt-et-un hommes, nos frères, sont morts en martyrs, le sacrifice de leur vie, leur sang versé est semence de chrétienté a dit Tertullien il y a 1.800 ans, et c’est encore vrai aujourd’hui. Contrairement au mensonge du monde, la violence ne gagne jamais, ces martyrs sont les grands vainqueurs. Mais au Nigeria ou en Turquie, à Kaboul ou Téhéran, des hommes, des femmes, des enfants parfois commettent des attentats-suicides et on nous rapporte qu’eux aussi meurent en martyrs, on nous dit qu’eux aussi se sont sacrifiés pour une cause. Qu’y a-t-il de commun entre ces martyrs ? Qu’y a-t-il de commun entre ces sacrifices ? Qu’y a-t-il de commun entre celui qui se tue dans le but de tuer et celui qui donne sa vie ?
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En Inde, une religieuse humiliée et forcée de descendre d’un bus
Sœur Rome Mary, une religieuse indienne résidant dans l'État du Meghalaya en Inde, a été humiliée et forcée de descendre du bus par des passagers hindous, le 17 février. Le diocèse de Taru s'est plaint de cette nouvelle agression auprès des autorités, souvent incapables de protéger les minorités chrétiennes de plus en plus menacées.
Il ne fait pas bon vivre en Inde pour ceux qui ont choisi de donner leur vie à Dieu. Le diocèse de Tura, situé dans l’État du Meghalaya, s’est plaint auprès du gouvernement de l’humiliation d’une religieuse et de son expulsion d’un bus, a annoncé l’évêque auxiliaire du diocèse, Mgr José Chirackal auprès du journal UCA News le 22 février.
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Marthe domptant la Tarasque, un chef d’œuvre pour une terrifiante histoire
Dans la collégiale sainte Marthe de Tarascon (Bouches-du-Rhône) se trouve un chef d'œuvre de Carle Van Loo. Peint en 1730, il raconte une terrifiante histoire.
Selon la tradition provençale, Marthe s’est installée aux Saintes-Maries-de-la-Mer avec sa fratrie et d’autres disciples. C’est elle qui aurait fondé la première communauté chrétienne de Tarascon, vers l’an 50. Au-dessus de l’emplacement supposé du tombeau de Marthe, une collégiale royale a été édifiée et porte son nom.
Parmi les récits que la tradition rapporte, à prendre donc avec d’infinies précautions, la sainte aurait vaincu la Tarasque, qui terrorisait la population de Tarascon. La Tarasque ? Jacques de Voragine, l’auteur de « La légende dorée », évoque à son sujet un « dragon, mi-animal, mi-poisson, plus gros qu’un bœuf, plus long qu’un cheval, avec des dents aigües comme des cornes, et de grandes ailes aux deux côtés du corps ; et ce monstre tuait tous les passagers et submergeait les bateaux ».
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Les rois de la Bible : David, un roi fédérateur mais faillible
Le célèbre roi David, personnalité de contraste, capable des plus grands faits héroïques mais aussi des plus sombres, fera rayonner Israël bien après son règne, notamment par les non moins célèbres psaumes qui lui sont attribués et sa prestigieuse descendance…
Huitième fis de Jessé de la tribu de Juda, David est cité plus de 900 fois dans la Bible, signe de son importance. Succédant au roi Saül de manière singulière, David n’était cependant nullement destiné à de si hautes fonctions. C’est aux livres de Samuel dans l’Ancien Testament que nous apprenons, en effet, son histoire parvenue jusqu’à nous notamment pour ses faits héroïques : Ami du roi Saül dont il savait calmer les douleurs grâce à son art de la lyre dans lequel il excellait, David fut très tôt également un guerrier redoutable terrassant le géant philistin Goliath car l’esprit de Dieu régnait déjà sur lui… Mais la jalousie allait bientôt saisir le roi Saül qui vit en son ami David un rival susceptible de lui faire de l’ombre. En cherchant à le faire périr lors des combats en le plaçant en première ligne, Saül scellera son propre destin en tombant en disgrâce aux yeux du Seigneur. David lui succèdera alors en devenant roi de tout Israël après une longue lutte fratricide entre les partisans du roi Saül et ceux de David.
