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Bonjour à toutes et à tous, |
Voici trois nouvelles propositions en novembre et décembre |
au Bartèu, que je vous partage, |
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Durant la Grande Guerre, une mystique poitevine qui se fera l’apôtre de la messe perpétuelle, rencontre le président du Conseil, Raymond Poincaré, pour lui demander de faire figurer le Sacré-Cœur sur le drapeau français. Malgré le refus des autorités et le silence de l’Église sur cette demande, des centaines de milliers d’insignes du Sacré-Cœur circuleront dans les tranchées.
En ce début d’année 1917, alors que la situation sur le front est mauvaise, une jeune paysanne vendéenne, Claire Ferchaud, écrit au président du Conseil, Raymond Poincaré, se présentant comme la messagère du Sacré-Cœur de Jésus. Née à Loublande en 1896, sur la paroisse de la cité montfortaine de Saint-Laurent-sur-Sèvre, dans une famille pieuse, Claire a, très jeune, dit bénéficier de visions et locutions intérieures de Notre-Dame et du Christ, qu’elle voit d’abord sous les traits de l’Enfant Jésus et qui grandit en même temps qu’elle, lui apparaissant désormais sous les traits d’un jeune homme. Ces visions et messages s’amplifient depuis 1916.
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Pendant la Grande Guerre, la dévotion au Sacré-Cœur a pris une dimension particulière en France. En raison des tourments liés à la guerre, les catholiques de France cherchent refuge et consolation auprès de lui et de ses promesses.
La dévotion au Sacré-Cœur prend sa source le Jeudi saint, pendant la Cène, quand Jean repose sa tête sur le cœur du Christ. Quelque heure plus tard, l’apôtre voit ce divin cœur transpercé par la lance du soldat romain, le sang et l’eau en jaillir. Présente depuis les origines du christianisme, cette dévotion s’épanouit progressivement pendant le Moyen Âge. Mais c’est sainte Marguerite-Marie, à Paray-le-Monial, qui devient, au XVIIe siècle, la grande missionnaire du Cœur Sacré de Jésus.
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Tous deux prêtres, Joseph et Loys Roux ont été aumôniers et infirmiers pendant la Première Guerre mondiale. Leur précieux témoignage, notamment grâce à leurs photographies recensées par l'Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense, permet de rendre compte du rôle essentiel joué par les prêtres dans la tourmente des combats.
« La guerre […] Je vois des ruines, de la boue, des files d’hommes fourbus, des bistrots où l’on se bat pour des litres de vin, des gendarmes aux aguets, des troncs d’arbres déchiquetés et des croix de bois, des croix, des croix », scandait Roland Dorgelès, écrivain engagé volontaire dans les tranchées de 14-18. Ces croix, Loys et Joseph Roux ont dû en planter en nombre, eux qui étaient aumôniers et infirmiers dans l’armée française. De la sanglante bataille de la Somme au triste Chemin des Dames en passant par l’enfer de Verdun, ces deux frères, unis par le lien du sang et de la vocation sacerdotale, sont devenus dès leur engagement des témoins majeurs de la Première Guerre mondiale.
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Depuis la rentrée, KTO a retransmis de nombreux grands évènements et lancé sa nouvelle radio pour répandre l'annonce de l'Evangile et porter un autre regard sur notre monde : une nouvelle voix pour l'Esperance.
Nous souhaitons que cet outil, disponible sur le réseau DAB+ en France, et partout dans le monde par internet, donne l'occasion au plus grand nombre d'entendre la Bonne Nouvelle !
KTO a relevé ce défi, comme il y a 24 ans pour la télévision, et depuis lors sur de nombreux réseaux numériques : nous n'aurions pas pu réaliser ce projet sans vous !
C'est l'ADN de KTO qui se trouve mis à la disposition d'un public encore plus large avec ce nouveau mode de diffusion. Après un investissement initial de 150 000 euros dans les locaux et le matériel, avec 3 personnes qui sont venues renforcer l'équipe éditoriale et technique, la radio est désormais lancée et le réseau DAB+ national déploie progressivement sa couverture en France.
