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Les dernières informations.
Au moins quinze fidèles ont été tués et deux autres blessés dans une attaque survenue dimanche dans une église catholique du diocèse de Dori, dans le nord du Burkina Faso, non loin des frontières du Mali et du Niger.
Une tragédie sans fin pour les catholiques du Burkina Faso. « C’est dans la foi et dans l’espérance que nous portons à votre connaissance l’attaque terroriste dont a été victime la communauté catholique d’Essakane-Village ce jour 25 février 2024, alors qu’elle était réunie pour la prière du dimanche », a fait savoir dans un communiqué le diocèse de Dori, dans le nord du Burkina Faso. Et d’égrener un effroyable bilan : 15 morts et deux blessés. « En cette circonstance douloureuse, reprend le communiqué, nous vous invitons à la prière pour le repos en Dieu de ceux qui sont morts dans la foi, pour la guérison des blessés et pour la consolation des cœurs éplorés. Prions aussi pour la conversion de ceux qui continuent de semer la mort et la désolation dans notre pays, est-il écrit dans le communiqué. Que nos efforts de pénitence et de prière en ce temps béni du Carême nous obtiennent la paix et la sécurité pour notre pays le Burkina Faso. »
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KTO vous propose une plongée dans les trésors artistiques du Vatican, accumulés par les papes pour manifester la gloire de Dieu, pour un voyage au sein de l'une des plus grandes collections d'art du monde. Une série de cinq épisodes produits par la RAI. Rendez-vous dès ce mercredi 28 février à 20h35.
Du 3 au 9 juin 2024, la rédaction d’Aleteia vous propose une marche spirituelle en Italie dans les pas de saint François d’Assise.
Sacré personnage que saint François d’Assise ! radical, marginal, anticonformiste, écolo… La figure du Povorello d’Assise n’a décidément, plus de 800 ans après, pas fini d’intriguer et d’interpeller. L’Église a reconnu plus de quarante miracles attribués à saint François d’Assise (1181-1226). Celui qui voyait Dieu en tout n’a cessé d’inspirer au fil des siècles par son exemple et son engagement total. Aujourd’hui, la rédaction d’Aleteia vous propose de marcher dans ses pas. Du 3 au 9 juin, joignez-vous à une marche au départ de Rieti et jusqu’à La Verna, en passant par Assise, afin de méditer sur la vie de saint François au cœur des paysages qu’il a aimés.
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Niché au cœur de la Méditerranée, au large de la Sicile et de la Tunisie, le petit archipel maltais a décidément tout pour ravir le cœur des touristes et des pèlerins. Malte ce sont des paysages à couper le souffle, une culture multiséculaire, des traditions qui se perpétuent mais aussi une foi profonde, un patrimoine religieux exceptionnel et une ferveur qui saura réchauffer les âmes engourdies.
Il est des voyages qui marquent autant le cœur que le corps, l’âme et l’esprit. Des voyages qui ne nécessitent pas de parcourir la moitié du globe pour déconnecter d’un quotidien effréné et se reconnecter à l’Essentiel. Situé au large de la Sicile et de la Tunisie, au cœur de la Méditerranée, l’archipel maltais en fait partie. Composé de six îles dont les principales sont Malte, Gozo et Comino, Malte est le plus petit État de l’Union européenne avec 316 km2 de superficie. Petit par la taille peut-être, mais certainement pas par son histoire, sa foi et son patrimoine.
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700 ans, 800 ans, 900 ans, et même presque 1.000 ans… Certains ordres religieux comptent parmi les organisations les plus anciennes du monde. Entre intuition fondatrice et règles de vie, prière et travail, discipline et fraternité, quel est leur secret de longévité ? Explication.