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Bernadette de Lourdes débarque à Rome pour le Jubilé 2025
La comédie musicale Bernadette de Lourdes se jouera en italien à Rome à l’occasion du Jubilé 2025. Une projection du spectacle a eu lieu cette semaine dans un cinéma de la Ville éternelle.
Après avoir conquis plus de 200.000 spectateurs en France, le spectacle musical ‘Bernadette de Lourdes’ s’apprête à franchir les Alpes. À l’occasion du Jubilé 2025 qui doit drainer plus de 30 millions de pèlerins à Rome, « il musical » – comme on dit en italien – sera joué à deux pas de la basilique Saint-Pierre, à l’Auditorium della Conciliazione. Durant un mois, du 16 janvier au 16 février, les habitants de Rome et ses visiteurs pourront entendre et voir l’histoire de la petite bergère à qui la Vierge Marie est apparue à 18 reprises en 1858. Le spectacle se déplacera ensuite dans les principales villes d’Italie, à Naples, Bari, Milan ou bien Florence.
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Parcours Alpha
Envie de donner sens à votre vie? Tentez l'expérience du Parcours Alpha,
Découverte du parcours Alpha autour d'un buffet offert le mardi 5 mars de 19h30 à 22h à la Maison paroissiale de sisteron : 11, avenue du Stade à Sisteron.
Que dire à ces jeunes qui n’ont plus besoin de Dieu ?
Dans "Lettres à Alma qui n’a plus besoin de Dieu", qui vient de paraître aux éditions du Cerf, le père Luc de Bellescize échange une correspondance avec une jeune femme qui se pose les grandes questions que chacun se pose, à l’intime de son âme, quand les épreuves de la vie secouent votre conscience.
Dans un échange épistolaire où seules les réponses du père Luc de Bellescize apparaissent, nous découvrons Alma et deux cheminements qui se croisent et qui se cherchent. Alma a reçu une éducation chrétienne, mais a perdu la foi. La mort de sa grand-mère qu’elle adore met son âme à nu. La retrouvera-t-elle un jour ? « Je ne crois pas que vous ayez perdu la foi, lui dit le prêtre, mais elle a cessé d’irriguer votre vie. Elle demeure une source cachée qui ne demande qu’à jaillir. » Le père de Bellescize répond aux questions d’Alma en ne cachant rien de son propre parcours. Au fil des lettres, il cherche à montrer les liens entre la terre et le Ciel, entre la raison et la foi. Pourquoi la mort ? Pourquoi l’amour ? Comment être libre ? Pourquoi en nous ce désir d’éternité ?
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« Heureux les pauvres de cœur » : cette pauvreté dont parle l’Évangile
"Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux." (Mt 5, 3). Qu'est-ce que cette pauvreté évoquée par le Christ parmi les huit béatitudes ? Le père Philippe Bernard, curé de la paroisse Saint-Jacques-des-Valleuses à Saint-Léonard (Seine-Maritime) répond à la question pour Aleteia.
C’était sur les rives du lac de Tibériade, non loin de Capharnaüm. Sur une montagne dont on ne sait pas grand chose, si ce n’est qu’elle manifeste le point de jonction entre la terre et le ciel, le Christ s’adresse à son peuple pour lui livrer ce que le père Philippe Bernard appelle une « feuille de route » : les huit béatitudes. « D’abord, estime ce curé de Normandie, il faut savoir que les deux traductions se valent : on peut dire ‘pauvre en esprit’, ou ‘pauvre de cœur’. Je préfère la première qui me paraît plus facile à comprendre. Elle évoque l’attitude de celui qui sait dire : merci Seigneur pour mes biens matériels, bien qu’ils ne soient pas au cœur de ma vie ».
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Vivre dans le Christ avec l’esprit d’enfance de Thérèse de Lisieux
Avec la petite Thérèse comme avec tout l’Évangile, le paradoxe est que l’on devient adulte dans le Christ en devenant toujours plus enfant de Dieu.
