Après avoir créé les conditions du mal-être des moins de 25 ans, les 40-60 ans au pouvoir arrangent la paisible disparition de leurs géniteurs, observe l’historien Paul Airiau. Demain, l’euthanasie sera-t-elle une solution parmi d’autres à toutes les souffrances ?

La chose est connue et observée plus ou moins largement par tous et par les services publics de santé : l’état psychologique et psychique d’une partie des 11-24 ans est mauvais, voire très mauvais. Anxiétés, angoisses, dépressions, troubles d’humeur, avec tous les troubles associés d’auto dépréciation et d’idées suicidaires, sont bien ancrés, spécialement chez les 18-24 ans, avec un quasi-doublement des dépressifs entre 2017 et 2021 — et sans vraie amélioration depuis. Face à cette situation, les pouvoirs publics se sont mobilisés, disent-ils, de manière exceptionnelle, disent-ils : cinq vidéos ont été diffusées sur les réseaux sociaux pour inciter à prendre soin de sa santé mentale, sans compter un site Internet et de l’écoute à distance, tous les jours de 9h à 23h.

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