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Atteint d’une "bronchite infectieuse", le Pape a bénéficié d’un "traitement antibiotique par perfusion qui a produit les effets escomptés avec une nette amélioration de son état de santé", a assuré l’équipe médicale qui suit François à l’hôpital Gemelli de Rome, dans la soirée du 30 mars 2023.
Atteint d’une « bronchite infectieuse », le pape François a bénéficié d’un « traitement antibiotique par perfusion qui a produit les effets escomptés avec une nette amélioration de son état de santé », a indiqué dans la soirée ce jeudi 30 mars l’équipe médicale qui suit François à l’hôpital Gemelli de Rome. Le pontife de 86 ans pourrait « sortir dans les prochains jours », a-t-elle encore assuré.
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L’écrivain Xavier Patier revient sur le livre de Sonia Mabrouk, “Reconquérir le sacré”. Il comprend ce qu’elle dit quand elle déplore que la chrétienté ait refoulé le mystère qui la faisait tenir debout.
Livre étrange de Sonia Mabrouk. Si cette brillante journaliste était née dans la foi catholique, sans doute aurait-elle tenu des propos sévères sur la trahison des clercs. La mélopée joyeusement réactionnaire que les jeunes catholiques de France chantent volontiers contre la capitulation des chrétiens face aux fausses valeurs du monde, elle l’aurait entonnée avec talent. Mais Sonia Mabrouk est musulmane.
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Les dix ans de la loi Taubira sont aussi les dix ans de La Manif pour tous, dont l’ancien président de la République François Hollande ne résiste pas à se moquer. Le chroniqueur Louis Daufresne voit dans cette préférence obstinée pour l’extrémisme sociétal un mépris du social.
À silhouette débonnaire, verbe affilé. On peut être rond et tranchant à la fois. L’un peut même compenser l’autre. François Hollande le prouve — qui sait se montrer moqueur. Comme si la dent de la Rancune dominait Tulle, alors qu’elle s’élève dans le cratère du Sancy. Corrèze ou Puy-de-Dôme, c’est toujours le centre de la France, me direz-vous. Subsiste-t-il encore là-bas une certaine rouerie paysanne ? Les attaches familiales de François Hollande sont plutôt normandes et nordistes, mais passons. L’ancien président de la République parlait donc à la télé. Pas comme Emmanuel Macron, engoncé dans de longues allocutions. Non, par petites touches, sur le mode de la confidence, en costard mais sur fond noir, niché dans un clair-obscur soigné.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer du désappointement à la prudence.
Le désappointement est une déception, une déconvenue. C’est être trompé dans ses espérances, blessé dans sa confiance. A la croisée de la tristesse et de la surprise, c’est l’état de celui qui n’a pas eu ce qu’il espérait. Donc ne pas être payé de retour, puisque les « appointements » nous rétribuent. Le dépit dans l’amour, désappointement plus affectif, fait très mal. Les apôtres sont très souvent désappointés dans l’Evangile, et Nicodème, Judas, Hérode, Pilate et les disciples à la Résurrection ! Comprendre aide à rebondir et à intégrer ce qui a surpris. Prévoir est aussi un autre moyen de ne pas être désappointé.
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Après avoir communiqué sur des "examens de contrôle programmés" ce mercredi 29 mars après-midi à l'hôpital Gemelli de Rome, le Saint-Siège a indiqué que le pape François souffrait d'une « infection respiratoire » et qu'il serait hospitalisé quelques jours.
Le pape François, hospitalisé ce 29 mars 2023 à l’hôpital Gemelli de Rome, souffre d’une « infection respiratoire », a fait savoir le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège dans un communiqué publié en début de soirée. Plusieurs jours d’hospitalisation au sein de l’établissement sont prévus pour soigner le pontife de 86 ans. « Ces derniers jours, le pape François a éprouvé des difficultés à respirer » a précisé Matteo Bruni. Plus tôt dans l’après-midi, le Saint Siège évoquait pourtant « des examens de contrôle programmés ». Ces examens ont « révélé une infection respiratoire » sans lien avec le Covid.