Thérèse de Lisieux, avec sa « petite voie » d’enfance spirituelle, est aimée de tous, particulièrement en France. Mais est-elle comprise ? Ne se contente-t-on pas trop souvent d’une espèce de soupe « Sainte Thérèse pour les nuls », avec pour sous-titre « le christianisme sans peine » ? De quoi parle-t-on vraiment lorsqu’on parle d’enfance spirituelle ? Il faut commencer par une objection. Thérèse aurait-elle une vision naïve de l’enfance ? L’enfant, ce sont souvent l’égocentrisme et la volonté de puissance. L’enfant est celui qui voit le monde tourner autour de sa personne, de ses désirs, de ses caprices, qui use et abuse de l’affection de ses parents et frères et sœurs. Une bonne part de l’éducation consiste précisément à apprendre à l’enfant à se décentrer de lui-même, à considérer l’existence et les besoins d’autrui. De plus, l’enfant est un être encore inachevé. Pendant toute une période, il vit dans le rêve, dans le désir, et n’est pas responsable de ses actes – y compris juridiquement. Il ne peut subsister par lui-même, jusque dans les opérations vitales – se nourrir, se déplacer, etc. On ne voit pas très bien, là non plus, en quoi ce serait un état enviable, même pour un chrétien. Si c’est cela, l’esprit d’enfance exalté par Thérèse de Lisieux, non merci !
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Les aidants, « aimants » bâtisseurs d’une culture de vie
Elles sont les grandes oubliées de la société, ces milliers de personnes qui donnent à voir, au milieu des souffrances, ce qu’il y a de plus beau et de plus humain en chacun : cette capacité à prendre soin. Blanche Streb rend hommage aux "aidants" qui se dévouent en silence à leurs proches atteints d’une longue maladie, handicapés ou en fin de vie.
Il y a quelques jours, au sein d’un colloque, je devais donner un petit enseignement dont l’intitulé qui lui avait été donné désignait l’époque que nous vivons comme celle d’une « culture de mort ». Certes, que dire d’autre quand on regarde les sujets qui touchent à la vie, en particulier les lois qui existent ou qui rôdent ? Il faudrait être aveugle pour ne pas voir ces forts courants politiques, culturels, économiques porteurs d’une certaine conception utilitariste de la société qui fomentent une culture réellement contraire à la solidarité et à la vie. Oui, il y a un combat où s’affrontent cultures de vie et de mort, bien et mal. Pourtant, quelque chose en moi veut résister à cette seule évocation de culture de mort pour qualifier notre temps ; mon côté rebelle veut dire NON, ce n’est pas tout.
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La syntonie, le plus grand défi des couples
Communiquer des faits, des informations, passe encore, mais exprimer ses émotions ou, plus difficile encore, comprendre les émotions de son conjoint, voilà un défi de taille pour les couples ! Et un enjeu aussi.
Les conseillers conjugaux sont unanimes : la communication est un pilier du couple. Mais qu’entend-on précisément par communication ? Car il n’est pas question ici des échanges concernant le menu du dîner ou l’organisation du week-end, non. Il s’agit plutôt de l’expression sincère, vraie et réciproque, de ses émotions, de ses désirs, de ses besoins, et de la réception attentive et bienveillante que leur réserve le conjoint. Un dialogue en profondeur qui permet d’éviter bien des quiproquos conjugaux et leur lot de disputes et de frustrations. « Le premier processus à construire au sein du couple est celui de la compréhension mutuelle des émotions », souligne Marc d’Anselme, psychologue et thérapeute de couple, auteur du récent ouvrage L’amour durable (Artège).
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Les cinq textes de Georges Bernanos à lire absolument
Né le 20 février 1888, écrivain de combat et ancien combattant, romancier spirituel et figure de la résistance, Georges Bernanos a laissé derrière lui une pléthore d’œuvres majeures.
Parmi la quarantaine d’écrits (essais, romans, théâtre et correspondance), publiés par Georges Bernanos, voici les cinq œuvres qu’il faut impérativement avoir lues.
