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Comment convertir son cœur au cours du carême ? Non pas en traquant le mal en nous, mais en choisissant de faire le bien, même modestement, car c’est ce pourquoi nous existons.
Avec Jean-Baptiste, le précurseur qui redresse les chemins de nos cœurs pour nous préparer à reconnaître Jésus, nous avons appris que pour recevoir Dieu, il faut convertir nos cœurs. Si nous tendons l’oreille, nous entendons encore résonner sa voix tout le long du carême et nous pouvons en profiter pour essayer de mieux comprendre sur quoi repose notre conversion.
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Au Nicaragua, les catholiques font face à une nouvelle vague d’interdictions à l’approche de Pâques. Au moins 4.800 processions en extérieur ont été interdites tout au long du carême et lors de la Semaine sainte à venir par le gouvernement dictatorial de Daniel Ortega.
Dans les rues nicaraguayennes, il n’y aura – presque – personne pour célébrer la Semaine sainte et Pâques. Alors que les processions en extérieur font partie des traditions fortement ancrées dans le pays, le gouvernement de Daniel Ortega a décidé d’en interdire bon nombre. Entre les vendredis de carême et la Semaine sainte, au moins 4.800 processions ont ainsi été interdites, rapporte Martha Patricia Molina, avocate pénaliste nicaraguayenne en exil.
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Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Lundi saint : "Jésus veut nous faire entrer dans quelque chose de nouveau"
Enregistrement audio du lundi 25 mars au prieuré des Sœurs Contemplatives de Saint-Jean à Terre-Basse (Châteaufort).
Les pères Charbel et Paul-Marie nous proposent des enseignements durant la Semaine Sainte
Lundi, mardi, mercredi : père Charbel
Jeudi, vendredi, samedi : père Paul-Marie
Mardi saint : "le commandement ancien et nouveau à la fois"
Enregistrement audio du mardi 26 mars au prieuré des Frères de Saint-Jean aux Jaumes (Châteaufort).
Oui, nous savons par le don de la Foi, que Jesus-Christ, Dieu fait homme, nous a pardonné nos péchés en nous manifestant son amour par son sacrifice suprême de la Croix. Nous savons aussi que c'est par le sacrement du Baptème que nous recevons la vie divine, appelée "grâce". Mais comprenons-nous pourquoi nous avons encore besoin d'aller a la messe et pourquoi Jesus a institué le sacrement de l'Eucharistie? Quelle est notre réponse à ceux qui nous le demandent?
Vivez la Semaine Sainte avec KTO ! Cette grande semaine nous conduit au cœur de l’année liturgique et du mystère pascal, depuis l’entrée du Seigneur à Jérusalem avec les Rameaux et sa Passion, jusqu’à sa résurrection au matin de Pâques.
En communion avec les chrétiens des différents continents, KTO retransmet les célébrations et les offices de prière en direct de Terre Sainte, de Rome, ainsi que de Paris, Lourdes, Marseille et Keur Moussa. Retrouvez toute la programmation spéciale et les horaires des offices ci-dessous.
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Aller à la messe chrismale, durant la Semaine sainte, est une belle manière de manifester l’unité de l’Église et de soutenir les prêtres de son diocèse.
Non, la messe chrismale n’est pas réservée aux prêtres. Les fidèles sont vivement invités à participer à cette célébration qui a lieu une fois par an pendant la semaine sainte et au cours de laquelle l’évêque bénit les huiles saintes et consacre le Saint-Chrême. Généralement, la messe chrismale a lieu le Jeudi Saint au matin, mais pour faciliter la participation des fidèles, de nombreux diocèses la célèbrent un soir du début de la Semaine sainte, le lundi, le mardi ou le mercredi. Voici deux bonnes raisons de ne pas la rater cette année !
