L’Assemblée nationale va débattre, à partir du 27 mai, du projet de loi sur “l’aide active à mourir”, soutenu par le président Emmanuel Macron. Le président de la République s’est souvent affiché comme proche du pape François, donnant l’impression de l’instrumentaliser. Vu de Rome, l’attitude du chef de l’État suscite des inquiétudes.

“Avec la vie, on ne joue pas, ni au début, ni à la fin” : au retour de son voyage à Marseille, le 23 septembre dernier, le pape François avait répondu par ce clair avertissement à la question de savoir s’il avait parlé de la loi sur la fin de vie avec le président Emmanuel Macron. Il avait alors expliqué que ce thème avait été abordé non pas directement à Marseille, mais lors de leur précédent entretien à Rome, en octobre 2022. “Je lui ai parlé clairement, je lui ai exposé mon point de vue”, avait assuré le Pape.

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