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Le père Salvador sauve le Saint-Sacrement d’une attaque terroriste au Mozambique
Le presbytère, l’église et les locaux de la paroisse Notre-Dame d'Afrique de Mazeze, dans le diocèse de Pemba (Mozambique) ont été réduits en cendres lors d’une attaque terroriste le 12 février. Le père Salvador Maria Rodrigues de Brito a heureusement pu sauver ce que l’église comptait de plus précieux : le Saint-Sacrement.
Le Mozambique se retrouve à nouveau depuis quelques jours plongé dans la violence, en particulier la région de Capo Delgado au nord du pays. Ces derniers jours, des mouvements djihadistes proches de Daech ont attaqué les populations et brûlé plusieurs écoles et églises, forçant des milliers de personnes à fuir. Alors que le pape François a appelé ce dimanche 18 février à prier pour le Mozambique, le père Salvador Maria Rodrigues de Brito, curé de la paroisse Notre-Dame d’Afrique de Mazeze, dans le diocèse de Pemba (dans la région de Capo Delgado), a raconté au micro de Radio Pax le 14 février comment les terroristes ont réduit en cendres le presbytère, l’église et les locaux de sa paroisse.
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Carême : le Pape invite à dompter les « bêtes sauvages » qui sont dans nos cœurs
Les "passions désordonnées" sont comme des "bêtes sauvages" qui "doivent être apprivoisées et combattues", a déclaré le pape François lors de l’Angélus du 18 février 2024, premier dimanche du carême.
Le temps du carême doit permettre à l’homme de suivre l’exemple du Christ qui a passé quarante jours dans le désert, période pendant laquelle il a été tenté par le diable, , a affirmé le pape François lors de l’Angélus du 18 février. François a rappelé que dans l’Évangile de Marc, Jésus « vivait parmi les bêtes sauvages et les anges le servaient », et a proposé une lecture symbolique de cette présence.
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[HOMÉLIE] Pourquoi Jésus se retira parmi les bêtes sauvages ?
Le père Clément Barré, prêtre coopérateur de la paroisse Saint-Joseph-des-Jalles dans le diocèse de Bordeaux, commente les lectures du 2e dimanche de carême. C’est au désert que Jésus triomphe là où Adam a chuté. Le temps du carême n’est pas un temps pour être plus fort, mais un temps pour nous unir au Christ victorieux du mal.
Sur les tentations au désert, Marc assure le service minimum… et cela nous déstabilise un peu. Nous sommes tellement habitués à entendre en début de carême le récit des trois tentations, que nous oublions qu’un an sur trois, il nous faut nous contenter de ce court récit. Pas de pain qui peuvent devenir des pierres ou de saut de l’ange depuis le sommet du Temple, simplement une sobre mention : « Il y resta quarante jour tenté par Satan » (Mc 1, 13). Toutefois, si Marc se démarque de Matthieu et Luc par ce qu’il ne raconte pas, il y a aussi quelque chose qu’il est le seul à dire : « … tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient. » La tentation par Satan, c’est habituel. C’est même le cœur de ce passage de l’Évangile. Le service par les anges est aussi mentionné par Matthieu, mais Marc est le seul à parler des bêtes sauvages.
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Bernadette de Lourdes, derrière la sainte, une femme au caractère bien trempé
L'Église fait mémoire le 18 février de sainte Bernadette Soubirous, à laquelle la Vierge est apparue dix-huit fois au cours de l'année 1858. Derrière l'adolescente aux mains jointes, puis la religieuse, se dessine une femme au caractère bien trempé.
Le 11 février 1858, la Vierge apparaît à Bernadette Soubirous, une petite bonne femme de 14 ans qui vient d’une famille pauvre des environs. C’est le début d’une série de dix-huit apparitions au cours desquelles la fameuse « Dame » donnera son nom : elle est l’Immaculée conception. Fille d’un meunier ruiné, on imagine parfois Bernadette comme une jeune fille en sabots discrète et timorée, à la limite de la mièvrerie. Il n’en est rien. Simple, assurément, elle l’est, mais la petite Pyrénéenne a également un caractère bien trempé. Elle a le sens de la répartie.
