La vieillesse, ça s’apprivoise !
Vieillir fait peur, parfois. La vieillesse véhicule une image négative : celle d’une dégradation, d’une peine, d’une perte. Pourtant, il y a plusieurs raisons de la vivre comme une expérience positive et heureuse. Alors comment apprivoiser la vieillesse ? Douze réponses lumineuses des grands saints.
Qui n’a pas ressenti un jour cette angoisse paralysante de la vieillesse et de la mort ? Qui, la soixantaine passée, n’a pas constaté un jour avec inquiétude qu’il y a quelque chose qui cloche avec le genou dès que l’effort physique est un peu poussé ? Et lorsqu’on oublie de plus en plus fréquemment les titres des films ou les noms pourtant des bons amis ?
Suite de l'article sur Aleteia.
Ils ont soif de la radicalité de l’Évangile, tout simplement
Comment faire rentrer la jeunesse catholique de France dans les cases des sociologues ? Pour l’essayiste Thomas Belleil, qui vient de publier "Prêts, feu, aimez ! Plonger dans la radicalité" (Première partie), de Chartres ou de Paray-le-Monial, les pèlerins qui se préparent pour les JMJ de Lisbonne n’ont que faire des querelles de leurs anciens.
Accompagné d’un soleil radieux, le mois de mai nous a gratifié d’un vent de ferveur, soufflant sur la jeunesse catholique française. L’affluence record au traditionnel pèlerinage de Chartres, précédée d’une enquête sur le profil des jeunes JMJistes révèle que ferveur et attachement à la Tradition sont de mise dans la jeunesse chrétienne, cuvée 2023 ; pour une part, tout au moins. Devant ce constat, théologiens et sociologues de tout poil y vont de leur analyse… La jeunesse chrétienne serait-t-elle passéiste et réactionnaire ?
Suite de l'article sur Aleteia.
Nigeria : prêtre depuis quelques mois, le père Charles a été abattu
Le père Charles Onomhoale Igechi, prêtre de l'archidiocèse de Benin City, dans le sud du Nigeria, a été tué le 7 juin par des hommes armés. Jeune prêtre, il allait fêter le premier anniversaire de son sacerdoce le 13 août 2023.
Le père Charles Onomhoale Igechi, prêtre de l’archidiocèse de Benin City dans le sud du Nigeria, a été abattu par des hommes armés alors qu’il regagnait son poste de vice-principal au collège St-Michael à Ikhueniro, dans l’Etat d’Edo. Sa dépouille a été retrouvée dans une rue de Ikpoba Hill, dans le même Etat, a annoncé Mgr Augustine Akubeze, archevêque de Bénin City.
Suite de l’article sur Aleteia
La statue de saint Michel, c’est non, la Gardienne des ténèbres, c’est oui ?
La "Gardienne des ténèbres", une statue de dix mètres de haut, est en cours de fabrication à Nantes. Commandée par le festival Hellfest, celui-ci souhaite l’installer à Clisson (Loire-Atlantique). Les collectivités locales sont invitées à participer au financement de celle qui "contrôlera le passage entre notre monde et celui de l’enfer".
Existant depuis une vingtaine d’années, et avec près de 420.000 festivaliers en 2022, le succès du festival de métal Hellfest ne se dément pas, et a lieu chaque année au mois de juin dans la ville de Clisson, située à une trentaine de kilomètres de Nantes. A tel point que les organisateurs du festival songent à le développer et pourquoi pas, à proposer des animations toute l’année. C’est dans cette idée qu’ils ont lancé la fabrication d’une créature de bois et d’acier imaginée par La Machine à Nantes.
Suite de l’article sur Aleteia
Cinq exercices pour ne pas prendre les critiques trop à cœur
Comment agir sans craindre ni l'échec ni le jugement ? Comment ne plus avoir peur à l'idée du rejet ? Voici cinq exercices pour trouver sa place au milieu des autres.
« Depuis mon adolescence, j’ai beaucoup de mal à m’intégrer dans différents groupes de personnes », confie à Aleteia Laure, documentaliste parisienne de 31 ans. À l’époque, qu’il s’agisse d’un groupe de prière ou d’un cours de gym, à chaque rendez-vous, la jeune femme ressentait toujours la peur d’être rejetée. « J’ai même développé une sorte de réflexe : celui de croire qu’avant même d’avoir dit quoique ce soit, je serai déjà repérée et aussitôt rejetée. Aujourd’hui, je me suis installée à Paris pour commencer mon premier job. C’est à nouveau le même mécanisme qui se met en place. Je pense qu’il y a réellement quelque chose chez moi qui provoque un manque d’acceptation de la part des autres. Est-ce à cause de mon éducation trop « vieille école » ? Ma timidité ? Mon manque de confiance en moi ? Je ne sais pas, mais je suis coincée dans une spirale de plus en plus puissante qui me fait éviter toute rencontre possible », confie-t-elle convaincue que sans aide, elle n’y arrivera pas.
Suite de l’article sur Aleteia
Grand oral du bac : ce verset de la Bible réconfortera les grands timides
L’épreuve du grand oral du baccalauréat démarre ce lundi 19 juin. Les grands timides peuvent se tourner vers le Seigneur pour lui demander la force et le courage d’ouvrir la bouche face aux examinateurs.
