Ces faux pardons qui empêchent de se réconcilier vraiment
Parce que dans la vie de couple, l’amour sans conflit est une douce illusion, la règle d’or en cas de crise est de pardonner afin que les frustrations ne se transforment en bombes à retardement… Mais attention aux faux pardons qui n’ont rien à voir avec le pardon vrai et sincère.
Dans la vie de couple, derrière un beau sourire, il y a parfois des fragilités qui émaillent le quotidien, celles de l’un et de l’autre. Des désaccords, des disputes, des agacements qui font irruption en glissant les deux conjoints vers un certain isolement. Tous les couples y tombent régulièrement. Tous, un jour ou l’autre, sont alors confrontés à la question des pardons, qu’il s’agisse d’une petite indélicatesse ou d’une blessure beaucoup plus profonde.
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C’était un 2 avril : il y a 19 ans, Jean Paul II rejoignait le Père
Il y a dix-neuf ans, jour pour jour, le pape Jean Paul II décédait au Vatican à l’âge de 85 ans, après plus de 26 ans de pontificat.
Il y a dix-neuf ans, jour pour jour, le pape Jean Paul II décédait au Vatican à l’âge de 85 ans, après plus de 26 ans de pontificat. Ce jour-là, plusieurs dizaines de milliers de fidèles étaient rassemblées, depuis la veille, sous les fenêtres de ses appartements, sur la place Saint-Pierre.
Les paroles de Mgr Leonardo Sandri, alors substitut de la secrétairerie d’État, résonne dans toute la place : « Chers frères et sœurs, je dois vous donner une nouvelle très importante. Ce soir, àc21 h 37, notre Saint-Père est retourné à la maison du Père ». Les larmes coulent des visages tendus vers les fenêtres de leur pasteur. Le silence sur la place est total. Puis les prélats entonnent le Salve Regina, suivi par le De Profundis.
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De Pâques à la Pentecôte, tout commence avec les derniers temps
Avec la Résurrection et l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte, s’ouvrent les derniers temps, mais aussi la libération de la créativité humaine pour les affronter.
Avec la Résurrection, les derniers temps sont arrivés. Le discours de Pierre à la Pentecôte décrit l’effusion de l’Esprit comme l’accomplissement des signes des derniers jours prédits par le prophète Joël : « Alors, après cela, je répandrai mon esprit sur tout être de chair, vos fils et vos filles prophétiseront » (Jl 3, 1). Est-ce à dire que l’histoire s’est arrêtée il y deux mille ans à Jérusalem ? Nous constatons plutôt qu’elle a continué à suivre son cours, avec son cortège de nouveautés et de tragédies. Dans ces conditions, pourquoi parler des derniers temps ? Parce qu’avec la Résurrection, un germe d’éternité a été semé dans ce monde.
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Enseignement catholique sous contrat : toutes ces libertés qui sont en jeu
Régulièrement, le sujet revient au cœur du débat : l’enseignement privé est-il légitime, alors qu’il concurrence l’enseignement public, profite des subsides de l’État et promeut une vision chrétienne de la société de plus en plus marginalisée ? Reste à savoir ce que dit vraiment la loi de la nature et de la liberté de l’enseignement catholique.
En tant que telle, la loi Debré n’existe plus, mais a été intégrée dans le Code de l’Éducation. Cette loi de 1959 est pourtant l’objet d’un débat récurrent dans la société française à propos de l’existence d’un système scolaire à deux vitesses, entre le public et le privé. Ce dernier est en réalité plus « libre » que « privé » puisque tous y ont accès et qu’il n’a le plus souvent pas de but lucratif. La question recouvre en fait, dans le cas de l’enseignement libre catholique, trois aspects : pédagogique, financier, religieux.
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Musulman, Steven se convertit au christianisme et devient diacre
Steven Limbani Kassimu est diacre au Malawi (Afrique) et se prépare à la prêtrise, une vocation qu'il porte depuis son plus jeune âge. Issu d’une famille musulmane, il raconte à Aleteia sa conversion au catholicisme puis la naissance de sa vocation sacerdotale.