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En Birmanie, où la guerre fait toujours rage entre forces de défense populaires et junte, la minorité catholique se prépare à vivre une Semaine sainte particulièrement éprouvante. Loin de leurs maisons et de leurs paroisses, les fidèles achèvent leur Carême dans la souffrance.
En Birmanie, les catholiques se préparent à vivre une Pâque au goût amer, alors que la guerre civile laisse la population exsangue. L’intensification des combats qui opposent la junte aux forces de défense du peuple a provoqué une escalade sans précédent des attaques contre les civils, alerte l’ONU dans un dernier communiqué. Les raids aériens auraient ainsi été multipliés par cinq sur les cinq derniers mois.
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Le père Mickaël Le Nézet, curé de la paroisse de Rochefort, commente les lectures des Rameaux et de la Passion du Seigneur. Depuis le triomphe des Rameaux jusqu’à l’anéantissement de la Croix, Jésus ne renonce à aucune souffrance, il fait le choix du don coûte que coûte, abandonné dans les mains de son Père.
Des consignes données aux disciples pour son entrée triomphale à Jérusalem jusqu’à celles données pour préparer la Pâque, Jésus se révèle maître des événements. Il conduit les choses. Tout au long du récit de la Passion que nous entendons le jour des Rameaux, Jésus ne subit pas plus les événements. Il connaît le cœur de l’homme. Il sait de quoi il est capable. Il sait qu’il va être renié, livré, abandonné des siens. Il sait que son heure est proche. Alors que des sentiments de haine et de violence, d’aigreur et de jalousie habitent le cœur des soldats et des autorités religieuses, Jésus lui, garde son calme, souvent même, demeure dans le silence.
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La philosophe Jeanne Larghero éclaire pour Aleteia les petites et grandes questions de l’existence à la lumière de l’éthique chrétienne. Elle répond cette semaine à ces croyants qui ne pratiquent pas leur foi : croire en Jésus-Christ sans le suivre… est-ce le croire ?
Certaines distinctions ont la vie dure, alors qu’elles ne recouvrent pas vraiment la réalité. Faisons un sort à la ligne de partage qui séparerait le croyant (celui qui croit que Dieu existe) du non-croyant (celui qui ne croit pas à l’existence de Dieu, ou celui qui dit ne croire en rien). En réalité, l’athéisme est une croyance : je crois que Dieu n’existe pas, voilà plutôt la formulation qui lui convient. Il s’agit d’ailleurs d’une croyance matérialiste qui ne sera revendiquée qu’à partir de l’époque moderne.
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Comment faut-il comprendre la reconnaissance tardive dans l’Église de la place unique de saint Joseph dans le dessein du salut ? Pour Joseph-Marie Verlinde, fondateur de la Famille de Saint-Joseph, auteur d’un récent "Joseph de Nazareth" (Artège), si les derniers papes ne cessent de donner à Joseph une place de plus en plus importante, nous ne sommes sans doute qu’au tout début de la révélation de son rôle dans le mystère de l’Incarnation.
Saint Joseph a toujours été un des saints préférés de la piété populaire, alors qu’il fut longtemps « boudé » par le Magistère pour une raison théologique discutable : il ne fallait pas offrir des arguments à ceux qui mettent en doute la virginité perpétuelle de la Mère de Dieu. Et voilà qu’à la fin du XIXe siècle et surtout au XXe siècle, les choses vont rapidement évoluer. Le 8 décembre 1870, le pape Pie IX déclarait saint Joseph, le chaste époux de la Vierge Marie, patron de l’Église universelle. Le 19 mars 1961, Jean XXIII choisit saint Joseph comme protecteur du concile Vatican II ; et le 13 novembre 1962, le même Jean XXIII voulut que son nom soit invoqué au canon de la première prière eucharistique, aussitôt après celui de la Vierge Marie.
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Les contours du projet de loi sur "l’aide à mourir" présentés par Emmanuel Macron dans une interview le 10 mars suscitent une vive contestation au-delà des clivages traditionnels.