Bien entendu, implorer le Seigneur n’est pas une formule magique. Réclamer son aide n’exclut pas des révisions dignes de ce nom et un travail sérieux tout au long de l’année. Néanmoins, lorsqu’un étudiant a fait tout ce qui lui était possible de faire, et qu’il reste tétanisé, à cause de sa timidité, à l’idée de devoir parler durant vingt minutes, ce verset de la Bible peut lui être d’un grand réconfort.
Suite de l’article sur Aleteia
À Kiev, l’envoyé du Pape en mission de déminage
Envoyé par le pape François en Ukraine, le cardinal Zuppi a rencontré le président Zelenski. Pour notre chroniqueur Michel Cool, cette mission de déminage illustre bien la vocation diplomatique essentielle de l’Église catholique.
Le pape François a dépêché à Kiev, les 5 et 6 juin derniers, le cardinal Matteo Zuppi pour rencontrer des acteurs humanitaires et politiques de l’Ukraine en guerre, depuis son invasion par la Russie, dans la nuit du 23 au 24 février 2022. Le point d’orgue de sa visite a été sa rencontre avec Volodymyr Zelenski. Devant l’émissaire du Pape, le président ukrainien en kaki a défendu son plan de paix, présenté comme un préalable à tout règlement négocié du conflit : celui-ci exige le retrait des troupes russes de l’Ukraine, des réparations et des poursuites judiciaires contre les chefs militaires russes. « Comme la guerre se déroule sur notre territoire, l’algorithme pour parvenir à la paix ne peut être qu’ukrainien », soutient le chef d’État. Ses échanges avec le cardinal se sont déroulés en outre dans le contexte alarmant de la destruction du barrage HPP de Kakhovka dont les deux belligérants se renvoient la responsabilité. Le président Zelenski a une nouvelle fois dénoncé les « horribles crimes de guerre » commis par la Russie.
Suite de l'article sur Aleteia.
Ces quatre mots qui résument l’Eucharistie
À l’occasion de la fête du Saint-Sacrement, célébrée cette année dimanche 11 juin, découvrez ces quatre mots qui résument le sacrifice de la messe et qui sont un excellent guide pour la vivre encore plus profondément.
La sainte Messe est une réalité si profonde et mystique que tous les livres de la terre ne seraient pas suffisants pour la décrire. Pourtant, quatre mots clés peuvent la résumer. Pendant la prière eucharistique, au moment de la consécration du pain, le prêtre dit :
« Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant : « Ceci est mon corps livré pour vous ». »
Ces mots sont donc prendre, rendre grâce, rompre et donner. Cela vaut la peine de réfléchir davantage sur ces mots pour mieux comprendre ce que l’Eucharistie dit de Jésus et ce qu’elle invite à faire. Cela vous aidera aussi à la vivre encore plus profondément.
Suite de l'article sur Aleteia.
Anne, Noémi, Raïssa… Pourquoi font-elles le pèlerinage des mères ?
Si de nombreux pèlerinages des mères de famille ont lieu toute l’année, les plus gros se déroulent ces 9, 10 et 11 juin, réunissant des milliers de femmes désireuses de confier leur famille au Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie.
Une organisation millimétrée pour anticiper ces trois jours sans « Maman » à la maison, un effort physique, des conditions souvent spartiates… Mais qu’est-ce qui peut bien pousser ces milliers de mères de famille à quitter leurs proches et leur confort pour marcher sous le soleil ou sous la pluie, durant ce mois de juin réputé pour être pourtant bien chargé ? Les réponses sont multiples et propres à chacune mais à les entendre, une vraie joie résulte de se retrouver entre femmes pour prier, marcher, partager et grandir dans sa vocation de femme, d’épouse et de mère.
Suite de l'article sur Aleteia.
Orientation : que faire si on n’a rien sur Parcoursup ?
Les résultats tant attendus viennent d’être publiés, les lycéens viennent de recevoir leur premier appel… ou pas. Certains font malheureusement face aux déceptions ou même aux refus de la plateforme. Comment réagir ?
Déception, inquiétude, peur… Les émotions ressenties par le jeune – et par ses parents – quand les résultats de Parcoursup ne sont pas concluants, peuvent être vives, jusqu’à perturber le sommeil. Que ce soit parce que le lycéen n’a pas obtenu ce qu’il souhaitait, ou parce qu’à ce stade, il n’a aucune attribution, la situation peut sembler sans issue. Que faire ?
Suite de l'article sur Aleteia.
[REPORTAGE] Joie éclatante et ferveur des pèlerins arrivant à Chartres
Point d’orgue de ces trois jours de pèlerinage, la messe pontificale de ce lundi de Pentecôte, présidée par Mgr Thomas Gullickson, archevêque et nonce émérite originaire du Dakota du Sud, et co-célébrée par Mgr Philippe Christory, évêque de Chartres. Un grand moment de ferveur et de communion.