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Avec le succès mondial de la série The Chosen, la plateforme de diffusion et de production américaine Angel Studios est en pleine expansion. Mais ce n’est pas la seule aventure cinématographique dans laquelle elle se lance. Voici les autres projets qu’Angel Studios a actuellement dans ses cartons.
Angel Studios diffuse sur sa plateforme depuis vendredi 10 novembre son nouveau grand projet, « Young David », une série d’animation de cinq épisodes sur les premières aventures d’un personnage iconique de la Bible : le roi David. Mais qu’est-ce qu’Angel Studios nous cache encore comme projets étonnants ? Alors que la plateforme grandit à vue d’œil, le studio investit aujourd’hui dans une vingtaine de projets afin de proposer un panel le plus large possible aux spectateurs.
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Bonjour à tous, Nous vous invitons à la journée OASIS au Bartèu : le vendredi 17 novembre de 9h30 à 16h
Affiche de la journée
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Avant l’entrée à l’école, la cellule familiale demeure un cocon pour l’enfant. Avec l’arrivée des premiers copains, arrivent logiquement les premières disputes, railleries et autres expériences plus négatives. Comment faire la différence entre des chamailleries d’enfants et le harcèlement scolaire ? Quelques pistes pour faire la différence.
Alors que ce jeudi 9 novembre marque la 8e journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, l’Ifop a récemment publié une enquête pour l’association Marion la main tendue sur cette réalité glaçante. Qu’il s’agisse de violences physiques, verbales ou psychologiques, le harcèlement touche les élèves concernés pendant plus d’un mois dans 16% des cas. Plus de la moitié des victimes sont élèves au collège et cette réalité touche autant les filles que les garçons. Parmi eux, 35% des élèves en situation de handicap sont concernés.
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Les évêques de France ont voté à l'issue de leur assemblée plénière le 8 novembre l’ouverture de la cause en béatification de Mgr Bienvenu de Miollis. Évêque de Digne pendant 33 ans, ce prélat réputé pour son amour des pauvres a même inspiré Victor Hugo pour écrire "Les Misérables".
Son nom vous est peut-être inconnu. Mais sans le savoir, vous avez probablement déjà entendu parler de lui. Que vous soyez féru de littérature ou que l’on vous ait forcé à lire quelques classiques à l’école, vous l’avez déjà croisé dans l’un des monuments de la littérature française. Qui a lu les Misérables de Victor Hugo se rappelle sûrement de Mgr Myriel, ce gentil prélat pauvre et charitable, qui a ouvert sa porte à Jean Valjean alors frappé d’infâmie à son retour du bagne. Ce personnage a vraiment existé. Il s’appelle Mgr Charles-François-Melchior Bienvenu de Miollis et pourrait être prochainement béatifié, comme l’a annoncé la Conférence des évêques de France le 8 novembre. À l’issue de leur assemblée plénière qui s’est achevée à Lourdes le même jour, les évêques de France ont voté l’ouverture de deux causes en béatification : celle de Mgr Bienvenu de Miollis et celle de Dom Guéranger.
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Ukraine, Terre sainte, Haut-Karabagh… Alors que les conflits qui traversent le monde semblent ne jamais finir, "Gaudium et Spes", l’une des quatre constitutions du concile Vatican II, présente un plan redoutable pour établir une paix durable.
« Je vous prie de vous arrêter, au nom de Dieu, cessez le feu ! ». Le cri du pape François a une nouvelle fois résonné avec force dimanche 5 novembre lors de l’angélus place Saint-Pierre. Tandis qu’Israël poursuit son offensive militaire dans la bande de Gaza, répliquant à l’attaque massive perpétrée par le Hamas le 7 octobre, la paix continue d’échapper inlassablement aux nations de la terre.
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De nombreuses voix chrétiennes s’élèvent pour appeler à la paix en Terre sainte, mais les chrétiens se divisent aussi à cause de cette guerre fratricide. Croyons-nous vraiment dans la promesse de la paix de Dieu, se demande l’écrivain Michel Cool.