Steven Limbani Kassimu est diacre à la paroisse Saint-Martin de Porres, dans le diocèse de Mangochi (à prédominance musulmane), au Malawi, en Afrique. « Je suis le cinquième d’une fratrie de six enfants d’une famille musulmane », confie-t-il à Aleteia précisant que dans son pays, l’islam est la deuxième religion après le christianisme. Élevé dans la religion musulmane, Steven passe néanmoins sa scolarité dans une école tenue par des religieux catholiques.
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Urbi et Orbi : le Pape demande un « échange général de tous les prisonniers entre la Russie et l’Ukraine »
Le pape François a demandé un "échange général de tous les prisonniers entre la Russie et l’Ukraine" lors de son message de Pâques, prononcé avant la bénédiction Urbi et Orbi – "à la terre et au monde" –délivrée ce dimanche de Pâques à midi, le 31 mars 2024.
Après la messe de Pâques célébrée sur la place Saint-Pierre, le pape François, 87 ans, est apparu à midi pour prononcer la célèbre bénédiction Urbi et Orbi depuis la loggia centrale de la basilique. Devant près de 60.000 fidèles (selon le Bureau de presse du Saint-Siège), il a confié, durant une dizaine de minutes, son inquiétude concernant divers conflits et problèmes qui touchent le monde.
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Désormais, chaque jour est Pâques
Se laisser porter par la liturgie de l’Église au cours de l’octave de Pâques, nous permet de traverser la faiblesse de notre foi. Les témoins de la Résurrection nous aident à comprendre que la victoire du Christ est un don de la grâce, que désormais chaque jour qui passe, brille une lumière qui ne faiblit jamais.
L’octave de Pâques est comme une rampe de lancement pour tout le reste de l’année. Nous voilà pris dans un mouvement ascendant qui ne cesse pas de s’accélérer, puisque nous sommes promis à la résurrection. Les apparitions du Christ qui se révèle maintenant dans toute sa gloire demeurent une source d’inspiration et de contemplation jour après jour, sans rien perdre de leur force et de leur capacité à aiguiser notre foi, par ailleurs toujours flageolante.
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Bonne nouvelle, le temps pascal est (bien) plus long que le carême
Déjà la lumière de la Résurrection pointe dans les ténèbres de la Passion. Pour honorer ce mystère, centre de la foi chrétienne, la liturgie catholique le médite pendant cinquante jours : un temps pascal qui est long que l’éprouvant carême.
« Long comme un carême » dit l’expression, certes tombée en désuétude. Sagesse populaire n’est pourtant pas vérité liturgique : ce temps de pénitence de quarante jours n’est pas le plus long temps privilégié dans l’année liturgique. Hormis le temps « dans l’année » ou ordinaire, qui est comme le fond commun de la prière de l’Église, la période la plus longue est celle qui commence à Pâques : le temps pascal.
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Spiritualité La Résurrection, antidote à l’esprit revanchard
En vivant de l’intérieur la victoire pascale du Christ, nous nous approprions la victoire de son amour sur la haine, la vengeance et le ressentiment.
On peut légitiment s’étonner que le Christ ressuscité des morts ne soit apparu qu’à ses disciples et sympathisants. Comment expliquer ce choix ? Est-ce le désir de rester dans l’entre-soi de la petite communauté qu’il avait commencé à former sur les routes de Galilée ? Non, la raison principale est que seule la foi est capable de reconnaître Celui qui est entré dans la vie de Dieu le jour de Pâques. Cette vie n’est pas perceptible par nos sens charnels : seule la foi peut l’atteindre. Voilà pourquoi le Christ s’est manifesté aux seules personnes qui avaient cru en lui, même imparfaitement, durant son existence terrestre. Notons au passage que c’est le Ressuscité qui a l’initiative de ses apparitions. Il se donne à voir : la perspicacité et le désir des disciples n’y ont aucune part.
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Disparition du petit Émile : “l’heure est au deuil, au recueillement et à la prière”
La découverte des ossements du petit Émile Soleil samedi "à proximité du hameau du Vernet" a relancé de façon fulgurante l’enquête sur sa disparition inexpliquée le 8 juillet dernier. “L’heure est au deuil, au recueillement et à la prière" ont réagi ses parents.