Il n’est pas surprenant que le pèlerinage organisé par Notre-Dame de Chrétienté, qui avait pour thème cette année : « L’Eucharistie, salut des âmes », ait trouvé son point d’orgue dans la messe de clôture célébrée dans la cathédrale de Chartres en ce lundi 29 mai après-midi. Les messes précédentes, les enseignements sur l’Eucharistie, la progression spirituelle des pèlerins… Tout ceci a trouvé un écho et un accomplissement au cours de cette majestueuse célébration. La messe, célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain, a rassemblé les 16.000 pèlerins qui ont marché durant trois jours de l’église saint Sulpice à Paris jusqu’à la cathédrale de Chartres ces 27, 28 et 29 mai 2023.
Suite de l’article sur Aleteia.
Humilité, audace… Ce que Jeanne d’Arc a à dire aux jeunes
Un désir profond renaît auprès des jeunes générations : servir la France et participer à sa grandeur. Mais comment agir en tant que chrétien ? Comment concilier la sainteté et la politique ? Jeanne d’Arc, indique la voie, par cette expression devenue célèbre : "Dieu, premier servi".
Crise économique, écologique, identitaire, guerre… Les défis auxquels sont confrontées nos sociétés sont nombreux et ne pourront être relevés sans un engagement fort des jeunes générations. Mais comment un chrétien peut-il agir sans dévier du dessein ultime de sa vie : la sainteté ? Charles Péguy donne une indication « Tout commence en mystique, et tout finit en politique ». Cette phrase s’illustre dans la vie de Jeanne d’Arc. Mystique et politique ne faisaient plus qu’un pour Jeanne. Elle nous montre par sa vie queservir Dieu, c’est servir la France.
Suite de l’article sur Aleteia.
La plus grande procession eucharistique de l’histoire en préparation
C'est aux États-Unis que cela va se passer : à partir du 18 mai 2024, pendant deux mois, quatre processions eucharistiques vont partir des quatre points cardinaux des États-Unis pour former un immense signe de croix et se retrouver au 10ème Congrès Eucharistique de l'Indiana, qui aura lieu du 17 au 21 juillet 2024.
C’est à l’occasion du 10e Congrès eucharistique national qui se tiendra du 17 au 21 juillet 2024 à Indianapolis, dans l’Indiana, que quatre processions eucharistiques vont traverser les États-Unis, du Nord au Sud et d’Est en Ouest, ce qui constituera ainsi « le plus grand pèlerinage eucharistique de l’histoire », annoncent les organisateurs qui estiment que près de 100.000 pèlerins pourraient y participer.
Suite de l’article sur Aleteia.
Éducation à la sexualité : attention danger !
Depuis 2013, l’éducation à la sexualité a opéré un virage dangereux : il ne s’agit plus de prévention mais de faire découvrir les plaisirs du sexe sans tabous s’il y a "consentement". Pour l’essayiste Blanche Streb, qui est aussi mère de famille, nous sommes dans bien des cas devant un viol des consciences. Les parents ne doivent pas renoncer à leur responsabilité.
Voici une anecdote pas anecdotique, inspirée de faits malheureusement bien réels… Mercredi après-midi, jour des enfants. Une jeune maman accompagne, comme elle le fait souvent, ses bambins à la médiathèque du coin. Rien de bien original, jusque-là. Juste une mère qui s’évertue à proposer autre chose que des écrans à ses enfants. Et qui espère leur transmettre le goût de la lecture, pour les aider à grandir et aussi à vivre, au travers des mots, de belles aventures.
Suite de l’article sur Aleteia.
Décivilisation, déchristianisation ?
Tandis que les enquêtes sociologiques accusent une sévère chute du catholicisme, la violence ne cesse de progresser dans la société. Lien de cause à effet ? La civilisation chrétienne n’était pas parfaite, répond Louis Daufresne, mais elle assurait la cohésion sociale par la maîtrise des mauvais instincts.
Y a-t-il un lien de cause à effet entre déchristianisation et décivilisation ? Plus la foi reculerait, plus la barbarie avancerait. Allons plus loin : les deux termes sont-ils synonymes ? L’un serait dans les mœurs ce que l’autre serait dans les cœurs. L’intérieur déteindrait sur l’extérieur. Pourquoi ce jeu de mots croisés ? C’est l’actualité qui le veut. D’un côté, l’historien Guillaume Cuchet, enquête Insee à l’appui, pointe la chute du catholicisme « qui passe de 43 à 25%, soit une quasi-division par deux en douze ans ». De l’autre, la mort des trois jeunes policiers de Roubaix percutés par un chauffard alcoolisé et drogué amène Emmanuel Macron à dénoncer « les comportements irresponsables qui tuent ».
Suite de l’article sur Aleteia.
Trois conseils de saint Dominique pour rester debout quand l’Église nous déçoit
Aux chrétiens déboussolés par les scandales qui se succèdent dans l’Église, le frère Jacques-Benoît Rauscher, dominicain du couvent de Lyon, propose dans son livre "Quand l’Église s’effondre" (Cerf) un chemin inspiré de la vie de saint Dominique pour garder l’espérance.