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Sa famille lui dessine un sourire géant dans le ciel
L’hospice de Saint Richard à Worcester en Angleterre, a été le théâtre d’une touchante attention. Un pilote a dessiné dans le ciel de janvier un visage souriant devant les yeux émerveillés de Ray Stanton, 66 ans, atteint d’un cancer incurable et passionné d’aviation.
Un sourire dessiné dans le ciel ? Ce sourire est la prouesse d’un pilote de voltige aérienne, Rich Goodwin, rapporte la BBC. Il l’a exécutée en l’honneur de Ray Stanton, 66 ans, hospitalisé pour un cancer en l’hospice de Saint Richard à Worcester en Angleterre. « C’était un événement vraiment spécial pour tous ceux qui l’ont regardé ! », a déclaré avec émotion, l’épouse de Ray, Angela.
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Fra Angelico, ce peintre bienheureux qui ne retouchait jamais ses œuvres
Nous connaissons le peintre, mais bien peu le bienheureux. Ce dominicain qui peignait comme un ange était d’abord un homme de prière et de pauvreté. Béatifié par le pape Jean-Paul II, l’Église fête sa mémoire le 18 février.
Pour Bernadette, la séance, une de plus, est interminable. Depuis des semaines, prêtres, religieux, évêques, théologiens de renom ou prétendus tels, mais aussi journalistes et simples curieux, parfois d’ailleurs vraiment en quête de Dieu, défilent à Lourdes, demandent à la voir et l’éreintent de questions, toujours les mêmes. Il en est une qui revient régulièrement : à quoi ressemble la Sainte Vierge ? Consciencieusement, l’adolescente tente de répondre, allant même, un jour, pour un visiteur plus malheureux que les autres, à « lui faire le sourire de Notre-Dame », se transfigurant au point que cet agnostique se retirera converti. Aujourd’hui, les ecclésiastiques venus la voir ont apporté un gros livre présentant les reproductions des plus célèbres images mariales. Il y a là les plus grands peintres et sculpteurs de l’histoire de l’art chrétien mais rien n’y fait et Bernadette se contente de tourner les pages avec une grimace de dépit : cela ne ressemble ni de près ni de loin à ce qu’elle a vu. En comparaison, tout est laid. Soudain, elle suspend son geste, se penche vers l’image, peinte par Fra Angelico, hésitante, murmure : « Il y a quelque chose, là… » puis soupire que « Non, ce n’est pas cela ».
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Le vide du Panthéon
Que signifie la multiplication des "panthéonisations" ? Quand on ne cesse de déconstruire les normes, qu’on ne sait plus ce qu’est une nation, il ne reste plus que le culte des morts pour remplir le vide du pouvoir démocratique, explique l’historien Paul Airiau.
Donc, par la grâce présidentielle, la France et la République — c’est ici tout un — vont se voir doter d’un nouveau saint : Robert Badinter, santo subito. Et toc, encore un héros républicain, à un rythme échevelé serait-on tenté de dire. Car la chronologie est implacable. Depuis la présidence de Jacques Chirac, la République canonise, célèbre, panthéonise et rend hommage à tout va. Quatre panthéonisations, six hommages nationaux et une cérémonie d’obsèques nationales sous Jacques Chirac, quatre hommages nationaux et deux cérémonies d’obsèques nationales sous Nicolas Sarkozy, quatre panthéonisations et quinze hommages nationaux sous François Hollande, trois panthéonisations, 23 hommages nationaux et deux cérémonies d’obsèques nationales sous Emmanuel Macron — et on laisse ici de côté les hommages nationaux aux militaires tués en opération. François Mitterrand n’avait panthéonisé que quatre fois, Valéry Giscard d’Estaing et Georges Pompidou aucune, et Charles de Gaulle une.