Le hameau du Haut-Vernet était une nouvelle fois coupé du monde dimanche, comme il l’a déjà été à plusieurs reprises depuis neuf mois, quelques heures après la découverte, la veille, par une randonneuse d’une partie des ossements du petit Emile Soleil, disparu depuis le 8 juillet dernier dans des conditions inexpliquées.
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« C’est une vraie grâce »: à Bondy, l’incroyable vitalité d’une aumônerie au cœur des cités
À Bondy, en Seine-Saint-Denis, une aumônerie de jeunes catholiques est le lieu d'une formidable croissance depuis la rentrée scolaire 2023. Confrontés au multiculturalisme et à la précarité, collégiens, lycéens et étudiants y témoignent joyeusement de leur foi. Reportage.
Ce soir-là, dans la cour de l’aumônerie de Bondy (Seine-Saint-Denis), il règne une ambiance joyeuse de récréation. Il faut alors se frayer un chemin entre les groupes de copines qui bavardent avec entrain, tout en essayant de ne pas entrer en collision avec les plus jeunes, lancés dans une partie de foot ou autre jeu d’équipe. À l’entrée de la salle où doit se tenir le rassemblement, les grands surveillent les plus jeunes pendant que certains assurent les derniers préparatifs de la soirée. À les voir si enthousiastes et assurés, on peine à croire qu’ils sont à peine plus âgés que les lycéens qu’ils encadrent. La petite vingtaine, tout au plus. C’est Angela, 19 ans, qui mène les opérations. Son visage juvénile et sa silhouette fine tranchent avec une détermination et caractère que l’on devine bien trempé. « On ne va pas tarder à commencer ! », lance-t-elle.
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[HOMÉLIE] Dieu tient toujours parole
Le père Christian Lancrey-Javal, curé de la paroisse Notre-Dame de Compassion à Paris, commente l’évangile du jour de Pâques (Jn 20, 1-9). Le contraire de la déception, c’est Pâques : Dieu tient toujours parole. Le Christ est ressuscité, il est vivant comme il l’avait dit.
Le Christ a tenu parole : il est vivant comme il l’avait dit. Notre foi en la Résurrection repose tout entière sur la véracité, l’absolue fiabilité de Dieu : tout ce qu’il dit est vrai et se réalise, s’est réalisé et se réalisera. Il dit ce qu’il fait et il fait ce qu’il dit, de toute éternité. Nul n’est comme lui. Il n’a pas d’égal. Sa parole est infaillible : avec lui, de sa part, de ce point de vue, nous ne sommes jamais déçus.
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Semaine Sainte 2024 : Samedi Saint
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, samedi : père Paul-Marie
Samedi saint : "Marie et le Sépulcre"
Enregistrement audio du samedi 30 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Le Samedi saint, immersion dans le scandale de la mort
Pourquoi Jésus a-t-il attendu trois jours pour ressusciter ? Le Samedi saint nous l’enseigne, explique la philosophe Jeanne Larghero. Supprimer la mort ou vaincre la mort, ce n’est pas pareil.
Les sagesses grecques de l’Antiquité n’avaient qu’un objectif : nous apprendre à apprivoiser la mort. Puisqu’il faut vivre, autant bien vivre. Évitons alors d’être terrorisés par la perspective de notre propre mort, accablés par la mort de nos proches, et scandalisés par l’idée même que la vie puisse finir. Pour cela, plusieurs écoles semblent avoir fait leurs preuves.
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Quatre fake news sur Jésus qui ont la vie dure
Régulièrement, les mêmes lieux communs sur la vie de Jésus resurgissent, quand ce n’est pas l’existence même du Crucifié le plus célèbre de l’histoire qui est contestée. L’essayiste Matthieu Lavagna, qui vient de publier "Non, le Christ n’est pas un mythe", réfute quatre de ces contrevérités les plus manifestes.