Je rencontre beaucoup de personnes ces derniers temps qui sont déboussolées par les scandales qui se répètent dans l’Église. Ces personnes ne sont pas des victimes directes de méfaits commis par des prêtres ou des religieux ; elles ne sont pas non plus coupables de ce qui s’est passé. Mais leur foi est ébranlée par ces événements. Et il y a de quoi ! J’avoue que je n’ai pas toujours les mots pour les aider. J’avoue que, moi non plus, je ne sors pas indemne des sinistres actualités qui mettent en avant la perversité de personnes qui avaient donné leur vie à l’Église.
Suite de l’article sur Aleteia.
Les fruits insoupçonnés du pèlerinage de Chartres
La messe de clôture du pèlerinage de Chartres, le lundi de Pentecôte, ne marque pas pour autant la fin du "pélé". Ce dernier continue à porter du fruit au-delà des frontières, à travers les pèlerinages qu’il inspire à l'étranger, mais aussi dans le cœur de milliers de pèlerins, touchés voire bouleversés par ces rencontres avec soi-même, avec d’autres, et avec le Seigneur.
En ce week-end de Pentecôte, 16.000 pèlerins marchent de Paris à Chartres dans le cadre du pèlerinage annuel organisé par Notre-Dame de Chrétienté. Une affluence record cette année qui a contraint les organisateurs à clôturer les inscriptions quelques jours avant le départ. Si l’association Notre-Dame de Chrétienté a fêté ses 40 ans l’année dernière, la tradition des pèlerinages vers Chartres ne date pas d’hier. Le rayonnement de Notre-Dame de Chartres remonte à l’an 876, date à laquelle le roi Charles le Chauve, petit-fils de Charlemagne, offre à la cathédrale l’une des plus précieuses reliques mariales : le voile de la Vierge, exposé désormais dans une chapelle du déambulatoire. Le pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté s’inscrit dans cette longue tradition de dévotion mariale, et continue à porter des fruits spirituels insoupçonnés, en France comme à l’étranger.
Suite de l'article sur Aleteia.
En ce temps de Pentecôte, entrons dans le rêve de Dieu
Depuis l’origine, le génie de l’homme rêve devant les merveilles infinies de la Création. En rêvant ainsi, observe le père Benoist de Sinety, curé de la paroisse Saint-Eubert de Lille, l’homme partage le rêve de Dieu, un rêve de création toujours renouvelée dans l’amour incarné.
Des pêcheurs d’éponges qui naviguent, au printemps 1900, le long de la côte d’Anticythère, une île grecque au sud du Péloponnèse. L’un des plongeurs, brandissant une main de bronze pêchée sur place, dira qu’il a vu des corps nus et des chevaux au fond de l’eau. Le monde découvrira qu’il s’agit en fait d’une épave romaine coulée en 86 avant Jésus Christ, à l’époque où l’Empire dévastait les dernières cités grecques et les pillait de leurs trésors. L’embarcation faisait route vers la Ville avec, à son bord, quelques chefs d’œuvre comme cet Éphèbe d’Anticythère attribué à Lysippe et conservé au Musée national archéologique d’Athènes.
Suite de l'article sur Aleteia.
Connaissez-vous les différents noms de l’Esprit saint ?
Paraclet, huile de joie, Esprit de la grâce... Il existe plusieurs noms pour décrire le Saint-Esprit et son action.
Saint-Esprit, c’est sous ce terme qu’est désignée la troisième personne de la Trinité. Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu qui désigne l’Esprit est « ruah », un terme qui signifie souffle. L’Esprit saint est aussi connu sous de nombreux autres noms : Esprit du Père, Esprit du créateur, Saint-Esprit de Dieu… Sans oublier, les noms des sept dons de l’Esprit saint formalisés par saint Thomas d’Aquin, comme Esprit de sagesse ou de force. Mais il existent d’autres noms peu connus pour désigner le Saint-Esprit. En voici une petite liste :
Suite de l’article sur Aleteia.
Ecoutez le curé de Cucugnan, il va vous convaincre de vous confesser
Vous éprouvez des difficultés avec la confession ? Le "Curé de Cucugnan", incarné par l'acteur Fernand Sardou dans le film de Marcel Pagnol, vous fera peut-être changer d'avis...
« Il y en a qui disent : “J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner.” C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et Elle n’en a point : Elle est infinie. » Ainsi parlait le saint Curé d’Ars, celui qui pouvait confesser des heures durant au point d’en oublier de se nourrir et de dormir. Si la miséricorde de Dieu est bien infinie, nombreux sont ceux qui peinent à en faire l’expérience à travers la confession, qui pourrait bien être le plus mal-aimé des sacrements. À tort ! Nous crie presque Fernand Sardou, alias le curé de Cucugnan, dans le film de Marcel Pagnol. Réalisé en 1968 et intégralement en noir et blanc, il est le résultat de l’adaptation au cinéma de l’œuvre d’Alphonse Daudet, « Lettres de mon moulin ».
Suite de l’article sur Aleteia.