Il faut avoir l’humilité de le reconnaître : se positionner en chrétien face à la guerre et en défenseur de la paix est sacrément difficile. Même le concept de « guerre juste » inauguré par Cicéron puis employé par l’Église catholique en cas de guerre « menée avec une intention droite » s’avère insuffisant, inefficace. Dans la mesure, en effet, où toute guerre commet des homicides, elle est par essence un homicide de masse abominable. « Tu ne tueras pas » est le sixième commandement dicté par Dieu à Moïse. La guerre, toute guerre, est donc selon cette charte morale et religieuse d’essence divine, une abomination. C’est-à-dire au sens étymologique, le comble de l’impiété et, dans une acception biblique, un mal inspirant non seulement la condamnation, mais l’horreur.
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S’exprimant sur le conflit entre Israël et le Hamas et la situation des civils dans la bande de Gaza, Emmanuel Macron a rappelé avec force le 1er novembre lors d’une visite au Kazakhstan : "Toutes les vies comptent dans ce monde". Des propos qui interpellent alors que le président a promis un texte ouvrant le droit à l’euthanasie en France dans les prochains mois.
Les propos tenus par Emmanuel Macron au Kazakhstan le 1er novembre sur la valeur inestimable de la vie n’ont pas fait grand bruit. Ils ont pourtant de quoi surprendre. Lors d’une rencontre avec des étudiants kazakhstanais à Astana, Emmanuel Macron a affirmé détester le débat distinguant la valeur des vies juives et des vies palestiniennes et a appelé à protéger d’abord les civils à Gaza. Avant d’enchaîner : « Toutes les vies comptent dans ce monde. » Et d’appeler à défendre cette vie sans distinction d’origine. Des propos avec lesquels il est difficile d’être en désaccord. Oui, la vie est sacrée, elle est un don précieux qui doit être défendue et préservée.
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En cherchant à entraîner Israël dans la mécanique du massacre des innocents, le Hamas cherche à détruire l’âme du peuple israélien. Seule la voie du pardon peut vaincre le mystère du mal.
La Terre Sainte est à nouveau meurtrie. Une nouvelle guerre entre Israël et le Hamas ensanglante le Levant. Le 7 octobre dernier, le Hamas a lancé une effroyable attaque contre Israël. Une attaque contre des civils, dans des villes et des kibboutz près de Gaza. La violence de ces assauts a choqué le monde entier. 1400 morts dont beaucoup d’enfants, des bébés, des femmes enceintes, des vieillards, tous tués dans des conditions épouvantables. Au-delà de la lâcheté incroyable de ces hommes armés qui s’en sont pris à des personnes sans moyen de se défendre, c’est la cruauté, le sadisme, du Hamas contre ses victimes qui provoque une colère immense en Israël et dans le monde.
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En famille, entre amis ou au travail, comment apprendre à écouter l’autre attentivement ? Comment lui accorder toute son attention ? Témoignages, conseils et exercices pour maîtriser l’art de l’écoute, le plus beau cadeau qu’on puisse offrir à quelqu’un.
« Tu m’écoutes ? », « Je l’ai déjà dit cent fois », « C’est sans intérêt ce que je raconte ? Alors pourquoi tu ne m’écoutes pas ? » Qui n’a pas entendu (ou lancé) un jour ce genre de reproche ? Pourtant, toute personne rêve d’être écoutée avec attention. Un art perdu, semble-t-il, dans un monde plein de sons et de bruits et marqué, en plus, par la peur du silence… C’est en tout cas le constat de Kate Murphy, auteur de Tendez l’oreille (Éditions JC Lattès) qui s’était lancée il y a quelques années dans une enquête sur cet art laissé à l’abandon. Alors qu’en moyenne, nous sommes capables de dire 125 mots en une minute (!), pourquoi prêter l’oreille avec attention à l’autre paraît, pour certains, mission impossible ?
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En charge de la paroisse de Sarcelles (Val-d'Oise) depuis 2019, la communauté Saint-Martin y a ouvert un patronage qui connaît un essor grandissant et fait se côtoyer catholiques, protestants, musulmans et juifs. Une bouffée d’air frais, voire qui sait un modèle d’avenir ?
Vous êtes de ceux pour qui les patronages évoquent les années 1950, l’école communale, les blouses maculées d’encre et les photos sépia ? Vous avez tout faux ! Car depuis l’entrée dans le nouveau millénaire, ces derniers renaissent de leurs cendres : il y en aurait environ 150 aujourd’hui en France contre 40 il y a 25 ans. La Communauté Saint-Martin n’est pas étrangère à ce renouveau. Elle en a fondé une quinzaine dans les paroisses où elle est implantée.