Pour critiquer le christianisme, quoi de plus simple apparemment que de mettre en cause la réalité de son événement fondateur, la naissance et la mort du Christ ? Contrairement à ce qu’affirment certains pseudo-historiens, nous avons en réalité de meilleures sources concernant l’existence et la vie de Jésus que nous n’en avons pour la plupart des grandes figures de l’histoire. Voici quatre contrevérités manifestes auxquelles il convient de répondre en s’appuyant sur les travaux des historiens universitaires dont l’autorité scientifique ne fait aucun doute :
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En images : les plus belles mises au tombeau de France
La mise au tombeau est le dernier épisode de la Passion du Christ. Cette scène muette, jouée au Moyen Âge sur le parvis des églises, devient un sujet de prédilection dans la sculpture populaire à la fin du XVe siècle.
La mise au tombeau illustre le moment précis où le Christ est déposé dans le sépulcre, après avoir été descendu de la Croix et enveloppé d’un linceul. Cette scène de l’ensevelissement du Christ porte aussi le nom de Sépulcre. Les mises au tombeau sculptées, à taille humaine, apparaissent à la fin du Moyen Âge. Elles font écho aux préoccupations des hommes de ce temps, fascinés par la mort, hantés par le Jugement dernier et par leur propre Salut. Les Mystères de la Passion joués sur le parvis des églises attirent les foules. La popularité de la scène muette de l’ensevelissement du Christ, l’ultime et la plus pathétique, est à l’origine de la production de mises au tombeau monumentales, dans les Flandres, en Lorraine, en Champagne et en Bourgogne.
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La Semaine sainte douloureuse des chrétiens : en Chine, des croyants sous pression
Les catholiques et protestants de Chine s'apprêtent à fêter Pâques toujours sous la surveillance étroite du Parti communiste. Sinisation du discours religieux, arrestations, églises fermées ou démolies, symboles chrétiens retirés... Les chrétiens de Chine endurent avec résilience une persécution qui ne faiblit pas.
Célébrer Pâques pourrait bien s’apparenter à un parcours du combattant pour les croyants de Chine. Sous surveillance constante du pouvoir communiste, les religions catholique et protestante sont considérées avec une méfiance qui se répercute sur la vie ecclésiale, chaque jour un peu plus entravée. Confrontés à des restrictions quotidiennes de leur liberté de culte, les chrétiens sont contraints de promouvoir la traditionnelle fête du Printemps, qui célèbre la transition entre la fin de l’hiver et le retour du soleil dans la continuité de la « sinisation » des religions voulue par le Parti Communiste Chinois (PCC). L’objectif : aligner les religions sur la doctrine, l’idéologie et le discours communistes, notamment les religions « étrangères » (christianisme et islam) perçues comme des formes d’incursions occidentales.
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Semaine Sainte 2024 : Jeudi Saint
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Jeudi saint : "l'Eucharistie, mystère de lumière"
Enregistrement audio du jeudi 28 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Semaine Sainte 2024 : Mercredi Saint
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Mercredi saint : "la grâce de l'Esprit Saint, semence de gloire"
Enregistrement audio du mercredi 27 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Semaine Sainte 2024 : Mardi Saint
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Mardi saint : "le commandement ancien et nouveau à la fois"
Enregistrement audio du mardi 26 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Jeux Olympiques : réconcilier corps et âme, l’ambition d’Holy Games
Réconcilier corps et âme, c’est l’ambition du projet Holy Games, le programme de mobilisation de l’Église catholique pour accompagner le monde du sport pendant les Jeux olympiques de Paris. Membre fondateur, François Morinière présente avec Isabelle de Chatellus, directrice du projet, les initiatives auxquelles tous les catholiques sont conviés.
MMA, trail, salle de musculation, e-sport : voici les nouvelles formes de sport qui font le plein aujourd’hui. Les jeunes peinent à regarder un match de football de 90 minutes et la technique du tennis est remplacée par le padle jugé plus ludique. Le sport est-il en train de perdre son âme ? Certainement pas ! Reprenons notre souffle ! Nous sommes 80% à vivre, pratiquer, regarder, vibrer à travers le sport : du sportif du dimanche, au sportif de canapé en passant par le sportif professionnel, toutes les nouvelles formes de sport sont bien l’expression d’un besoin accru d’expression de notre vitalité par le sport, mais comment, en chrétien, vivre ces nouvelles formes de pratiques ?