Y-a-t-il une forme de vie religieuse commune qui garantit une longévité de 700, 800, 900 ans ? Quelle est la formule qui donne des résultats aussi impressionnants ? De nombreux chercheurs se sont penchés sur la question en analysant de près les plus anciens ordres religieux. Comme, par exemple, ce monastère bénédictin d’Engelberg en Suisse, fondé en 1120 qui a fait l’objet d’une étude d’Emil Inauen de l’Université de Zurich, sur l’influence de la gouvernance monastique dans sa capacité de survie. D’autres scientifiques ont comparé la différence de mode de fonctionnement entre les ordres contemplatifs (les cisterciens) et les ordres prêcheurs (les dominicains) et leur potentiel de longévité grâce notamment aux mécanismes de gouvernance. Ceux qui sont définis par les règles de vie monastique (dont la Règle de saint Benoît ou celle de saint Augustin) qui constituent de vrais trésors de sagesse. Si elles peuvent être une vraie source d’inspiration pour la vie quotidienne de chaque chrétien, elles le sont également pour le management d’entreprise.
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Le père Simon d’Artigue, curé de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse, commente les lectures du 2e dimanche de carême. Le sacrifice d’Abraham nous apprend le sens du sacrifice véritable : ce que Dieu attend de moi, ce n’est pas que je me sacrifie et que je meure, mais que je m’offre et que je vive.
Ce mercredi 21 février, nous célébrions le martyre de ces vingt-et-un coptes égorgés en 2015 sur une plage de Libye, non pas seulement des « ressortissants égyptiens » comme l’affirmait le président de la République, mais des fils de Dieu, des chrétiens, nos frères dans la foi. Vingt-et-un jeunes hommes sont à genoux, au pied d’hommes prêts à les égorger, parce qu’un dieu, leur dieu leur aurait demandé de le faire et ils sont égorgés à cause de leur foi. Ces vingt-et-un hommes, nos frères, sont morts en martyrs, le sacrifice de leur vie, leur sang versé est semence de chrétienté a dit Tertullien il y a 1.800 ans, et c’est encore vrai aujourd’hui. Contrairement au mensonge du monde, la violence ne gagne jamais, ces martyrs sont les grands vainqueurs. Mais au Nigeria ou en Turquie, à Kaboul ou Téhéran, des hommes, des femmes, des enfants parfois commettent des attentats-suicides et on nous rapporte qu’eux aussi meurent en martyrs, on nous dit qu’eux aussi se sont sacrifiés pour une cause. Qu’y a-t-il de commun entre ces martyrs ? Qu’y a-t-il de commun entre ces sacrifices ? Qu’y a-t-il de commun entre celui qui se tue dans le but de tuer et celui qui donne sa vie ?
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Sœur Rome Mary, une religieuse indienne résidant dans l'État du Meghalaya en Inde, a été humiliée et forcée de descendre du bus par des passagers hindous, le 17 février. Le diocèse de Taru s'est plaint de cette nouvelle agression auprès des autorités, souvent incapables de protéger les minorités chrétiennes de plus en plus menacées.
Il ne fait pas bon vivre en Inde pour ceux qui ont choisi de donner leur vie à Dieu. Le diocèse de Tura, situé dans l’État du Meghalaya, s’est plaint auprès du gouvernement de l’humiliation d’une religieuse et de son expulsion d’un bus, a annoncé l’évêque auxiliaire du diocèse, Mgr José Chirackal auprès du journal UCA News le 22 février.
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Dans la collégiale sainte Marthe de Tarascon (Bouches-du-Rhône) se trouve un chef d'œuvre de Carle Van Loo. Peint en 1730, il raconte une terrifiante histoire.
Selon la tradition provençale, Marthe s’est installée aux Saintes-Maries-de-la-Mer avec sa fratrie et d’autres disciples. C’est elle qui aurait fondé la première communauté chrétienne de Tarascon, vers l’an 50. Au-dessus de l’emplacement supposé du tombeau de Marthe, une collégiale royale a été édifiée et porte son nom.
