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Parce que dans la vie de couple, l’amour sans conflit est une douce illusion, la règle d’or en cas de crise est de pardonner afin que les frustrations ne se transforment en bombes à retardement… Mais attention aux faux pardons qui n’ont rien à voir avec le pardon vrai et sincère.
Dans la vie de couple, derrière un beau sourire, il y a parfois des fragilités qui émaillent le quotidien, celles de l’un et de l’autre. Des désaccords, des disputes, des agacements qui font irruption en glissant les deux conjoints vers un certain isolement. Tous les couples y tombent régulièrement. Tous, un jour ou l’autre, sont alors confrontés à la question des pardons, qu’il s’agisse d’une petite indélicatesse ou d’une blessure beaucoup plus profonde.
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Il y a dix-neuf ans, jour pour jour, le pape Jean Paul II décédait au Vatican à l’âge de 85 ans, après plus de 26 ans de pontificat.
Il y a dix-neuf ans, jour pour jour, le pape Jean Paul II décédait au Vatican à l’âge de 85 ans, après plus de 26 ans de pontificat. Ce jour-là, plusieurs dizaines de milliers de fidèles étaient rassemblées, depuis la veille, sous les fenêtres de ses appartements, sur la place Saint-Pierre.
Les paroles de Mgr Leonardo Sandri, alors substitut de la secrétairerie d’État, résonne dans toute la place : « Chers frères et sœurs, je dois vous donner une nouvelle très importante. Ce soir, àc21 h 37, notre Saint-Père est retourné à la maison du Père ». Les larmes coulent des visages tendus vers les fenêtres de leur pasteur. Le silence sur la place est total. Puis les prélats entonnent le Salve Regina, suivi par le De Profundis.
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Avec la Résurrection et l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte, s’ouvrent les derniers temps, mais aussi la libération de la créativité humaine pour les affronter.
Avec la Résurrection, les derniers temps sont arrivés. Le discours de Pierre à la Pentecôte décrit l’effusion de l’Esprit comme l’accomplissement des signes des derniers jours prédits par le prophète Joël : « Alors, après cela, je répandrai mon esprit sur tout être de chair, vos fils et vos filles prophétiseront » (Jl 3, 1). Est-ce à dire que l’histoire s’est arrêtée il y deux mille ans à Jérusalem ? Nous constatons plutôt qu’elle a continué à suivre son cours, avec son cortège de nouveautés et de tragédies. Dans ces conditions, pourquoi parler des derniers temps ? Parce qu’avec la Résurrection, un germe d’éternité a été semé dans ce monde.
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Régulièrement, le sujet revient au cœur du débat : l’enseignement privé est-il légitime, alors qu’il concurrence l’enseignement public, profite des subsides de l’État et promeut une vision chrétienne de la société de plus en plus marginalisée ? Reste à savoir ce que dit vraiment la loi de la nature et de la liberté de l’enseignement catholique.
En tant que telle, la loi Debré n’existe plus, mais a été intégrée dans le Code de l’Éducation. Cette loi de 1959 est pourtant l’objet d’un débat récurrent dans la société française à propos de l’existence d’un système scolaire à deux vitesses, entre le public et le privé. Ce dernier est en réalité plus « libre » que « privé » puisque tous y ont accès et qu’il n’a le plus souvent pas de but lucratif. La question recouvre en fait, dans le cas de l’enseignement libre catholique, trois aspects : pédagogique, financier, religieux.
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Steven Limbani Kassimu est diacre au Malawi (Afrique) et se prépare à la prêtrise, une vocation qu'il porte depuis son plus jeune âge. Issu d’une famille musulmane, il raconte à Aleteia sa conversion au catholicisme puis la naissance de sa vocation sacerdotale.
Steven Limbani Kassimu est diacre à la paroisse Saint-Martin de Porres, dans le diocèse de Mangochi (à prédominance musulmane), au Malawi, en Afrique. « Je suis le cinquième d’une fratrie de six enfants d’une famille musulmane », confie-t-il à Aleteia précisant que dans son pays, l’islam est la deuxième religion après le christianisme. Élevé dans la religion musulmane, Steven passe néanmoins sa scolarité dans une école tenue par des religieux catholiques.
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Le pape François a demandé un "échange général de tous les prisonniers entre la Russie et l’Ukraine" lors de son message de Pâques, prononcé avant la bénédiction Urbi et Orbi – "à la terre et au monde" –délivrée ce dimanche de Pâques à midi, le 31 mars 2024.
Après la messe de Pâques célébrée sur la place Saint-Pierre, le pape François, 87 ans, est apparu à midi pour prononcer la célèbre bénédiction Urbi et Orbi depuis la loggia centrale de la basilique. Devant près de 60.000 fidèles (selon le Bureau de presse du Saint-Siège), il a confié, durant une dizaine de minutes, son inquiétude concernant divers conflits et problèmes qui touchent le monde.