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Dans la bande de Gaza, neuf enfants orthodoxes ont reçu le baptême dimanche 29 octobre dans l'église Saint-Porphyre, alors que se poursuivent les raids de l'armée israélienne.
Alors que la bande de Gaza est toujours en proie aux bombardements israéliens, les chrétiens qui vivent dans cette enclave palestinienne se sont réfugiés dans leurs églises. Au milieu des décombres et dans le chaos, la communauté chrétienne gazaouie prouve une fois de plus sa résilience et semble plus que jamais incarner l’espérance en se tournant vers le Christ. Après le petit Daniel dans la paroisse catholique de la Sainte-Famille, ce sont neuf enfants orthodoxes qui ont reçu le baptême, dimanche 29 octobre. Un sacrement joyeux dont la célébration s’est toutefois teintée d’un sentiment d’urgence.
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Diplomate de trois papes, penseur du dialogue inter-religieux, le cardinal Jean-Louis Tauran a posé les bases d’une doctrine qui sert aujourd'hui le Saint-Siège dans son action face à la guerre à Gaza. Le prélat français avait cerné avec finesse les défis et les impasses du dialogue avec l’islam, rappelle le géopoliticien Jean-Baptiste Noé.
Peu connu du grand public, le cardinal français Jean-Louis Tauran (1943-2018) fut l’un des piliers de la diplomatie pontificale qu’il servit sous trois papes, de Jean Paul II à François. Comme président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, il affronta la question de l’islam, rencontra de nombreux dirigeants musulmans, définissant un mode d’action, une « doctrine Tauran », largement repris par Benoît XVI et François. Cette doctrine repose notamment sur le dialogue essentiel entre chrétiens et musulmans, un dialogue qui est souvent incompris.
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Le véritable amour allie la passion du sentiment et l’engagement de la raison. C’est en aimant Dieu, source de tout amour, que l’amour se construit et s’unifie, explique le père Luc de Bellescize.
« Passez notre amour à la machine / Faites-le bouillir / Pour voir si les couleurs d’origine / Peuvent rev’nir / Est-ce qu’on peut ravoir à l’eau d’javel / Des sentiments / La blancheur qu’on croyait éternelle / Avant » (Alain Souchon). Le clip de la chanson commence dans une église devant un prêtre qui vient de recevoir l’engagement des époux à s’aimer, dans le bonheur et dans les épreuves, tous les jours de leur vie. S’engager à aimer… A priori, c’est incompatible avec l’amour.
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Alors que les débats sur l’euthanasie promettent de s’intensifier dans les prochains mois en France avec la présentation au Parlement d’un texte au premier trimestre 2024, plusieurs responsables religieux ont pris la plume afin de rappeler que l’euthanasie "touche à un interdit fondateur" : celui de tuer.
Promesse d’Emmanuel Macron, un texte ouvrant le droit à l’aide active à mourir devrait être présenté au Parlement au premier trimestre 2024. En attendant, les débats et offensives médiatiques en faveur de l’euthanasie se multiplient. Face à cela, une quinzaine de responsables religieux et d’intellectuels dont Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France (CEF), Haïm Korsia, grand rabbin de France, et Chems-eddine Hafiz, recteur de la grande mosquée de Paris, ont pris la plume dans une tribune publiée sur Le Figaro le 1er novembre afin d’alerter sur l’interdit fondateur auquel touche l’euthanasie : celui de tuer. « Malgré nos différences, pour nous tous le suicide assisté et l’euthanasie touchent à un interdit fondateur, celui de donner la mort, et les légaliser affaiblirait cet interdit », martèlent-ils.
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C'est dans le Cœur de Jésus, roi et centre de tous les cœurs humains, que nous retrouvons les êtres qui nous manquent depuis leur disparition. Par la foi, ces "retrouvailles" sont encore incomplètes mais bien réelles.
