Un rapport d’analyse publié le 30 janvier par SOS Éducation, une association militant pour l'amélioration du système éducatif français, décrit certaines dérives liées à l’éducation à la sexualité observées dans différents établissements scolaires en France entre mai 2022 et juin 2023.

Il ne s’agit « que » de douze situations mais leur description est troublante, glaçante même. On aimerait croire que c’est anecdotique mais cela n’est pas si sûr. Depuis 2001, la France a acté la tenue de trois séances d’éducation à la vie sexuelle et affective entre le CP et la terminale. Des séances qui sont souvent prises en charge par des associations militantes, ou assurées par des personnes insuffisamment formées. « L’intrusion des associations militantes dans les séances d’éducation à la sexualité n’a cessé sa progression », souligne en introduction le rapport, qui dénonce les discours idéologiques tenus dans les salles de classe, parfois même en maternelle, bien souvent en l’absence de l’enseignant et sans que les parents aient été prévenus en amont.

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