Le 7 juin 2024, un texte de loi réintroduisait la peine de mort volontaire en France. Le père Laurent Stalla-Bourdillon, directeur du Service des professionnels de l’information, raconte comment deux jours plus tard, la dissolution de l’Assemblée nationale empêche temporairement l’étrange capitulation devant l’idéologie autoritaire de l’individualisme triomphant.

Les élections européennes de 2024 auront eu raison de l’Assemblée nationale. Le président Emmanuel Macron en a annoncé la dissolution au soir du scrutin qui ne concernait pourtant que le parlement de Bruxelles. Le résultat de l’élection avait valeur de vote sanction pour la politique du gouvernement, mais aussi pour l’invraisemblable chaos de l’Assemblée nationale elle-même. Le retour des Français aux urnes était impossible à esquiver. Que s’est-il passé le 9 juin 2024 ?

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