Alors que le projet de loi sur l’aide à mourir doit être présenté ces jours-ci au Conseil d’État avant d’être examiné à partir du 27 mai à l’Assemblée nationale, les contours du texte, révélés par Emmanuel Macron par voie de presse le 10 mars, n’en finissent pas de faire réagir. Vivement et largement. Dans les heures qui ont suivi les soignants et professionnels de santé ouvrant dans les soins palliatifs au premier rang desquels la Sfap ont dénoncé tour à tour « un modèle ultra-permissif », « un calendrier indécent » et un « mépris du travail des soignants ». L’Église, par la voix du président de la Conférence des évêques de France (CEF), Mgr Éric de Moulins-Beaufort, a dénoncé avec force « la tromperie » d’un tel texte.
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Comment échapper à l’ennui lors de la messe ? C’est le sujet du dernier livre du père Joël Guibert : "L’Eucharistie" (édition Artège). Pour Aleteia, il explique pourquoi une meilleure compréhension du mystère de la messe fait grandir le désir de l’Eucharistie. Ce désir, dit-il, est d’abord le désir de Dieu : "À la messe, c’est Dieu qui a faim de nous."
La messe est au cœur de la vie du chrétien, mais qui n’a pas éprouvé lors de l’assemblée dominicale lassitude et ennui, ou parfois de l’agacement devant une liturgie qui paraît décalée ? Comprendre ce qui se joue à chaque messe fait grandir en nos âmes le désir de Dieu et la faim de l’Eucharistie, explique le père Joël Guibert. En apparaissant pour ce qu’elle est réellement, le sacrifice de la croix rendu présent sur l’autel, notre participation intérieure à la messe ne peut que changer, et changer notre vie.
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Avec l’inscription de l’avortement dans la Constitution, le législateur s’inscrit dans une logique du libéralisme politique, observe l’historien Paul Airiau. S’il transfère son pouvoir de déterminer ce qui est humain et ce qui ne l’est pas, il reconnaît à l’État le pouvoir souverain de décider le bien et le mal.
« La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. » Tel est donc le nouvel alinéa de l’article 34 de la constitution depuis la promulgation de la loi 2024-200 du 8 mars 2024. Il vaut la peine de se pencher sur cette formulation pour en saisir les logiques profondes — non pas la question de la distance qui existe toujours entre les affirmations et les conditions de leurs réalisations, mais bien l’univers idéel dont elle relève et qu’elle institue.
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En Malaisie, 1.700 adultes se préparent à recevoir le baptême dans la nuit de Pâques 2024. Dans ce pays majoritairement musulman, les demandes de baptême continuent d'augmenter d'année en année.
Bonne nouvelle ! 1.700 catéchumènes se préparent à recevoir le baptême lors de la veillée pascale, en Malaisie, rapporte l’agence Fides. Depuis plusieurs années, ce pays pourtant majoritairement musulman enregistre un nombre croissant de demandes de baptêmes de la part d’adultes. Les diocèses ont ainsi mis en place, avec leurs paroisses, de plus en plus de parcours de catéchuménat afin de préparer ceux qui le désirent à la réception de ce sacrement.
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Pour neutraliser leurs adversaires, les militants de l’euthanasie pratiquent parfois la méthode douce, qui n’est pas la moins efficace. Ils usent du sourire, dans son "sirupeux redoutable", remarque l’écrivain Henri Quantin, pour installer leur colonisation idéologique par les bons sentiments.
Face aux empêcheurs d’euthanasier en toute bonne conscience, ceux qui exercent le magistère médiatique utilisent tantôt la méthode forte, tantôt la méthode douce. La méthode forte, qui ne dépasse pas trop le domaine verbal pour l’instant, est de loin la plus en usage. Pour en avoir un aperçu, il suffit d’allumer France Inter, où elle tourne à plein régime et à visage découvert : ricanements au seul nom d’un adversaire non aligné, citations discréditées immédiatement par les réactions gloussantes des chroniqueurs, interruption agressive de tout invité qui ne répond pas dans le sens du vent progressiste.