Notre-Dame : les premières travées de la charpente montées à blanc
Une nouvelle étape de franchie pour Notre-Dame. Jeudi 25 mai, les premières travées de sa belle charpente en chêne massif ont été totalement montées à blanc. Il s’agit d’un ouvrage exceptionnel, d’une longueur de 32 mètres, de 14 mètres de largeur et de 10 mètres de hauteur. Les charpentiers mobilisés ont utilisé, au cours de ce chantier, en grande partie des outils manuels et ont suivi le dessin initial de cet ouvrage, basé sur un modèle médiéval.
Suite de l’article sur Aleteia.
Vous avez dit « décivilisation » ?
La décivilisation est à nos portes, mais à qui la faute ? De toutes les violences dont se plaint le président de la République, c’est bien celle de la morale libertaire de la déconstruction qui est responsable, estime l’écrivain Xavier Patier.
Illibéralisme, déconstruction, ensauvagement, incivilités, disruption, et maintenant « décivilisation »: on peut dire qu’à défaut d’avoir apporté le bonheur aux Français, Emmanuel Macron aura inlassablement contribué à enrichir leur vocabulaire. Lors du conseil des ministres du 24 mai, il a déclaré, selon la presse : « Depuis un certain temps et dans l’ensemble des pays, il y a une forme décivilisation. »
Suite de l’article sur Aleteia.
Quels sont les freins à la venue de l’Esprit saint ?
Pour se préparer à la Pentecôte, célébrée ce dimanche 28 mai, Aleteia a interrogé le père Gaultier de Chaillé pour identifier les possibles freins à l’action de l’Esprit saint dans notre vie. Curé de Villepreux-Les Clayes (Yvelines), il est auteur du livre Les dons de l’Esprit Saint (Mame). Quels sont alors ces grands obstacles qui peuvent empêcher l’action du Saint-Esprit ?
Suite de l'article sur Aleteia.
Ces encombrants martyrs de la Commune
Les martyrs de la Commune sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai 2023. Leur béatification n’aura pas été un long fleuve tranquille. C’est que les massacrés de 1871, à commencer par l’archevêque de Paris, n’avaient pas que des amis, y compris au sein de l’Église, et qu’il ne fallait pas désespérer Billancourt…
Cinq prêtres martyrs sous la Commune, tués en haine de la foi le 26 mai 1871 lors du massacre de la rue Haxo, ont été béatifiés samedi 22 avril en l’église Saint-Sulpice à Paris. S’ils sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai, leur béatification n’a pourtant pas été un long fleuve tranquille.
Lorsque, en juillet 1870, Mgr Georges Darboy, archevêque de Paris, prétextant l’entrée en guerre de la France contre la Prusse, quitte hâtivement Rome et une aula conciliaire surchauffée, tant en raison de la canicule qui pèse sur la Ville que des tensions entre partisans et opposants du dogme de l’infaillibilité pontificale, il ne peut deviner qu’il ne lui reste pas un an à vivre. Ni non plus qu’il périra victime des haines révolutionnaires contre l’Église, encore moins que le Vatican lui contestera alors la palme du martyre.
Suite de l'article sur Aleteia.
Le retour de la Syrie dans le concert des nations
Douze ans après en avoir été chassée, la Syrie a réintégré la Ligue arabe, marquant son retour sur la scène diplomatique. Pour la France, estime le géopoliticien Jean-Baptiste Noé, cette victoire de Bachar al-Assad rend nécessaire de réajuster sa diplomatie.
Il y a douze ans, au moment des révoltes en Syrie, de leur répression et du glissement vers la guerre, nombreux étaient les ministres et les diplomates européens à assurer que Bachar al-Assad n’en avait plus que pour quelques semaines de pouvoir. Douze ans après, il est toujours en poste à Damas, tient le pays et opère la réintégration de son pays dans un grand nombre de cénacles diplomatiques.
Suite de l'article sur Aleteia.
Fin de vie : le programme déjà « ficelé » du gouvernement
Ministre déléguée chargée des Professions de santé, Agnès Firmin-Le Bodo a présenté les contours du futur projet de loi sur la fin de vie et "l’aide active à mourir". Si elle met en avant un processus de "co-construction" inédit avec les parlementaires et les soignants, plusieurs groupes et associations dénoncent un projet "déjà ficelé" par le gouvernement.
Les contours de la future loi sur la fin de vie, dont la légalisation de l’aide active à mourir, se précisent. Dans un entretien accordé au JDD publié dimanche 21 mai, Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée des Professions de santé chargée de porter le projet de loi sur la fin de vie qui « sera coconstruit d’ici la fin de l’été » selon le souhait d’Emmanuel Macron a partagé son souhait d’assurer « une traçabilité de A à Z ». Car c’est bien elle qui défendra le texte du gouvernement devant les parlementaires et non François Braun, ministre de la Santé. Agnès Firmin-Le Bodo s’était déclaré favorable à titre personnel à l’aide active à mourir tandis que son collègue avait émis des réserves. Le texte portera sur trois thèmes : l’aide active à mourir (suicide assisté et/ou euthanasie), les droits des patients et les soins palliatifs.
Suite de l'article sur Aleteia.
Érythrée : une centaine d’étudiants chrétiens arrêtés lors d’un raid
Plus de cent étudiants érythréens de confession chrétienne ont été arrêtés au cours d'un raid policier début avril. Ils ont été emprisonnés dans une prison réputée pour ses terribles conditions de détention.
