La mise en valeur de nos anniversaires cache le regrettable refoulement de nos racines chrétiennes. La véritable fête du chrétien, plaide l’écrivain Xavier Patier, est celle de son saint patron.

 


Il y a deux ou trois générations, célébrer l’anniversaire de la naissance d’un adulte n’était pas une coutume installée. On ne marquait pas ce jour, sauf évidemment s’il s’agissait d’un compte rond : cinquante ans, soixante ans. Et encore. Les enfants quant à eux soufflaient des bougies pour leur anniversaire, mais ce qui comptait le plus était la fête de leur saint patron. 

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