Dans son ouvrage "La joie des petites choses" (Salvator), Anselm Grün, moine bénédictin de l’abbaye de Münsterschwarzach (Bavière), invite à éprouver une juste et bonne satisfaction à l’égard de sa propre vie.

« Être content de son sort, voilà la plus grande des richesses », dit le proverbe. Un trésor difficile à envisager lorsque les épreuves s’enchaînent ou lorsque nous sommes un éternel insatisfait. Cependant, il existe bel et bien un chemin pour accéder à la paix intérieure et goûter à la joie des humbles. À la croisée de la psychologie et de la spiritualité, Anselm Grün fournit de bonnes pistes pour aimer sa vie telle qu’elle est. Entre la satisfaction somnolente du repu et celle, bruyante, du frimeur, se dessine la satisfaction qu’il nomme « reconnaissante ». La juste et bonne satisfaction de celui qui se contente de ce qu’il possède et qui rend grâce pour ce qui lui est donné. Qui ne se plaint pas, même si sa vie n’est pas toute rose. Un sentiment qui mène à la joie et au bonheur.

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