103 Érythréens chrétiens, majoritairement étudiants, ont été arrêtés à Asmara, la capitale, lors d’un raid policier au début du mois d’avril, selon l’ONG Release International. Ces derniers se seraient rassemblés pour un temps de prière et auraient enregistré des vidéos destinées aux réseaux sociaux. Ils ont été emmenés à la prison de Mai Serwa, qui détient en son sein plus de 500 prisonniers chrétiens dont la plupart n’ont jamais été jugés. Mai Serwa est tristement connue pour sa surpopulation carcérale et les traitements inhumains infligés aux détenus.
Suite de l'article sur Aleteia.
Cinq étages pour atteindre le Ciel selon sainte Thérèse de Lisieux
Comment atteindre le Ciel ? Pour Thérèse de Lisieux, dont l'Eglise fête ce 29 avril le 100e anniversaire de sa béatification, rien de mieux que de prendre directement l'"ascenseur spirituel." Voici les cinq étages à monter.
Chez Thérèse de Lisieux, tout est finalement un peu à l’envers. Alors que la vision traditionnelle de la sainteté est comparée à l’ascension d’une montagne bien escarpée, la petite Thérèse a eu l’intuition d’atteindre le Ciel d’une manière opposée : au lieu de gravir les marches du « rude escalier de la perfection », elle veut prendre… l’ascenseur. Rien d’étonnant : c’est à son époque que l’ascenseur apparaît comme une invention technologique qui fait rêver tout le monde :
« Je veux chercher le moyen d’aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle. Nous sommes dans un siècle d’inventions, maintenant ce n’est plus la peine de gravir les marches d’un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement. Moi, je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m’élever jusqu’à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection.
Suite de l'article sur Aleteia.
29 avril 1923, le jour où Thérèse de Lisieux a été béatifiée
C’était il y a cent ans jour pour jour. Le 29 avril 1923, la basilique Saint-Pierre resplendit de la gloire de la petite Thérèse de l’Enfant Jésus, proclamée bienheureuse. L’Église et le monde sont en fête. Récit d’une journée pleine de grâces et de surprises.
Fait assez exceptionnel pour l’époque, il se sera écoulé à peine un quart de siècle entre la mort à Lisieux de sœur Thérèse de l’Enfant Jésus, petite carmélite inconnue, le 30 septembre 1897, et sa béatification, en 1923, alors qu’elle est devenue mondialement célèbre. Préparées, attendues, les cérémonies qui se dérouleront à Saint-Pierre de Rome le 29 avril 1923, marqueront les esprits comme un très grand triomphe, en même temps qu’une célébration du catholicisme français, au terme du long refroidissement entre la IIIe République laïcarde et le Vatican.
Suite de l'article sur Aleteia.
Comment sainte Catherine de Sienne a réformé l’Église
Quand il est difficile d’aimer son Église, quand la réforme dans l’Église paraît impossible, un guide sûr nous est donné avec sainte Catherine de Sienne (1347-1380). En pleine crise, avec une folle liberté de ton et un infini respect, elle s’est employée à sanctifier chacun à sa place, et si elle ose réprimander les clercs dans l’erreur, c’est pour fortifier leur autorité, pas pour diluer leur ministère.
Dans une de ses lettres, sainte Catherine de Sienne écrit : « Oui, nous devons nous passionner pour la sainte Église, par amour de Jésus crucifié » (Lettre à la reine de Hongrie, 145). Voilà qui sonne aujourd’hui comme une provocation ! On veut bien à la rigueur aimer Jésus, d’ailleurs plutôt ressuscité que crucifié — ça fait moins peur —, mais de là à se passionner, à cause de Jésus, pour l’Église qualifiée de sainte, là on ne suit plus. Peut-on vraiment l’aimer cette Église dont la vie est rythmée par les scandales et les abus, dont la médiocrité des clercs est imitée souvent par celle des fidèles, et qui ne sait plus annoncer le Christ ressuscité à un monde qui la rejette violemment ou s’éloigne d’elle dans un silence indifférent ? Jésus, d’accord, l’Église, non ! Pourtant, Catherine l’a perçu plus que quiconque, l’amour de Jésus jusqu’à la Croix exige de se passionner pour l’Église. Car comme elle l’écrit dans une autre lettre : « L’Église, c’est la même chose que le Christ » (Lettre à Nicolas Soderini, 53). Parce que l’Église est à la fois corps mystique du Christ et épouse du Christ selon saint Paul, on ne saurait aimer ni servir le Christ sans aimer et servir l’Église. Pour comprendre cet amour inconditionnel de l’Église chez Catherine, il faut se pencher un peu sur son itinéraire.
Suite de l'article sur Aleteia.
Les anges en verre de Reims, surprenants chefs-d’œuvre de Lalique
Le monde entier connaît l’ange au sourire de la cathédrale de Reims. Et pourtant la capitale champenoise peut se targuer de posséder un autre trésor : les trente anges que René Lalique a créés pour l’église Saint-Nicaise, au cœur de l'étonnante cité-jardin du Chemin Vert. Ils confèrent à ce sanctuaire une atmosphère toute particulière.