Les êtres chers qui nous ont quittés, nos défunts, ne disparaissent jamais complètement. Ils continuent à vivre dans nos cœurs. « Le vrai tombeau des morts, c’est le cœur des vivants », disait Hegel. Heureusement, la foi chrétienne nous assure que nos disparus ne dépendent pas de nous pour persévérer dans l’être après la mort. Dieu, le Vivant par excellence, est la garantie de leur vie post-mortem. Nous sommes immortels parce que Dieu nous a créés et continue à nous créer et cela pour l’éternité.
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Cette prière peut être récitée avec un chapelet traditionnel.
Au mois de novembre, l’Église invite les fidèles à prier de manière particulière pour le repos des âmes de leurs proches défunts, et pour les âmes du purgatoire. Elle recommande de poursuivre cette prière tout au cours de l’année. Parmi les nombreuses prières pour les âmes du purgatoire proposées par l’Église, il existe un chapelet spécifique pour les défunts.
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De plus en plus de laïcs s’engagent dans l’accompagnement des familles en deuil et la célébration des funérailles en l’absence de prêtre. Un engagement essentiel qui répond à la vocation de chaque baptisé d’annoncer inlassablement l’espérance chrétienne. Témoignages.
En faisant mémoire le 2 novembre des défunts, l’Église encourage chacun à prier pour tous les morts, ceux de sa famille, ses proches, ceux que nous avons tant aimés. Ceux qui nous ont précédés et que nous rejoindrons un jour, quand l’heure de la mort sera venue. Cette mort qui fait souvent souffrir ceux qui restent mais qui est au cœur de l’espérance chrétienne. C’est la mission d’Église choisie par des milliers de laïcs en France qui s’engagent chaque année dans la pastorale des funérailles. Face à la difficulté à trouver des ministres ordonnés et en particulier des prêtres pour célébrer les funérailles, des équipes de fidèles laïcs, avec ou sans aumôniers, se sont mises en place partout en France en accord avec la Conférence des évêques de France pour accueillir les familles et célébrer les funérailles de leur défunt dans la foi de l’Église.
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Après avoir honoré les saints le 1er novembre, l’Église, désormais remplie d’espérance devant cette multitude qui intercède pour elle auprès du Père, lui confie les fidèles défunts le lendemain. Parce qu’elle croit en la résurrection de la chair, l’Église reste très attachée à l’ensevelissement, qui permet aux vivants de se recueillir auprès des corps de leurs proches disparus.
65% des Français ont déjà choisi leur mode de sépulture et parmi eux 45% ont fait le choix de la crémation, a révélé une récente enquête OpinionWay réalisée en octobre 2023 pour le Service des Professionnels de l’Information (S.P.I) du diocèse de Paris. Une tendance qui interroge : quelle valeur donnons-nous à notre corps ? La manière de s’en occuper vivant en donne une idée, même inconsciente. De même, une fois que nous sommes morts. La philosophie n’a cessé de chercher à comprendre la personne humaine et l’articulation en elle de la matière et de l’esprit. Des épicuriens qui cherchent l’harmonie entre les désirs corporels et la vie de l’âme à Descartes qui établit un réel dualisme entre l’esprit et la matière en passant par Platon et le corps comme « tombeau de l’âme », aucune pensée n’est plus originale que le mystère de l’incarnation du monde chrétien.
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Les saints soutiennent la "grande famille en marche" qu’est l’Église, a déclaré le pape François lors de l’Angélus du 1er novembre 2023, en la fête de la Toussaint. À la suite de ces "frères et sœurs aînés", les chrétiens doivent se mettre "en chemin" avec pour objectif la "pleine communion" avec Dieu, le "paradis", a-t-il encouragé.
En la solennité de la Toussaint, pendant laquelle l’Église honore tous les saints connus et inconnus, le pape François a souligné lors de l’Angélus de ce 1er novembre l’importance de la « présence silencieuse » de ces « amis sincères » que sont les saints d’hier et d’aujourd’hui. Ils « soutiennent » dans l’épreuve, « ne manquent jamais de nous corriger » quand vient l’erreur, « veulent notre bien », « ne nous montrent pas du doigt et ne nous trahissent jamais ».
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De toutes les fêtes de l’année liturgique, la Toussaint est celle qui, après Pâques, devrait nous toucher le plus. Si nous désirons vraiment entrer dans la danse des élus à laquelle nous sommes appelés, la Toussaint est notre fête à tous, dès aujourd’hui.