Parmi les récits que la tradition rapporte, à prendre donc avec d’infinies précautions, la sainte aurait vaincu la Tarasque, qui terrorisait la population de Tarascon. La Tarasque ? Jacques de Voragine, l’auteur de « La légende dorée », évoque à son sujet un « dragon, mi-animal, mi-poisson, plus gros qu’un bœuf, plus long qu’un cheval, avec des dents aigües comme des cornes, et de grandes ailes aux deux côtés du corps ; et ce monstre tuait tous les passagers et submergeait les bateaux ».
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Le célèbre roi David, personnalité de contraste, capable des plus grands faits héroïques mais aussi des plus sombres, fera rayonner Israël bien après son règne, notamment par les non moins célèbres psaumes qui lui sont attribués et sa prestigieuse descendance…
Huitième fis de Jessé de la tribu de Juda, David est cité plus de 900 fois dans la Bible, signe de son importance. Succédant au roi Saül de manière singulière, David n’était cependant nullement destiné à de si hautes fonctions. C’est aux livres de Samuel dans l’Ancien Testament que nous apprenons, en effet, son histoire parvenue jusqu’à nous notamment pour ses faits héroïques : Ami du roi Saül dont il savait calmer les douleurs grâce à son art de la lyre dans lequel il excellait, David fut très tôt également un guerrier redoutable terrassant le géant philistin Goliath car l’esprit de Dieu régnait déjà sur lui… Mais la jalousie allait bientôt saisir le roi Saül qui vit en son ami David un rival susceptible de lui faire de l’ombre. En cherchant à le faire périr lors des combats en le plaçant en première ligne, Saül scellera son propre destin en tombant en disgrâce aux yeux du Seigneur. David lui succèdera alors en devenant roi de tout Israël après une longue lutte fratricide entre les partisans du roi Saül et ceux de David.
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La comédie musicale Bernadette de Lourdes se jouera en italien à Rome à l’occasion du Jubilé 2025. Une projection du spectacle a eu lieu cette semaine dans un cinéma de la Ville éternelle.
Après avoir conquis plus de 200.000 spectateurs en France, le spectacle musical ‘Bernadette de Lourdes’ s’apprête à franchir les Alpes. À l’occasion du Jubilé 2025 qui doit drainer plus de 30 millions de pèlerins à Rome, « il musical » – comme on dit en italien – sera joué à deux pas de la basilique Saint-Pierre, à l’Auditorium della Conciliazione. Durant un mois, du 16 janvier au 16 février, les habitants de Rome et ses visiteurs pourront entendre et voir l’histoire de la petite bergère à qui la Vierge Marie est apparue à 18 reprises en 1858. Le spectacle se déplacera ensuite dans les principales villes d’Italie, à Naples, Bari, Milan ou bien Florence.
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a comédie musicale Bernadette de Lourdes se jouera en italien à Rome à l’occasion du Jubilé 2025. Une projection du spectacle a eu lieu cette semaine dans un cinéma de la Ville éternelle.
Après avoir conquis plus de 200.000 spectateurs en France, le spectacle musical ‘Bernadette de Lourdes’ s’apprête à franchir les Alpes. À l’occasion du Jubilé 2025 qui doit drainer plus de 30 millions de pèlerins à Rome, « il musical » – comme on dit en italien – sera joué à deux pas de la basilique Saint-Pierre, à l’Auditorium della Conciliazione. Durant un mois, du 16 janvier au 16 février, les habitants de Rome et ses visiteurs pourront entendre et voir l’histoire de la petite bergère à qui la Vierge Marie est apparue à 18 reprises en 1858. Le spectacle se déplacera ensuite dans les principales villes d’Italie, à Naples, Bari, Milan ou bien Florence.
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Envie de donner sens à votre vie? Tentez l'expérience du Parcours Alpha,
Découverte du parcours Alpha autour d'un buffet offert le mardi 5 mars de 19h30 à 22h à la Maison paroissiale de sisteron : 11, avenue du Stade à Sisteron.