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Le christianisme, religion de la Parole
La rencontre avec le Christ passe toujours par une rencontre avec une parole. Pour la philosophe Jeanne Larghero, nous pouvons changer une vie en osant parler du feu de l’amour de Dieu pour elle.
Levons un malentendu. Le christianisme n’est pas une religion du Livre. Selon une idée reçue qui a la vie dure, il y aurait trois grandes religions du livre, entendez le judaïsme, le christianisme et l’islam, chacune ayant son texte de référence, le texte qui fait foi. C’est une idée fausse. Le christianisme n’est pas une religion du Livre, il est la religion de la Parole. « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu », voilà comment débute l’évangile selon saint Jean.
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Luminiscence, l’épopée flamboyante des « tailleurs de prières »
Alors que la paroisse de la "cathédrale des Halles", Saint-Eustache, célèbre cette année les 800 ans de sa fondation, un spectacle narratif en sons et lumières illumine cet écrin jusqu'au 25 mai.
Dans le quartier des Halles, entre la Bourse du Commerce et la rue Montmartre où se pressent les passants, il faut lever haut la tête pour que le regard se pose sur Saint-Eustache. L’église surplombe, imposante et élancée, le Ier arrondissement de Paris pour s’élever au-dessus des toits de la ville. Hasard du calendrier, c’est en cette année jubilaire des 800 ans de la fondation de sa paroisse que l’équipe de Luminiscence s’est installée sous la nef de l’édifice. Vendredi 16 février verra Saint-Eustache briller d’un nouvel éclat.
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Le gréviste et la religieuse, une histoire qui roule !
C'est la belle histoire de la semaine. Alors qu'une grève de taxis bloquait l'aéroport de Nantes ce mercredi 14 février, une religieuse n'a pas pu prendre son avion pour Toulouse, où elle était attendue pour donner un rein à son frère. Gréviste mais altruiste, un chauffeur de taxi s'est proposé gratuitement pour l'emmener accomplir sa mission.
Certes en France, on connaît les grèves à répétitions, mais on ne manque pas non plus de Français au grand cœur, quelles que soient leurs missions. C’est ainsi que ce mercredi 14 février, les taxis nantais étaient en grève, et pour mieux faire entendre leurs revendications contre la concurrence déloyale des VTC, ils ont bloqué l’accès principal à l’aéroport de Nantes.
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L’entrée en carême douloureuse des catholiques de Gaza
Les catholiques de la paroisse de la Sainte-Famille, à Gaza, ont eux aussi célébré l'entrée en carême mercredi 14 février, malgré une situation humanitaire et sécuritaire plus que préoccupante. Leur présence dans cette enclave est plus que jamais menacée.
Alors que le carême a débuté mercredi 14 février, les catholiques de Gaza sont eux aussi entrés dans ce temps liturgique fort, cheminant vers Pâques malgré le chaos engendré par la guerre. Dans la paroisse de la Sainte-Famille, les fidèles ont célébré la messe des cendres. Le père Joseph Asad a apposé les cendres sur le front de ses paroissiens, rappelant que le carême est un temps de conversion et de combat spirituel pour atteindre, à l’image des Hébreux dans le désert, la Terre promise. Une symbolique d’autant plus forte pour les catholiques que tous les chrétiens de Gaza luttent pour leur survie dans cette enclave palestinienne sous le feu des bombardements.
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La politesse, miroir de l’homme intérieur
La politesse n’est pas d’abord un code de règles formelles, mais le miroir de l’homme intérieur. Élégance de l’esprit, elle pacifie les passions et les émotions.
La France fut durant plusieurs siècles une référence et un modèle en matière de politesse, de savoir-vivre, de civilité. Elle a désormais perdu ce rôle phare en Occident et dans le reste du monde, surtout si on la compare avec les usages de certains pays asiatiques tels que le Japon. La politesse à la française possédait une différence essentielle avec celle de l’empire du Soleil levant car elle résultait de la foi chrétienne, de son application dans les choses ordinaires et quotidiennes : elle était le reflet de la charité en acte, dans sa pratique, et pas seulement en mots. Dans une société qui a perdu son tissu religieux, la politesse risque de disparaître au profit de simples règles, sans âme, desséchées, réduites à leur plus simple expression.