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À l'occasion des dix ans de la première grande manifestation contre la loi autorisant le mariage aux personnes homosexuelles, le 24 mars 2023, La Manif pour Tous a décidé de changer à la fois son nom et son statut pour devenir le Syndicat de la famille.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de la haine à la gratitude.
uel sentiment violent que ce qui pousse à vouloir du mal à quelqu’un ou à se réjouir du mal qui lui arrive. Haïr, c’est tuer virtuellement, c’est ressentir de l’irritation du seul fait de son existence, et non pas à cause de ce qu’il fait, mais de ce qu’il est. On y trouve à la fois mépris, rage et colère et cette émotion détruit autant l’autre que soi-même. Plus que de l’agressivité, elle est le moteur des prises de pouvoir, du meurtre, de la guerre. Saint Paul haïssait les chrétiens au nom d’un amour de Dieu déformé. La haine est souvent le résultat d’un grand amour illusoire ou déçu.
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Ces jeunes hommes contestataires qui se font stériliser pour ne pas "faire d’enfant" n’échappent pas à la logique bourgeoise du contrôle de leur vie, constate l’écrivain Henri Quantin. S’ils changent d’avis, il leur faudra recourir à la "vasovasostomie", aux résultats très incertains.
Savez-vous ce que c’est qu’une vasovasostomie ? On l’apprend incidemment dans un article du Figaro intitulé « “Faire des enfants pour ses vieux jours, c’est nul” : ces jeunes Français qui décident de se faire stériliser ». La vasovasostomie consiste à tenter de réparer les effets provoqués par une vasectomie. Autrement dit, le but est de revenir en arrière pour rendre à nouveau fertile celui qui a voulu être stérilisé.
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Si saint Paul nous explique que corriger un frère relève de la charité fraternelle, une personne ne peut être définie par ses mauvaises actions. Comment, alors, rejeter une faute sans juger la personne qui la commet ?
« J’entendis parler d’un grand criminel qui venait d’être condamné à mort pour des crimes horribles, tout portait à croire qu’il mourrait dans l’impénitence. Je voulus à tout prix l’empêcher de tomber en enfer […]. Je dis au Bon Dieu que j’étais bien sûre qu’Il pardonnerait au pauvre malheureux Pranzini, que je le croirais même s’il ne se confessait pas et ne donnait aucune marque de repentir, tant j’avais de confiance en la miséricorde infinie de Jésus. » Thérèse n’a pas 15 ans quand Henri Pranzini est condamné à mort pour avoir été reconnu coupable d’un triple meurtre sordide, dont celui d’une enfant de neuf ans. Thérèse est exaucée : avant de monter à l’échafaud, Pranzini saisit le crucifix que lui tend l’aumônier et l’embrasse.
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Alors que la Convention citoyenne sur la fin de vie va rendre ce dimanche 2 avril ses conclusions au gouvernement, les évêques de France ont publié ce mardi 28 mars un texte fort dans lequel ils rappellent l’urgence de développer une aide active… à vivre.
Regroupant l’euthanasie et le suicide assisté, l’expression « aide active à mourir » s’est imposée ces derniers mois dans les débats et les médias au point d’en être devenue presqu’un incontournable. Alors que ce dimanche 2 avril la Convention citoyenne sur la fin de vie va rendre ses conclusions au gouvernement, les évêques de France rappellent quant à eux l’urgence de se battre pour… une aide active à vivre. Dans un document intitulé « L’aide active à vivre, un engagement de fraternité » publié ce mardi 28 mars, ils rappellent que le débat en cours sur la fin de vie doit constituer « l’occasion positive d’un progrès significatif de l’accompagnement et de la prise en charge notamment de la dépendance due au grand âge dans notre pays ».