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Traquer le mal ou choisir le bien ?
Comment convertir son cœur au cours du carême ? Non pas en traquant le mal en nous, mais en choisissant de faire le bien, même modestement, car c’est ce pourquoi nous existons.
Avec Jean-Baptiste, le précurseur qui redresse les chemins de nos cœurs pour nous préparer à reconnaître Jésus, nous avons appris que pour recevoir Dieu, il faut convertir nos cœurs. Si nous tendons l’oreille, nous entendons encore résonner sa voix tout le long du carême et nous pouvons en profiter pour essayer de mieux comprendre sur quoi repose notre conversion.
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Nicaragua : 4.800 processions annulées pour la Semaine sainte
Au Nicaragua, les catholiques font face à une nouvelle vague d’interdictions à l’approche de Pâques. Au moins 4.800 processions en extérieur ont été interdites tout au long du carême et lors de la Semaine sainte à venir par le gouvernement dictatorial de Daniel Ortega.
Dans les rues nicaraguayennes, il n’y aura – presque – personne pour célébrer la Semaine sainte et Pâques. Alors que les processions en extérieur font partie des traditions fortement ancrées dans le pays, le gouvernement de Daniel Ortega a décidé d’en interdire bon nombre. Entre les vendredis de carême et la Semaine sainte, au moins 4.800 processions ont ainsi été interdites, rapporte Martha Patricia Molina, avocate pénaliste nicaraguayenne en exil.
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Semaine Sainte 2024 : Lundi Saint
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Lundi saint : "Jésus veut nous faire entrer dans quelque chose de nouveau"
Enregistrement audio du lundi 25 mars au prieuré des Sœurs Contemplatives de Saint-Jean à Terre-Basse (Châteaufort).
Semaine Sainte, secret des chrétiens : un message du père Antoine Thomas depuis le Cameroun
Oui, nous savons par le don de la Foi, que Jesus-Christ, Dieu fait homme, nous a pardonné nos péchés en nous manifestant son amour par son sacrifice suprême de la Croix. Nous savons aussi que c'est par le sacrement du Baptème que nous recevons la vie divine, appelée "grâce". Mais comprenons-nous pourquoi nous avons encore besoin d'aller a la messe et pourquoi Jesus a institué le sacrement de l'Eucharistie? Quelle est notre réponse à ceux qui nous le demandent?
Vivez la Semaine Sainte avec KTO !
Vivez la Semaine Sainte avec KTO ! Cette grande semaine nous conduit au cœur de l’année liturgique et du mystère pascal, depuis l’entrée du Seigneur à Jérusalem avec les Rameaux et sa Passion, jusqu’à sa résurrection au matin de Pâques.
En communion avec les chrétiens des différents continents, KTO retransmet les célébrations et les offices de prière en direct de Terre Sainte, de Rome, ainsi que de Paris, Lourdes, Marseille et Keur Moussa. Retrouvez toute la programmation spéciale et les horaires des offices ci-dessous.
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Deux excellentes raisons d’aller à la messe chrismale
Aller à la messe chrismale, durant la Semaine sainte, est une belle manière de manifester l’unité de l’Église et de soutenir les prêtres de son diocèse.
Non, la messe chrismale n’est pas réservée aux prêtres. Les fidèles sont vivement invités à participer à cette célébration qui a lieu une fois par an pendant la semaine sainte et au cours de laquelle l’évêque bénit les huiles saintes et consacre le Saint-Chrême. Généralement, la messe chrismale a lieu le Jeudi Saint au matin, mais pour faciliter la participation des fidèles, de nombreux diocèses la célèbrent un soir du début de la Semaine sainte, le lundi, le mardi ou le mercredi. Voici deux bonnes raisons de ne pas la rater cette année !
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En Birmanie, les catholiques à l’aube d’une Semaine sainte éprouvante
En Birmanie, où la guerre fait toujours rage entre forces de défense populaires et junte, la minorité catholique se prépare à vivre une Semaine sainte particulièrement éprouvante. Loin de leurs maisons et de leurs paroisses, les fidèles achèvent leur Carême dans la souffrance.