Dans "Lettres à Alma qui n’a plus besoin de Dieu", qui vient de paraître aux éditions du Cerf, le père Luc de Bellescize échange une correspondance avec une jeune femme qui se pose les grandes questions que chacun se pose, à l’intime de son âme, quand les épreuves de la vie secouent votre conscience.
Dans un échange épistolaire où seules les réponses du père Luc de Bellescize apparaissent, nous découvrons Alma et deux cheminements qui se croisent et qui se cherchent. Alma a reçu une éducation chrétienne, mais a perdu la foi. La mort de sa grand-mère qu’elle adore met son âme à nu. La retrouvera-t-elle un jour ? « Je ne crois pas que vous ayez perdu la foi, lui dit le prêtre, mais elle a cessé d’irriguer votre vie. Elle demeure une source cachée qui ne demande qu’à jaillir. » Le père de Bellescize répond aux questions d’Alma en ne cachant rien de son propre parcours. Au fil des lettres, il cherche à montrer les liens entre la terre et le Ciel, entre la raison et la foi. Pourquoi la mort ? Pourquoi l’amour ? Comment être libre ? Pourquoi en nous ce désir d’éternité ?
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"Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux." (Mt 5, 3). Qu'est-ce que cette pauvreté évoquée par le Christ parmi les huit béatitudes ? Le père Philippe Bernard, curé de la paroisse Saint-Jacques-des-Valleuses à Saint-Léonard (Seine-Maritime) répond à la question pour Aleteia.
C’était sur les rives du lac de Tibériade, non loin de Capharnaüm. Sur une montagne dont on ne sait pas grand chose, si ce n’est qu’elle manifeste le point de jonction entre la terre et le ciel, le Christ s’adresse à son peuple pour lui livrer ce que le père Philippe Bernard appelle une « feuille de route » : les huit béatitudes. « D’abord, estime ce curé de Normandie, il faut savoir que les deux traductions se valent : on peut dire ‘pauvre en esprit’, ou ‘pauvre de cœur’. Je préfère la première qui me paraît plus facile à comprendre. Elle évoque l’attitude de celui qui sait dire : merci Seigneur pour mes biens matériels, bien qu’ils ne soient pas au cœur de ma vie ».
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Avec la petite Thérèse comme avec tout l’Évangile, le paradoxe est que l’on devient adulte dans le Christ en devenant toujours plus enfant de Dieu.
Thérèse de Lisieux, avec sa « petite voie » d’enfance spirituelle, est aimée de tous, particulièrement en France. Mais est-elle comprise ? Ne se contente-t-on pas trop souvent d’une espèce de soupe « Sainte Thérèse pour les nuls », avec pour sous-titre « le christianisme sans peine » ? De quoi parle-t-on vraiment lorsqu’on parle d’enfance spirituelle ? Il faut commencer par une objection. Thérèse aurait-elle une vision naïve de l’enfance ? L’enfant, ce sont souvent l’égocentrisme et la volonté de puissance. L’enfant est celui qui voit le monde tourner autour de sa personne, de ses désirs, de ses caprices, qui use et abuse de l’affection de ses parents et frères et sœurs. Une bonne part de l’éducation consiste précisément à apprendre à l’enfant à se décentrer de lui-même, à considérer l’existence et les besoins d’autrui. De plus, l’enfant est un être encore inachevé. Pendant toute une période, il vit dans le rêve, dans le désir, et n’est pas responsable de ses actes – y compris juridiquement. Il ne peut subsister par lui-même, jusque dans les opérations vitales – se nourrir, se déplacer, etc. On ne voit pas très bien, là non plus, en quoi ce serait un état enviable, même pour un chrétien. Si c’est cela, l’esprit d’enfance exalté par Thérèse de Lisieux, non merci !
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Elles sont les grandes oubliées de la société, ces milliers de personnes qui donnent à voir, au milieu des souffrances, ce qu’il y a de plus beau et de plus humain en chacun : cette capacité à prendre soin. Blanche Streb rend hommage aux "aidants" qui se dévouent en silence à leurs proches atteints d’une longue maladie, handicapés ou en fin de vie.