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Pour Laurent Stalla-Bourdillon, prêtre-enseignant au Collège des Bernardins, "être suicidé" par un professionnel de santé ou par un parent est humainement inconcevable. Tôt ou tard, ce droit à l’euthanasie se transformerait en droit à euthanasier.
Selon certaines personnes, la cause de l’euthanasie serait pour notre époque ce que fut le combat pour l’IVG en 1975 : « Les forces qui s’opposent au droit à une aide médicale à mourir rappellent celles qui, il y a cinquante ans, s’opposaient à l’IVG » lit-on dans une tribune publiée dans Le Monde. C’est en partie vrai puisque donner la mort devient une fois de plus la solution. « Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie » réagissait le président de la Conférence des évêques de France, Mgr Éric de Moulins-Beaufort. Il s’agit d’abréger la vie d’une personne malade et de supprimer la vie d’un enfant à naître. Au terme ou au commencement, la vie physique d’une personne humaine est pourtant bien plus qu’une question de biologie. C’est pour toute la communauté humaine, une question spirituelle !
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Trois moines coptes orthodoxes ont été tués à l'arme blanche dans leur monastère en Afrique du Sud, le 12 mars 2024. Le lendemain, à plusieurs centaines de kilomètres, le père William Banda, prêtre catholique zambien, a été sauvagement assassiné de deux balles dans la tête dans son église.
Trois moines coptes orthodoxes et un prêtre catholique ont été sauvagement tués en Afrique du Sud en l’espace de quelques jours. Les trois moines ont été retrouvés sans vie le 12 mars dans leur église à Cullinan, petite ville située à environ 50 km au nord-est de la capitale de Pretoria, couverts de blessures à l’arme blanche.
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Les réformes "sociétales", comme celle annoncée par le président Macron sur "l’aide à mourir" au nom de la "fraternité", sont portées par une anthropologie irréaliste, décrypte l’essayiste Jean Duchesne. Cette vision de l’humain, enfermée dans le dogme arbitraire de l’autonomie de l’individu, oriente ultimement à la solitude, jusque dans la mort.
La « convergence des luttes » fait partie d’une certaine mythologie « gaucharde » : des revendications ou protestations très diverses, des conditions de travail et les salaires ou revenus, des régimes de retraites, l’écologie, de tel projet gouvernemental de réforme, des violences policières ou coloniales et, plus largement, de tout ce qui « victimise », sont censées pouvoir et même devoir se coordonner dans le cadre d’une lutte commune contre l’oppression bourgeoise, capitaliste, réactionnaire, oligarchique, élitiste, patriarcale, etc.
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La présentation du projet de loi sur "l’aide à mourir" faite par Emmanuel Macron par voie de presse le 10 mars a suscité une vague de réactions au vitriol et d’incompréhension de l’Église en France. "Tromperie", "dissimulation", "absence de fraternité"… Les évêques n’ont pas mâché leurs mots.
Les mots peuvent parfois manquer sous le choc d’un événement, le poids d’une décision. La présentation des contours du projet de loi sur « l’aide à mourir » faite par le président de la République en personne ce dimanche 10 mars dans un entretien publié dans La Croix et Libération aurait pu laisser sans voix. Mais face à cet effroyable texte, les évêques de France ont choisi leurs mots avec précision et sans détour. Des mots à la hauteur des enjeux. « Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie », a réagi avec force Mgr Éric de Moulins-Beaufort, le président de la Conférence des évêques de France (CEF) dans La Croix. Et l’évêque de reprendre : « Appeler ‘loi de fraternité’ un texte qui ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie. Une telle loi, quoi qu’on veuille, infléchira tout notre système de santé vers la mort comme solution. »
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