En Birmanie, les catholiques se préparent à vivre une Pâque au goût amer, alors que la guerre civile laisse la population exsangue. L’intensification des combats qui opposent la junte aux forces de défense du peuple a provoqué une escalade sans précédent des attaques contre les civils, alerte l’ONU dans un dernier communiqué. Les raids aériens auraient ainsi été multipliés par cinq sur les cinq derniers mois.
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[HOMÉLIE] Des Rameaux à la Croix, Jésus maître des événements
Le père Mickaël Le Nézet, curé de la paroisse de Rochefort, commente les lectures des Rameaux et de la Passion du Seigneur. Depuis le triomphe des Rameaux jusqu’à l’anéantissement de la Croix, Jésus ne renonce à aucune souffrance, il fait le choix du don coûte que coûte, abandonné dans les mains de son Père.
Des consignes données aux disciples pour son entrée triomphale à Jérusalem jusqu’à celles données pour préparer la Pâque, Jésus se révèle maître des événements. Il conduit les choses. Tout au long du récit de la Passion que nous entendons le jour des Rameaux, Jésus ne subit pas plus les événements. Il connaît le cœur de l’homme. Il sait de quoi il est capable. Il sait qu’il va être renié, livré, abandonné des siens. Il sait que son heure est proche. Alors que des sentiments de haine et de violence, d’aigreur et de jalousie habitent le cœur des soldats et des autorités religieuses, Jésus lui, garde son calme, souvent même, demeure dans le silence.
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Peut-on être « croyant, non pratiquant » ?
La philosophe Jeanne Larghero éclaire pour Aleteia les petites et grandes questions de l’existence à la lumière de l’éthique chrétienne. Elle répond cette semaine à ces croyants qui ne pratiquent pas leur foi : croire en Jésus-Christ sans le suivre… est-ce le croire ?
Certaines distinctions ont la vie dure, alors qu’elles ne recouvrent pas vraiment la réalité. Faisons un sort à la ligne de partage qui séparerait le croyant (celui qui croit que Dieu existe) du non-croyant (celui qui ne croit pas à l’existence de Dieu, ou celui qui dit ne croire en rien). En réalité, l’athéisme est une croyance : je crois que Dieu n’existe pas, voilà plutôt la formulation qui lui convient. Il s’agit d’ailleurs d’une croyance matérialiste qui ne sera revendiquée qu’à partir de l’époque moderne.
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Pourquoi cet engouement pour saint Joseph ?
Comment faut-il comprendre la reconnaissance tardive dans l’Église de la place unique de saint Joseph dans le dessein du salut ? Pour Joseph-Marie Verlinde, fondateur de la Famille de Saint-Joseph, auteur d’un récent "Joseph de Nazareth" (Artège), si les derniers papes ne cessent de donner à Joseph une place de plus en plus importante, nous ne sommes sans doute qu’au tout début de la révélation de son rôle dans le mystère de l’Incarnation.
Saint Joseph a toujours été un des saints préférés de la piété populaire, alors qu’il fut longtemps « boudé » par le Magistère pour une raison théologique discutable : il ne fallait pas offrir des arguments à ceux qui mettent en doute la virginité perpétuelle de la Mère de Dieu. Et voilà qu’à la fin du XIXe siècle et surtout au XXe siècle, les choses vont rapidement évoluer. Le 8 décembre 1870, le pape Pie IX déclarait saint Joseph, le chaste époux de la Vierge Marie, patron de l’Église universelle. Le 19 mars 1961, Jean XXIII choisit saint Joseph comme protecteur du concile Vatican II ; et le 13 novembre 1962, le même Jean XXIII voulut que son nom soit invoqué au canon de la première prière eucharistique, aussitôt après celui de la Vierge Marie.
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« Aide à mourir » : de plus en plus de voix s’opposent au texte
Les contours du projet de loi sur "l’aide à mourir" présentés par Emmanuel Macron dans une interview le 10 mars suscitent une vive contestation au-delà des clivages traditionnels.