À Reims se trouve une église qui, si elle n’accueille évidemment pas autant de visiteurs que la cathédrale, recèle elle aussi de nombreux trésors. Au centre du quartier du Chemin Vert, à la périphérie de la ville, se dresse l’étonnante église Saint-Nicaise. Si l’extérieur de style romano-byzantin est simple, c’est la richesse de ses décors qui la distingue : son aménagement intérieur a été réalisé par quelques-uns des plus grands artistes et décorateurs de l’époque de sa construction, dans les années 1920. Le peintre Maurice Denis a ainsi conçu le baptistère, surmonté de versets bibliques et entouré d’un décor représentant des paysages fluviaux. Roger de Villiers a créé quant à lui la plus grande partie du statuaire dont une remarquable Sainte Famille ainsi que Saint Nicaise, patron et fondateur du diocèse de Reims à qui l’église est consacrée.
Suite de l'article sur Aleteia.
En Hongrie, un pape debout pour la paix
C’est un pape certes fatigué, au souffle parfois court, mais solidement debout qui a entamé la première journée de son voyage en Hongrie, où il est arrivé ce matin, 28 avril. Au cœur de son message adressé à l’Europe : la paix dans l'Ukraine voisine.
Par Anna Kurian, envoyée spécial en Hongrie. De nombreuses questions ont été soulevées autour de la santé de François ces derniers temps. Depuis un an, le pape de 86 ans souffrant du genou se déplace la plupart du temps en fauteuil roulant ou en déambulateur. Une réduction de mobilité qui a demandé des aménagements lors des sorties, des célébrations et des voyages. Et fin mars, François a été hospitalisé trois jours à l’hôpital Gemelli de Rome, officiellement pour une bronchite. Les rumeurs étaient allées bon train autour de cette hospitalisation dont le Saint-Siège avait cherché en un premier temps à relativiser la gravité.
Suite de l'article sur Aleteia.
« La crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu »
Dans son dernier essai, “Dieu, après la peur” (Salvator), le philosophe Martin Steffens présente la crainte de Dieu, ce don du Saint-Esprit mal compris. Il explique à Aleteia comment la crainte chrétienne nous libère de la peur en acceptant de nous laisser surprendre dans la rencontre avec Dieu.
Le don du Saint-Esprit de la crainte de Dieu ne signifie pas avoir peur de Dieu. Au contraire, explique Martin Steffens, cette crainte est un désir, le désir d’une rencontre qui nous enseigne que tout nous est donné, que nous ne possédons rien, que rien n’est absolument de notre fait. C’est ainsi que la crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu.
Aleteia : Au premier abord, on peut croire que vous allez nous parler de Dieu tel qu’il ne faut plus le craindre, dans la lignée de livres comme Nous irons tous au Paradis, plein d’un optimisme chrétien…
Martin Steffens : Il n’y a pas d’optimisme chrétien, mais seulement une espérance chrétienne. Laquelle, en effet, nous libère de toutes nos peurs, même de la peur de Dieu.
Suite de l'article sur Aleteia.
Béatification des cinq prêtres martyrs de la Commune, une joie palpable
La béatification de cinq prêtres tués sous la Commune le 26 mai 1871 s’est déroulée ce samedi 22 avril à l’église Saint Sulpice, à Paris, présidée par le Cardinal Marcello Semeraro, préfet du dicastère des causes des saints. Une célébration majestueuse, portée par la prière des fidèles et des nombreux prêtres présents, sous le signe de la joie.
Si une béatification est toujours une fête pour le Peuple de Dieu, la joie était d’autant plus palpable en ce samedi 22 avril à Saint Sulpice que cela faisait plusieurs décennies que les ordres auxquels appartenaient les cinq prêtres tués sous la Commune attendaient la reconnaissance de leur martyre. Environ 2.500 personnes se sont rassemblées dans la plus grande église de Paris. L’occasion était rare : cinq prêtres français, tués en haine de la foi par des partisans de la Commune de Paris le 26 mai 1871, ont été proclamés bienheureux. Des noms méconnus de la plupart des fidèles, mais dont la béatification permet désormais de rendre le culte public. Il s’agit du père Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, ainsi que des pères Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, tous les quatre religieux picpuciens.
Suite de l'article sur Aleteia.
Les martyrs de la Commune, une béatification qui oblige
En béatifiant cinq prêtres massacrés "en haine de la foi", l’Église ne cherche pas la polémique avec les défenseurs de la Commune de Paris. Sa démarche est tout sauf politique, souligne notre chroniqueur, c’est un devoir de justice et de vérité.