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Saint Paul, le coach qu’il vous faut pour le carême
Les métaphores sportives sont nombreuses dans les lettres de l’apôtre Paul. Alors que commence le carême, temps d’exercice au combat spirituel, les écrits pauliniens peuvent appuyer l’entraînement des chrétiens en vue d’accueillir la Résurrection d’un cœur renouvelé.
L’oraison est formelle, et c’est par elle que débute chaque année le carême, à la messe du mercredi des Cendres : « Accorde-nous, Seigneur, de savoir commencer saintement, par le jeûne, l’entraînement au combat spirituel : que nos privations nous rendent plus forts pour lutter contre l’esprit du mal. ». Pendant ces quarante jours qui s’ouvrent aux fidèles, il s’agit bien de s’entraîner. Car, si la fête de Pâques nous rappelle chaque année que le Christ a vaincu la mort, elle actualise par la même le besoin de rester vigilant face au mal.
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Mercredi des Cendres : entrez en Carême avec KTO !
Ce mercredi 14 février, Mercredi des Cendres, KTO vous propose une programmation spéciale, ainsi que des vidéos sur le sens de ce jour de pénitence qui marque l'entrée en Carême.
Plusieurs retransmissions en direct vont marquer cette journée sur KTO et ktotv.com : audience générale avec le Pape, messe à la grotte de Lourdes ainsi que l'imposition des cendres et la messe à Rome présidée par le pape François.
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Les trois lèpres de l’âme
Lors de la messe de canonisation de Mama Antula, ce dimanche 11 février, le pape François a mis en garde contre trois "lèpres de l'âme" : la peur, les préjugés et la fausse religiosité, et a montré le chemin de la charité dans la vie de tous les jours.
« La peur, les préjugés et la fausse religiosité sont les trois causes d’une grande injustice, trois « lèpres de l’âme » qui font souffrir le faible et qui le rejettent comme un déchet », a averti le pape François le 11 février lors de la messe de canonisation de Mama Antula (1730-1799), la première sainte de l’Argentine, qui y diffusa les Exercices spirituels de saint Ignace de Loyola à la fin du XVIIIe siècle.
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[REPORTAGE] Les Argentins fiers de leur première sainte, Mama Antula, « une femme moderne pour son temps »
De nombreux pèlerins venus d’Argentine et d’Amérique latine ont participé ce dimanche 11 février à la messe de canonisation de Maria Antonia de Paz y Figueroa, alias Mama Antula (1730-1799).
« Une mère spirituelle de la Patrie » : c’est ainsi que Silvia Correale, postulatrice de la cause de canonisation de Mama Antula, a défini cette femme qui forma aux Exercices spirituels plus de 70.000 personnes, parmi lesquels les intellectuels argentins qui allaient conduire le pays vers l’indépendance quelques années plus tard.
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Éducation sexuelle à l’école : un manque de transparence sur le contenu des séances
Une enquête menée par l’Ifop pour le Syndicat de la famille révèle qu'une proportion importante de parents (63%) affirme ne pas savoir ce qui est enseigné à leur enfant lors des séances d’éducation sexuelle.
Selon une étude de l’Ifop menée pour le Syndicat de la famille et publiée le 9 février, la majorité des Français (62%) estime qu’il n’est pas approprié de parler de sexualité à l’école à des enfants de moins de 13 ans. Un chiffre basé sur un panel de 1.200 personnes qui ont répondu à un questionnaire en ligne du 31 janvier au 1er février 2024.
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[HOMÉLIE] Comment imiter le Christ auprès des plus faibles ?
Curé de la paroisse Saint-Symphorien en Côte chalonnaise, le père Nicolas Berthier commente les lectures du 6e dimanche ordinaire, Journée mondiale du malade. Comment imiter le Christ au service du plus faible ? En s’ajustant à son prochain.