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Si le mois de novembre est traditionnellement considéré comme le mois des défunts, le carême est aussi un temps propice pour se souvenir des personnes qui nous ont quittés.
En vertu de la communion des saints, de cette mystérieuse solidarité qui relie tous les membres de l’Église au-delà même des frontières de la mort, nous pouvons abréger la période de purification des âmes de nos proches au purgatoire. Et les âmes du purgatoire ont besoin de notre aide car comme le souligne Benoît XVI dans son encyclique Spe salvi :
« Nul ne vit seul. Nul n’est sauvé seul. Continuellement la vie des autres entre dans ma vie: en ce que je pense, dis, fais réalise. Et vice versa. Et ce qui est vrai dans nos vies terrestres, se réalise aussi dans la mort ».
Ainsi, nous sommes constamment appelés à ne pas oublier les âmes défuntes. Si le mois de novembre est considéré traditionnellement comme le mois des défunts, le carême est aussi un temps propice pour se souvenir des personnes qui nous ont quittés.
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Les mises en garde du Pape ont été ignorées en 2003. Pour l’essayiste Jean Duchesne, ces avertissements pontificaux demeurent d’actualité.
est un anniversaire qui ne justifie certainement pas des célébrations, mais il invite à se rafraîchir la mémoire et fournit aujourd’hui quelques repères : il y a vingt ans, les États-Unis et quelques alliés inconditionnels envahissaient l’Irak. Le régime de Saddam Hussein s’effondrait bientôt et le pays sombra dans un chaos qui commence seulement à se dissiper. On estime à présent que cette guerre fut une erreur et un échec. Mais en tire-t-on les leçons ?
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Les malfrats qui avaient vandalisé six églises en Ile-de-France et une autre à Grenoble en janvier 2022 ont été condamnés à des peines allant jusqu’à trois ans de prison ferme ce lundi 27 mars.
e début de l’année 2022 a été particulièrement douloureux pour les catholiques avec la profanation en à peine quelques jours d’une dizaine d’églises en France, dont six églises situées en Ile-de-France. Les responsables de ces agissements ont été condamnés ce lundi 27 mars par le tribunal de Créteil (Val-de-Marne) à des peines allant jusqu’à trois ans de prison ferme, rapporte Le Parisien.
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Le procès d’Emmanuel Abayisenga, l’incendiaire de la cathédrale de Nantes, ravagée par les flammes en juillet 2020, se tient ce mercredi 29 mars au tribunal judiciaire de Nantes. C’est également lui qui a été mis en examen et incarcéré pour le meurtre du père Olivier Maire en août 2021.
rès de trois ans après l’incendie de la cathédrale de Nantes, le 18 juillet 2020, le temps du procès est venu. Ce mercredi 29 mars, le tribunal judiciaire de Nantes doit juger Emmanuel Abayisenga, l’homme qui a reconnu lui-même en être à l’origine. Bénévole rwandais aujourd’hui âgé de 42 ans décrit comme instable psychologiquement, il était passé aux aveux une semaine après l’incendie qui a notamment détruit le grand orgue et un tableau d’Hippolyte Flandrin du XIXe siècle.
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L’année 2023 est l’année du 350e anniversaire de la mort de Molière, retourné à Dieu en 1673. Une fable tenace maintient que le comédien a été enterré excommunié. L’historien du droit Nicolas Kermabon fait litière de cette légende : sur le plan du droit canonique, il n’est pas soutenable que les comédiens contemporains de Molière étaient exclus spirituellement de l’Église.
Alors que l’on commémore cette année le 350e anniversaire de la mort de Molière (+1673), les circonstances de son enterrement, de nuit et sans pompe, avec l’autorisation de l’archevêque de Paris (après le refus du curé de Saint-Eustache de lui donner une sépulture chrétienne), font toujours parler. Elles sont souvent invoquées à l’appui de la thèse selon laquelle l’Église avait excommunié Molière et les acteurs à cette époque. On lit ainsi sur le site Wikipédia qu’au XVIIe siècle, « pour l’Église, en effet, les comédiens, qui exercent une profession infâme, sont excommuniés ».