Alors que le projet de loi sur l’aide à mourir doit être présenté ces jours-ci au Conseil d’État avant d’être examiné à partir du 27 mai à l’Assemblée nationale, les contours du texte, révélés par Emmanuel Macron par voie de presse le 10 mars, n’en finissent pas de faire réagir. Vivement et largement. Dans les heures qui ont suivi les soignants et professionnels de santé ouvrant dans les soins palliatifs au premier rang desquels la Sfap ont dénoncé tour à tour « un modèle ultra-permissif », « un calendrier indécent » et un « mépris du travail des soignants ». L’Église, par la voix du président de la Conférence des évêques de France (CEF), Mgr Éric de Moulins-Beaufort, a dénoncé avec force « la tromperie » d’un tel texte.
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« Dans l’Eucharistie, le premier à avoir faim, c’est Dieu »
Comment échapper à l’ennui lors de la messe ? C’est le sujet du dernier livre du père Joël Guibert : "L’Eucharistie" (édition Artège). Pour Aleteia, il explique pourquoi une meilleure compréhension du mystère de la messe fait grandir le désir de l’Eucharistie. Ce désir, dit-il, est d’abord le désir de Dieu : "À la messe, c’est Dieu qui a faim de nous."
La messe est au cœur de la vie du chrétien, mais qui n’a pas éprouvé lors de l’assemblée dominicale lassitude et ennui, ou parfois de l’agacement devant une liturgie qui paraît décalée ? Comprendre ce qui se joue à chaque messe fait grandir en nos âmes le désir de Dieu et la faim de l’Eucharistie, explique le père Joël Guibert. En apparaissant pour ce qu’elle est réellement, le sacrifice de la croix rendu présent sur l’autel, notre participation intérieure à la messe ne peut que changer, et changer notre vie.
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La législation sur l’avortement, une logique libérale ?
Avec l’inscription de l’avortement dans la Constitution, le législateur s’inscrit dans une logique du libéralisme politique, observe l’historien Paul Airiau. S’il transfère son pouvoir de déterminer ce qui est humain et ce qui ne l’est pas, il reconnaît à l’État le pouvoir souverain de décider le bien et le mal.
« La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. » Tel est donc le nouvel alinéa de l’article 34 de la constitution depuis la promulgation de la loi 2024-200 du 8 mars 2024. Il vaut la peine de se pencher sur cette formulation pour en saisir les logiques profondes — non pas la question de la distance qui existe toujours entre les affirmations et les conditions de leurs réalisations, mais bien l’univers idéel dont elle relève et qu’elle institue.
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En Malaisie, 1.700 catéchumènes recevront le baptême la nuit de Pâques
En Malaisie, 1.700 adultes se préparent à recevoir le baptême dans la nuit de Pâques 2024. Dans ce pays majoritairement musulman, les demandes de baptême continuent d'augmenter d'année en année.
Bonne nouvelle ! 1.700 catéchumènes se préparent à recevoir le baptême lors de la veillée pascale, en Malaisie, rapporte l’agence Fides. Depuis plusieurs années, ce pays pourtant majoritairement musulman enregistre un nombre croissant de demandes de baptêmes de la part d’adultes. Les diocèses ont ainsi mis en place, avec leurs paroisses, de plus en plus de parcours de catéchuménat afin de préparer ceux qui le désirent à la réception de ce sacrement.
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Sous l’euthanasie, le droit à sourire dans l’indignité
Pour neutraliser leurs adversaires, les militants de l’euthanasie pratiquent parfois la méthode douce, qui n’est pas la moins efficace. Ils usent du sourire, dans son "sirupeux redoutable", remarque l’écrivain Henri Quantin, pour installer leur colonisation idéologique par les bons sentiments.
Face aux empêcheurs d’euthanasier en toute bonne conscience, ceux qui exercent le magistère médiatique utilisent tantôt la méthode forte, tantôt la méthode douce. La méthode forte, qui ne dépasse pas trop le domaine verbal pour l’instant, est de loin la plus en usage. Pour en avoir un aperçu, il suffit d’allumer France Inter, où elle tourne à plein régime et à visage découvert : ricanements au seul nom d’un adversaire non aligné, citations discréditées immédiatement par les réactions gloussantes des chroniqueurs, interruption agressive de tout invité qui ne répond pas dans le sens du vent progressiste.