Il est aisé de faire un lien entre la première lecture et l’Évangile de ce sixième dimanche du temps ordinaire. Dans les deux cas, il est question d’un lépreux : dans la première lecture, le lépreux est tenu à l’écart de la communauté ; il doit s’isoler et habiter hors du camp ; l’Évangile nous propose une dynamique différente : la réintégration dans la communauté par la purification.
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Éducation à la sexualité en primaire : des dérives choquantes
Un rapport d’analyse publié le 30 janvier par SOS Éducation, une association militant pour l'amélioration du système éducatif français, décrit certaines dérives liées à l’éducation à la sexualité observées dans différents établissements scolaires en France entre mai 2022 et juin 2023.
Il ne s’agit « que » de douze situations mais leur description est troublante, glaçante même. On aimerait croire que c’est anecdotique mais cela n’est pas si sûr. Depuis 2001, la France a acté la tenue de trois séances d’éducation à la vie sexuelle et affective entre le CP et la terminale. Des séances qui sont souvent prises en charge par des associations militantes, ou assurées par des personnes insuffisamment formées. « L’intrusion des associations militantes dans les séances d’éducation à la sexualité n’a cessé sa progression », souligne en introduction le rapport, qui dénonce les discours idéologiques tenus dans les salles de classe, parfois même en maternelle, bien souvent en l’absence de l’enseignant et sans que les parents aient été prévenus en amont.
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Il ne voulait pas jouer dans The Chosen. Il l’a fait. Et en plus il a vraiment trouvé Jésus
Nick Shakoour incarne Zébédée, le père de Jacques et Jean, dans la série à succès "The Chosen". S'il a hésité à incarner ce rôle pour ne pas être trop catalogué dans sa carrière, l'acteur y a fait une rencontre fulgurante avec Dieu. Aujourd'hui, il n'hésite plus à le dire haut et fort !
Les voies du Seigneur sont décidément bien mystérieuses. Et ce n’est pas l’acteur américain Nick Shakoour qui dira le contraire. Quand son agent lui a proposé de jouer dans la série « The Chosen », il a longuement hésité. À tel point qu’il a refusé trois avant d’accepter. Ce qui le retient ? Déjà le rôle qu’on lui propose, incarner Zébédée, le père des apôtres Jacques et Jean, un pêcheur d’une cinquantaine d’années alors que lui-même est seulement trentenaire. Et puis intégrer une série religieuse, n’est-ce pas se fermer de nombreuses portes par la suite dans le milieu du cinéma ?
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Pourquoi Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance
Sainte Joséphine Bakhita, fêtée le 8 février, a connu de grandes épreuves dans sa vie, mais elle a pu garder vivante dans son cœur l’espérance de Jésus-Christ.
Sainte Joséphine Bakhita est une femme africaine du XIXe siècle qui a vécu de nombreuses épreuves et horreurs. Très jeune, elle a été kidnappée, battue et vendue comme esclave. Elle a eu une vie difficile, mais lorsqu’elle s’est convertie au christianisme, elle a trouvé une profonde espérance dans l’amour de Jésus-Christ qui l’a aidée à surmonter toutes les souffrances et les épreuves qu’elle avait vécues.
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Incendies au Chili : l’Église répond présente
Au Chili, de vastes incendies déciment depuis le 2 février des milliers d'hectares dans la région de Valparaíso (située sur le littoral, au centre du Chili). Au moins 130 personnes sont décédées. Face à ce drame, le diocèse de Valparaíso et ses paroisses se mobilisent pour apporter aide et réconfort aux sinistrés.
Partout, des flammes et une épaisse fumée noire. Puis, un spectacle de désolation : terre brûlée, maisons et voitures calcinées… Au Chili, dans la région de Valparaíso (située sur le littoral au centre du Chili, ndlr), les incendies qui ont débuté dès le vendredi 2 février ont presque tout emporté : entre 3.000 et 6.000 habitations ont entièrement disparu, et au moins 130 morts sont à déplorer, selon un dernier bilan établi par les autorités, sans compter une centaine de personnes portées disparues. Au total, près de 26.000 hectares sont partis en fumée.
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