Une étude publiée le 27 mai par Childlight, une organisation qui recense les cas d’abus sexuels en ligne commis sur des mineurs, alerte sur un phénomène mondial et exponentiel : les interactions à caractère sexuel non désirées adressées en ligne à des enfants.

Les études et les rapports sur la pornographie s’accumulent mais rares sont ceux qui se penchent exclusivement sur l’exposition subie des mineurs à des photos ou vidéos à caractère sexuel. Une véritable “pandémie mondiale”, selon les mots de Paul Stanfield, le président de Childlight, à laquelle la législation actuelle “a du mal à répondre”. Childlight, qui dépend de l’Université d’Édimbourg en Écosse, recueille des données sur la prévalence et la nature de l’exploitation et des abus sexuels en ligne sur mineurs dans le monde entier. Leur récente étude est présentée comme la première à donner une estimation de l’ampleur mondiale du phénomène.

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