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Le droit à l’euthanasie se transformera tôt ou tard en droit à euthanasier
Pour Laurent Stalla-Bourdillon, prêtre-enseignant au Collège des Bernardins, "être suicidé" par un professionnel de santé ou par un parent est humainement inconcevable. Tôt ou tard, ce droit à l’euthanasie se transformerait en droit à euthanasier.
Selon certaines personnes, la cause de l’euthanasie serait pour notre époque ce que fut le combat pour l’IVG en 1975 : « Les forces qui s’opposent au droit à une aide médicale à mourir rappellent celles qui, il y a cinquante ans, s’opposaient à l’IVG » lit-on dans une tribune publiée dans Le Monde. C’est en partie vrai puisque donner la mort devient une fois de plus la solution. « Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie » réagissait le président de la Conférence des évêques de France, Mgr Éric de Moulins-Beaufort. Il s’agit d’abréger la vie d’une personne malade et de supprimer la vie d’un enfant à naître. Au terme ou au commencement, la vie physique d’une personne humaine est pourtant bien plus qu’une question de biologie. C’est pour toute la communauté humaine, une question spirituelle !
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Afrique du Sud : trois moines et un prêtre tués en deux jours
Trois moines coptes orthodoxes ont été tués à l'arme blanche dans leur monastère en Afrique du Sud, le 12 mars 2024. Le lendemain, à plusieurs centaines de kilomètres, le père William Banda, prêtre catholique zambien, a été sauvagement assassiné de deux balles dans la tête dans son église.
Trois moines coptes orthodoxes et un prêtre catholique ont été sauvagement tués en Afrique du Sud en l’espace de quelques jours. Les trois moines ont été retrouvés sans vie le 12 mars dans leur église à Cullinan, petite ville située à environ 50 km au nord-est de la capitale de Pretoria, couverts de blessures à l’arme blanche.
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De l’avortement à l’euthanasie, une défaite de la pensée
Les réformes "sociétales", comme celle annoncée par le président Macron sur "l’aide à mourir" au nom de la "fraternité", sont portées par une anthropologie irréaliste, décrypte l’essayiste Jean Duchesne. Cette vision de l’humain, enfermée dans le dogme arbitraire de l’autonomie de l’individu, oriente ultimement à la solitude, jusque dans la mort.
La « convergence des luttes » fait partie d’une certaine mythologie « gaucharde » : des revendications ou protestations très diverses, des conditions de travail et les salaires ou revenus, des régimes de retraites, l’écologie, de tel projet gouvernemental de réforme, des violences policières ou coloniales et, plus largement, de tout ce qui « victimise », sont censées pouvoir et même devoir se coordonner dans le cadre d’une lutte commune contre l’oppression bourgeoise, capitaliste, réactionnaire, oligarchique, élitiste, patriarcale, etc.
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Aide à mourir : l’Église dénonce une « tromperie »
La présentation du projet de loi sur "l’aide à mourir" faite par Emmanuel Macron par voie de presse le 10 mars a suscité une vague de réactions au vitriol et d’incompréhension de l’Église en France. "Tromperie", "dissimulation", "absence de fraternité"… Les évêques n’ont pas mâché leurs mots.
Les mots peuvent parfois manquer sous le choc d’un événement, le poids d’une décision. La présentation des contours du projet de loi sur « l’aide à mourir » faite par le président de la République en personne ce dimanche 10 mars dans un entretien publié dans La Croix et Libération aurait pu laisser sans voix. Mais face à cet effroyable texte, les évêques de France ont choisi leurs mots avec précision et sans détour. Des mots à la hauteur des enjeux. « Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie », a réagi avec force Mgr Éric de Moulins-Beaufort, le président de la Conférence des évêques de France (CEF) dans La Croix. Et l’évêque de reprendre : « Appeler ‘loi de fraternité’ un texte qui ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie. Une telle loi, quoi qu’on veuille, infléchira tout notre système de santé vers la mort comme solution. »
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