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Se laisser porter par la liturgie de l’Église au cours de l’octave de Pâques, nous permet de traverser la faiblesse de notre foi. Les témoins de la Résurrection nous aident à comprendre que la victoire du Christ est un don de la grâce, que désormais chaque jour qui passe, brille une lumière qui ne faiblit jamais.
L’octave de Pâques est comme une rampe de lancement pour tout le reste de l’année. Nous voilà pris dans un mouvement ascendant qui ne cesse pas de s’accélérer, puisque nous sommes promis à la résurrection. Les apparitions du Christ qui se révèle maintenant dans toute sa gloire demeurent une source d’inspiration et de contemplation jour après jour, sans rien perdre de leur force et de leur capacité à aiguiser notre foi, par ailleurs toujours flageolante.
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Déjà la lumière de la Résurrection pointe dans les ténèbres de la Passion. Pour honorer ce mystère, centre de la foi chrétienne, la liturgie catholique le médite pendant cinquante jours : un temps pascal qui est long que l’éprouvant carême.
« Long comme un carême » dit l’expression, certes tombée en désuétude. Sagesse populaire n’est pourtant pas vérité liturgique : ce temps de pénitence de quarante jours n’est pas le plus long temps privilégié dans l’année liturgique. Hormis le temps « dans l’année » ou ordinaire, qui est comme le fond commun de la prière de l’Église, la période la plus longue est celle qui commence à Pâques : le temps pascal.
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En vivant de l’intérieur la victoire pascale du Christ, nous nous approprions la victoire de son amour sur la haine, la vengeance et le ressentiment.
On peut légitiment s’étonner que le Christ ressuscité des morts ne soit apparu qu’à ses disciples et sympathisants. Comment expliquer ce choix ? Est-ce le désir de rester dans l’entre-soi de la petite communauté qu’il avait commencé à former sur les routes de Galilée ? Non, la raison principale est que seule la foi est capable de reconnaître Celui qui est entré dans la vie de Dieu le jour de Pâques. Cette vie n’est pas perceptible par nos sens charnels : seule la foi peut l’atteindre. Voilà pourquoi le Christ s’est manifesté aux seules personnes qui avaient cru en lui, même imparfaitement, durant son existence terrestre. Notons au passage que c’est le Ressuscité qui a l’initiative de ses apparitions. Il se donne à voir : la perspicacité et le désir des disciples n’y ont aucune part.
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La découverte des ossements du petit Émile Soleil samedi "à proximité du hameau du Vernet" a relancé de façon fulgurante l’enquête sur sa disparition inexpliquée le 8 juillet dernier. “L’heure est au deuil, au recueillement et à la prière" ont réagi ses parents.
Le hameau du Haut-Vernet était une nouvelle fois coupé du monde dimanche, comme il l’a déjà été à plusieurs reprises depuis neuf mois, quelques heures après la découverte, la veille, par une randonneuse d’une partie des ossements du petit Emile Soleil, disparu depuis le 8 juillet dernier dans des conditions inexpliquées.
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À Bondy, en Seine-Saint-Denis, une aumônerie de jeunes catholiques est le lieu d'une formidable croissance depuis la rentrée scolaire 2023. Confrontés au multiculturalisme et à la précarité, collégiens, lycéens et étudiants y témoignent joyeusement de leur foi. Reportage.
Ce soir-là, dans la cour de l’aumônerie de Bondy (Seine-Saint-Denis), il règne une ambiance joyeuse de récréation. Il faut alors se frayer un chemin entre les groupes de copines qui bavardent avec entrain, tout en essayant de ne pas entrer en collision avec les plus jeunes, lancés dans une partie de foot ou autre jeu d’équipe. À l’entrée de la salle où doit se tenir le rassemblement, les grands surveillent les plus jeunes pendant que certains assurent les derniers préparatifs de la soirée. À les voir si enthousiastes et assurés, on peine à croire qu’ils sont à peine plus âgés que les lycéens qu’ils encadrent. La petite vingtaine, tout au plus. C’est Angela, 19 ans, qui mène les opérations. Son visage juvénile et sa silhouette fine tranchent avec une détermination et caractère que l’on devine bien trempé. « On ne va pas tarder à commencer ! », lance-t-elle.
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Le père Christian Lancrey-Javal, curé de la paroisse Notre-Dame de Compassion à Paris, commente l’évangile du jour de Pâques (Jn 20, 1-9). Le contraire de la déception, c’est Pâques : Dieu tient toujours parole. Le Christ est ressuscité, il est vivant comme il l’avait dit.
Le Christ a tenu parole : il est vivant comme il l’avait dit. Notre foi en la Résurrection repose tout entière sur la véracité, l’absolue fiabilité de Dieu : tout ce qu’il dit est vrai et se réalise, s’est réalisé et se réalisera. Il dit ce qu’il fait et il fait ce qu’il dit, de toute éternité. Nul n’est comme lui. Il n’a pas d’égal. Sa parole est infaillible : avec lui, de sa part, de ce point de vue, nous ne sommes jamais déçus.
