Avec la constitutionalisation de l’avortement, on sacralise comme un acte remarquable ce qui était pensé au départ comme une nécessité dramatique, déplore le père Benoist de Sinety, curé-doyen de la ville de Lille.

L’avortement est une question trop grave pour être abordée d’une manière périphérique. Mais comment ne pas commenter la frénésie quasi névrotique qui a accompagné son inscription comme droit désormais constitutionnel ? Les commentateurs se glorifient que notre pays soit donc en passe d’être le seul à avoir sacralisé ce droit désormais inaliénable. Bon. Mais qu’il soit permis de poser une question : quel est le but de la manœuvre ?

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