La fête de tous les saints n’est pas le grand spectacle des winners de la foi chrétienne mais la célébration de la destinée finale qui attend tous les baptisés. Tant que nous regardons la Toussaint de l’extérieur, nous avons peu de chances d’entrer spirituellement et avec profit dans le mystère que l’Église nous donne à contempler et à célébrer ce jour-là.
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L’Église n’a pas besoin de réformateurs, mais de saints, telle était la conviction de Georges Bernanos. Comme François d’Assise qui transforma l’Église en épousant l’exact opposé de ce qui attirait ses contemporains : la pauvreté, l’humilité, la charité.
Alors que beaucoup dans l’Église ne rêvent que de réformes, sinon de révolutions, ceci de la base à la hiérarchie, que la mode contemporaine est toujours dans la fuite en avant et presque jamais dans une sage disposition à faire le guet du haut d’une tour qui embrasse les horizons et qui permet de ne pas se croire les maîtres du monde, il serait sage et judicieux de se souvenir que l’histoire de cette Église n’est pas riche grâce à ceux qui ont voulu la violenter, mais grâce à ceux qui se sont donnés à Elle, au prix parfois des sacrifices les plus absolus. La situation actuelle, préoccupante, invite à prendre distance par rapport à tous les enthousiasmes désordonnés et manipulateurs, à garder la tête froide face à ceux qui désirent déraciner, détruire, transformer pour correspondre aux critères mondains. Pour ce faire, il est bon de puiser dans le trésor de sainteté de cette Église mise à mal parfois même par ses pasteurs.
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Mgr Pierbattista Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, a consacré la Terre sainte au Cœur immaculé de Marie le 29 octobre lors d’une messe célébrée au sanctuaire de Deir Rafat. Un geste fort alors que le conflit israélo-palestinien se poursuit dans le sang et les larmes.
Face à l’horreur de la guerre, Mgr Pierbattista Pizzaballa a choisi d’opposer les armes de la prière et la douceur. Le patriarche latin de Jérusalem a consacré la Terre sainte au Cœur immaculé de Marie le 29 octobre lors d’une messe célébrée au sanctuaire de Deir Rafat. «À ton Cœur Immaculé nous nous confions et nous nous consacrons solennellement, ainsi que notre Église, l’humanité entière, les peuples du Moyen-Orient et, surtout, les peuples de Terre sainte, qui t’appartiennent, puisque tu les as embellis par ta naissance, par tes vertus et par tes douleurs, et que c’est de là que tu as donné au monde le Rédempteur », a-t-il déclaré. « Fais que la guerre prenne fin et que la paix se répande dans nos villes et nos villages ».
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Le pape François a présidé dimanche 29 octobre la messe de clôture de la première partie romaine du Synode sur la synodalité. Dans une homélie sur l’Évangile du jour, il a rappelé, en fils de saint Ignace, le "principe et fondement" de cette démarche souvent mal comprise.
Aimer. Si le mot est parfois galvaudé, il reste au centre de la foi chrétienne. L’évangile du XXXe dimanche de temps ordinaire de l’année A le proclame solennellement. À des pharisiens venus le piéger, Jésus rappelle le sens de la Loi et des Prophètes (Mt 22, 37-39) : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et le second lui est semblable :Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
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À l’aube de la Toussaint et de la fête des défunts, Aleteia a interrogé le père Thierry de Lesquen qui a publié le 11 octobre 2023 un ouvrage intitulé "Préparer sa mort pour aller au paradis". Il revient sur la notion même de mort, une "promesse de vie qui n'aura pas de fin", et sur la façon dont on peut vivre dès à présent dans la perspective de l'éternité.
« Si je suis tendu vers une éternité qui est au-delà de la mort, alors mon « aujourd’hui » va changer. » Alors que l’Église s’apprête à célébrer la Toussaint et la fête des défunts, les catholiques profitent souvent de ce moment pour se rendre sur la tombe de leurs proches décédés. Un temps parfois douloureux, parfois apaisant, qui rappelle inlassablement que chacun est de passage sur terre. Pour le père Thierry de Lesquen qui a publié début octobre 2023 un ouvrage intitulé Préparer sa mort pour aller au paradis, la mort est bien présente à chaque seconde de notre quotidien. « Si je vis dans l’espérance, alors je vis tourné vers un au-delà de la mort et donc, je la traverse en quelque sorte dès à présent », explique-t-il à Aleteia.