Il y a quelques jours, au sein d’un colloque, je devais donner un petit enseignement dont l’intitulé qui lui avait été donné désignait l’époque que nous vivons comme celle d’une « culture de mort ». Certes, que dire d’autre quand on regarde les sujets qui touchent à la vie, en particulier les lois qui existent ou qui rôdent ? Il faudrait être aveugle pour ne pas voir ces forts courants politiques, culturels, économiques porteurs d’une certaine conception utilitariste de la société qui fomentent une culture réellement contraire à la solidarité et à la vie. Oui, il y a un combat où s’affrontent cultures de vie et de mort, bien et mal. Pourtant, quelque chose en moi veut résister à cette seule évocation de culture de mort pour qualifier notre temps ; mon côté rebelle veut dire NON, ce n’est pas tout.
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Communiquer des faits, des informations, passe encore, mais exprimer ses émotions ou, plus difficile encore, comprendre les émotions de son conjoint, voilà un défi de taille pour les couples ! Et un enjeu aussi.
Les conseillers conjugaux sont unanimes : la communication est un pilier du couple. Mais qu’entend-on précisément par communication ? Car il n’est pas question ici des échanges concernant le menu du dîner ou l’organisation du week-end, non. Il s’agit plutôt de l’expression sincère, vraie et réciproque, de ses émotions, de ses désirs, de ses besoins, et de la réception attentive et bienveillante que leur réserve le conjoint. Un dialogue en profondeur qui permet d’éviter bien des quiproquos conjugaux et leur lot de disputes et de frustrations. « Le premier processus à construire au sein du couple est celui de la compréhension mutuelle des émotions », souligne Marc d’Anselme, psychologue et thérapeute de couple, auteur du récent ouvrage L’amour durable (Artège).
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Né le 20 février 1888, écrivain de combat et ancien combattant, romancier spirituel et figure de la résistance, Georges Bernanos a laissé derrière lui une pléthore d’œuvres majeures.
Parmi la quarantaine d’écrits (essais, romans, théâtre et correspondance), publiés par Georges Bernanos, voici les cinq œuvres qu’il faut impérativement avoir lues.
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Le presbytère, l’église et les locaux de la paroisse Notre-Dame d'Afrique de Mazeze, dans le diocèse de Pemba (Mozambique) ont été réduits en cendres lors d’une attaque terroriste le 12 février. Le père Salvador Maria Rodrigues de Brito a heureusement pu sauver ce que l’église comptait de plus précieux : le Saint-Sacrement.
Le Mozambique se retrouve à nouveau depuis quelques jours plongé dans la violence, en particulier la région de Capo Delgado au nord du pays. Ces derniers jours, des mouvements djihadistes proches de Daech ont attaqué les populations et brûlé plusieurs écoles et églises, forçant des milliers de personnes à fuir. Alors que le pape François a appelé ce dimanche 18 février à prier pour le Mozambique, le père Salvador Maria Rodrigues de Brito, curé de la paroisse Notre-Dame d’Afrique de Mazeze, dans le diocèse de Pemba (dans la région de Capo Delgado), a raconté au micro de Radio Pax le 14 février comment les terroristes ont réduit en cendres le presbytère, l’église et les locaux de sa paroisse.
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Les "passions désordonnées" sont comme des "bêtes sauvages" qui "doivent être apprivoisées et combattues", a déclaré le pape François lors de l’Angélus du 18 février 2024, premier dimanche du carême.
Le temps du carême doit permettre à l’homme de suivre l’exemple du Christ qui a passé quarante jours dans le désert, période pendant laquelle il a été tenté par le diable, , a affirmé le pape François lors de l’Angélus du 18 février. François a rappelé que dans l’Évangile de Marc, Jésus « vivait parmi les bêtes sauvages et les anges le servaient », et a proposé une lecture symbolique de cette présence.
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