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Quand la tentation survient, abandonnez-vous dans les bras du Père.
Le temps du carême commence chaque année par l’Évangile de la tentation de Jésus dans le désert : « Alors Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le diable. » (Mt 4,1). Quelle était l’intention du diable en tentant Jésus ? Le diable voulait abîmer la relation de Jésus avec le Père afin que Jésus cesse de lui faire confiance et cesse de l’aimer comme un fils.
Le diable est très doué pour détruire la confiance de l’homme en Dieu le Père. Pensez à ce que vous ressentez lorsque vous êtes troublé par une tentation. Vous pensez : (a) que vous avez fait quelque chose de mal ; (b) que Dieu vous punit et vous rejette ; et (c) que Dieu ne sera pas heureux tant que vous ne lui aurez pas prouvé que vous méritez son amour. Si vous succombez à tous ces discours, le diable a déjà gagné.
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- 1. La découverte de l’évolution s’oppose à la perspective fixiste comme à celle d’un univers éternel mais elle s’accorde au contraire très bien avec l’idée biblique d’un commencement et donc d’une histoire dans laquelle l’ensemble du cosmos va se déployer, au cours du temps, selon le plan de Dieu.
A l’échelle d’une vie humaine, nous ne voyons pas les êtres vivants évoluer
Il a fallu l’aide de la géologie et de la paléontologie pour comprendre que le monde changeait ainsi que les êtres vivants qui le peuplaient. L’expérience commune du monde et des vivants conduit alors à penser que Dieu a créé les espèces vivantes telles qu’elles sont aujourd’hui, selon leurs espèces. On est aussi conduit à penser que de ce fait, les espèces ne peuvent pas changer.
De plus la majorité des savants athées a longtemps été - et ce jusqu’au début du XXème siècle - acquise à l’idée d’un univers éternel, en opposition avec l’idée biblique d’un commencement dans le temps. Or un univers éternel condamné à la répétition infinie des mêmes causes produisant les mêmes effets ne peut aboutir qu’à une conception fixiste du vivant.
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'angoisse à la docilité.
Faire un passage étroit comme le jour de la naissance d’un bébé, définit bien ce qu’est l’angoisse : un resserrement de l’âme, une panique, une perte de contrôle, une ignorance devant un danger, la boule au ventre, le nœud dans la gorge, la transpiration et le souffle qui s’affole. Jésus a connu cette angoisse qui confina à la sueur de sang au Jardin des Oliviers.
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Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise, a annoncé dimanche 26 mars la tenue d’une ostension exceptionnelle de la Sainte Tunique au printemps 2025 .
Mgr Lalanne, évêque de Pontoise, a annoncé dimanche 26 mars la tenue d’une ostension exceptionnelle de la Sainte Tunique. Celle-ci aura lieu au printemps 2025 et permettra donc aux fidèles de vénérer la précieuse relique entièrement dépliée dans la basilique d’Argenteuil, où elle est conservée depuis le temps de Charlemagne. Habituellement, la tunique est conservée dans un reliquaire que les fidèles sont autorisés à approcher pour prier.
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Il vous arrive de ruminer le passé ? La prochaine fois que imaginerez comment serait la situation actuelle si vous aviez agi différemment, pensez à ce conte des trois moines et du diable.
Qui n’a jamais ressassé un événement passé ? Rien de grave, à première vue, pourtant le risque est bien souvent de tomber dans un cercle vicieux qui n’appartient plus ni au présent ni même à la réalité. C’est ce que nous explique le conte sur le diable qui a demandé aux trois moines ce qu’ils changeraient du passé. Cette courte histoire qui fait réfléchir a été publiée par le prêtre espagnol Jesús María Silva Castignani.
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