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Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, samedi : père Paul-Marie
Samedi saint : "Marie et le Sépulcre"
Enregistrement audio du samedi 30 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Pourquoi Jésus a-t-il attendu trois jours pour ressusciter ? Le Samedi saint nous l’enseigne, explique la philosophe Jeanne Larghero. Supprimer la mort ou vaincre la mort, ce n’est pas pareil.
Les sagesses grecques de l’Antiquité n’avaient qu’un objectif : nous apprendre à apprivoiser la mort. Puisqu’il faut vivre, autant bien vivre. Évitons alors d’être terrorisés par la perspective de notre propre mort, accablés par la mort de nos proches, et scandalisés par l’idée même que la vie puisse finir. Pour cela, plusieurs écoles semblent avoir fait leurs preuves.
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Régulièrement, les mêmes lieux communs sur la vie de Jésus resurgissent, quand ce n’est pas l’existence même du Crucifié le plus célèbre de l’histoire qui est contestée. L’essayiste Matthieu Lavagna, qui vient de publier "Non, le Christ n’est pas un mythe", réfute quatre de ces contrevérités les plus manifestes.
Pour critiquer le christianisme, quoi de plus simple apparemment que de mettre en cause la réalité de son événement fondateur, la naissance et la mort du Christ ? Contrairement à ce qu’affirment certains pseudo-historiens, nous avons en réalité de meilleures sources concernant l’existence et la vie de Jésus que nous n’en avons pour la plupart des grandes figures de l’histoire. Voici quatre contrevérités manifestes auxquelles il convient de répondre en s’appuyant sur les travaux des historiens universitaires dont l’autorité scientifique ne fait aucun doute :
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La mise au tombeau est le dernier épisode de la Passion du Christ. Cette scène muette, jouée au Moyen Âge sur le parvis des églises, devient un sujet de prédilection dans la sculpture populaire à la fin du XVe siècle.
La mise au tombeau illustre le moment précis où le Christ est déposé dans le sépulcre, après avoir été descendu de la Croix et enveloppé d’un linceul. Cette scène de l’ensevelissement du Christ porte aussi le nom de Sépulcre. Les mises au tombeau sculptées, à taille humaine, apparaissent à la fin du Moyen Âge. Elles font écho aux préoccupations des hommes de ce temps, fascinés par la mort, hantés par le Jugement dernier et par leur propre Salut. Les Mystères de la Passion joués sur le parvis des églises attirent les foules. La popularité de la scène muette de l’ensevelissement du Christ, l’ultime et la plus pathétique, est à l’origine de la production de mises au tombeau monumentales, dans les Flandres, en Lorraine, en Champagne et en Bourgogne.
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Les catholiques et protestants de Chine s'apprêtent à fêter Pâques toujours sous la surveillance étroite du Parti communiste. Sinisation du discours religieux, arrestations, églises fermées ou démolies, symboles chrétiens retirés... Les chrétiens de Chine endurent avec résilience une persécution qui ne faiblit pas.
Célébrer Pâques pourrait bien s’apparenter à un parcours du combattant pour les croyants de Chine. Sous surveillance constante du pouvoir communiste, les religions catholique et protestante sont considérées avec une méfiance qui se répercute sur la vie ecclésiale, chaque jour un peu plus entravée. Confrontés à des restrictions quotidiennes de leur liberté de culte, les chrétiens sont contraints de promouvoir la traditionnelle fête du Printemps, qui célèbre la transition entre la fin de l’hiver et le retour du soleil dans la continuité de la « sinisation » des religions voulue par le Parti Communiste Chinois (PCC). L’objectif : aligner les religions sur la doctrine, l’idéologie et le discours communistes, notamment les religions « étrangères » (christianisme et islam) perçues comme des formes d’incursions occidentales.
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Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Mercredi saint : "la grâce de l'Esprit Saint, semence de gloire"
Enregistrement audio du mercredi 27 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Jeudi saint : "l'Eucharistie, mystère de lumière"
Enregistrement audio du jeudi 28 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Réconcilier corps et âme, c’est l’ambition du projet Holy Games, le programme de mobilisation de l’Église catholique pour accompagner le monde du sport pendant les Jeux olympiques de Paris. Membre fondateur, François Morinière présente avec Isabelle de Chatellus, directrice du projet, les initiatives auxquelles tous les catholiques sont conviés.
MMA, trail, salle de musculation, e-sport : voici les nouvelles formes de sport qui font le plein aujourd’hui. Les jeunes peinent à regarder un match de football de 90 minutes et la technique du tennis est remplacée par le padle jugé plus ludique. Le sport est-il en train de perdre son âme ? Certainement pas ! Reprenons notre souffle ! Nous sommes 80% à vivre, pratiquer, regarder, vibrer à travers le sport : du sportif du dimanche, au sportif de canapé en passant par le sportif professionnel, toutes les nouvelles formes de sport sont bien l’expression d’un besoin accru d’expression de notre vitalité par le sport, mais comment, en chrétien, vivre ces nouvelles formes de pratiques ?
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