Ce samedi 22 avril, l’Église catholique béatifie cinq ecclésiastiques martyrisés pendant la Commune. Citons-les : Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, quatre religieux picpuciens. Pour l’occasion, le Vatican envoie une de ses huiles sur le feu des passions françaises : Mgr Marcello Semeraro, préfet du dicastère pour la cause des saints. Le cardinal se déplace en personne pour célébrer la messe à Saint-Sulpice, la plus grande église de Paris. Gageons que des black blocs ne viennent pas gâcher la fête pour faire battre en retraite les Versaillais qui votent Emmanuel Macron et leurs suppôts calotins. Pourtant, sur ce dossier, le Saint-Siège a tout fait pour la jouer prudente car les maux gisent dans les mots : officiellement, l’Église va honorer les prêtres martyrs « de 1871 » et non « de la Commune », à l’image des martyrs « de septembre » (1792) préféré à ceux « de la Révolution française ». Dater plutôt que nommer. Comment interpréter ce jeu de cache-cache sémantique ? Hasardons-nous à quelques pistes.
Suite de l'article sur Aleteia.
« À mort les calotins ! », le massacre des otages de la rue Haxo
Après l’exécution de Mgr Darboy et de ses cinq compagnons, la Commune de Paris est emportée par sa folie meurtrière. Ce seront les tueries des 25 et 26 mai avenue d’Italie et rue Haxo, où meurent dans la confusion mais dignement seize autres prêtres et religieux, avec une quarantaine d’otages. (3/3)
Dans quelques jours, les troupes versaillaises auront repris Paris. Adolphe Thiers avait eu la possibilité de sauver l’archevêque de Paris et 74 autres otages avec lui en les échangeant contre Auguste Blanqui, mais s’en était bien gardé. Il fera donner à Mgr Darboy des obsèques nationales solennelles. Pour l’heure, l’annonce de l’assassinat de l’archevêque est pain bénit. Maintenant, les Communards n’ont plus de pitié à attendre ; ils sont tous voués à la mort, les vrais coupables comme les innocents, les idéalistes comme les assassins.
Suite de l'article sur Aleteia.
Frat de Lourdes : ce tube que 10.000 lycéens n’oublieront jamais
"N'aie pas peur Il est là, Ohoh lalalalalala" ! Assurément ce refrain entêtant va être repris par près de 10.000 lycéens qui se retrouvent enfin à Lourdes à partir de ce dimanche pour le Frat 2023.
Ce dimanche 23 avril, c’est le grand retour du Frat à Lourdes ! Après les années d’annulation à cause du Covid, près de 10.000 lycéens sont attendus du 23 au 28 avril dans la cité mariale pour vivre une semaine exceptionnelle de foi, de partage et de prières. Ils pourront, entre autres, rencontrer quelques personnalités qui ont marqué l’année catho, comme le comédien Mehdi Djaadi, auteur de Coming out, ou encore sœur Catherine, la religieuse qui apparaît dans le dernier film de Gad Elmaleh, Reste un peu.
Suite de l'article sur Aleteia.
La paix par les plaies
Un jour, un homme ne s’est pas vengé, et l’histoire s’est retournée. Ainsi naquit le règne de la Miséricorde, raconte le père Luc de Bellescize, montrant que la rédemption est plus forte que le mal.
« Quel est ton nom ? demande l’empereur de Rome dans le film Gladiator de Ridley Scott, tu as bien un nom tout de même ? — Mon nom est Gladiateur, dit “l’Espagnol” en se retournant. — Comment oses-tu me tourner le dos, esclave ! Tu vas retirer ton casque et me dire comment tu te nommes. » Alors l’ancien officier fait face à son ennemi :
Mon nom est Maximus Desimus Meridius, commandant en chef des armées du Nord, général des légions Félix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurèle. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassinée, mais j’aurais ma vengeance dans cette vie ou dans l’autre.
Suite de l'article sur Aleteia.
Pourquoi Jésus disparaît-il lors du repas à Emmaüs ?
En disparaissant aux yeux de ses disciples dans l’auberge d’Emmaüs, Jésus ressuscité leur révèle que la charité qui fut la sienne durant sa vie terrestre, agit désormais en eux.
« Reste avec nous car le soir tombe… » disent les disciples d’Emmaüs à leur compagnon de route en qui ils n’ont pas encore reconnu Jésus(Lc 24,29). Nous, chrétiens du XXIe siècle, savons que c’est le Christ qui cheminait avec eux. Connaissant le fin mot du récit, pouvons-nous encore faire nôtre l’invitation des deux pèlerins : « Reste avec nous car le soir tombe » ? Le cri du cœur des compagnons de route du Ressuscité est-il toujours d’actualité ? Certainement, car quand le « soir tombe », c’est-à-dire quand les ténèbres commencent à gagner sur la lumière, souvent nous sommes découragés, voire déprimés. La foi ne nous prémunit pas toujours contre le moral en berne, l’abattement. Aussi est-ce dans ces moments de trou d’air spirituel et moral qu’il est recommandé de se souvenir du récit évangélique du soir du jour de Pâques, et surtout de reprendre à son compte, du fond du cœur, les propos pressants des deux disciples : « Reste avec nous car le soir tombe. »
Suite de l'article sur Aleteia.
Modification de l'horaire des messes
La messe prévue à Vaumeilh dimanche 30 avril est reportée au dimanche 14 mai , la fête du village ayant été déplacée à cette date .
Le dimanche 30 avril , la messe aura donc lieu à La motte du Caire ( 11h ) .
Page 20 sur 24