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La fête de tous les saints précède le jour des défunts, dont le souvenir de la séparation est douloureux. Notre chroniqueuse Blanche Streb salue les paroles d’espoir d’Axelle Huber, devenue veuve après dix ans de mariage. Dans "Le Deuil, une odyssée" (Mame), celle-ci raconte son chemin de retour à la vie, dans les larmes, la foi et les joies retrouvées, ainsi que celui de ses quatre enfants.
Nous sommes à la veille de la Toussaint, une fête que j’affectionne particulièrement, sûrement comme nombre d’entre nous. La fête de tous les saints… ceux dont l’Église transmet la biographie et les écrits. Ceux, anonymes, d’une foule immense que nul ne peut dénombrer, de toutes nations, époques, peuples et langues, hommes, femmes, enfants, disparus sous la poussière des années mais dont l’empreinte et la fécondité n’aura pas moins compté dans cette histoire de l’humanité qui nous dépasse tellement. Certains d’entre eux ont changé l’histoire de manière visible pendant leur vie, d’autres encore plus depuis le paradis. Ils habitent la grande histoire et notre histoire.
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À Gaza, les 700 chrétiens réfugiés dans la paroisse catholique de la Sainte-Famille survivent tout en priant pour la fin du conflit israélo-palestinien. Le 28 octobre, les enfants de la paroisse ont adressé une prière à la Vierge Marie pour que vienne, enfin, le temps de la paix.
Ils sont désormais moins de 1.000 dans cette enclave placée sous le feu des bombardements. Les chrétiens de Gaza ont trouvé refuge dans leurs églises et leurs écoles, situées principalement au nord de cette région que l’armée israélienne a demandé aux Gazaouis d’évacuer. Privés d’électricité, sans eau courante, leur seul espoir réside dans l’éventuel acheminement d’une aide humanitaire qui tarde à venir. Parmi les quelque 700 chrétiens, catholiques et orthodoxes confondus, qui survivent dans les locaux de la paroisse de la Sainte-Famille, se trouve une centaine d’enfants.
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Ils ont amené le soleil de Corse et la Vierge Marie sur la scène de Paris La Défense Arena. Samedi 28 octobre, lors d'un grand concert organisé par Patrick Fiori, quelque 20.000 personnes ont entonné à l'unisson l'hymne de l'île de Beauté : "Diu vi Salvi Regina", (Que Dieu vous garde, Reine). Frissons garantis.
C’est un hymne dont la beauté est déjà bien connue, mais lorsqu’il est chanté à l’unisson par des milliers de voix, difficile de ne pas frissonner. Samedi 28 octobre, la salle Paris La Défense Arena de Nanterre accueillait le spectacle « Corse Mezu Mezu », initié par Patrick Fiori et au cours duquel se sont succédés plusieurs artistes pour un hommage à la chanson corse. Ils étaient 20.000 spectateurs, amoureux de l’île de Beauté et de ses traditions. Nombreux sont ceux qui ont traversé le petit bout de Méditerranée les séparant de la métropole pour assister à ce rendez-vous musical inédit. Mais si l’on devait retenir un seul moment de ces quatre heures de concert, c’est certainement celui-ci : l’hymne corse « Diu vi Salvi Regina », (Que Dieu vous garde, Reine), chanté par 20.000 personnes d’une seule et même voix vibrante afin d’achever la soirée en beauté.
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À l'occasion de la clôture du Synode, KTO vous propose une émission spéciale depuis le plateau de Rome, afin de remettre en perspective les travaux de cette première session de travail, avant la seconde assemblée d'octobre 2024. Retrouvez sur le plateau :
Sœur Nathalie Becquart, XMCJ, Sous-Secrétaire de la Secrétairerie générale du Synode des évêques Cardinal Fridolin Ambongo Besungu, o.f.m. Archevêque de Kinshasa (République démocratique du Congo), membre du Conseil des cardinaux Cardinal Gérald Cyprien Lacroix, archevêque de Québec et primat du Canada, membre du Conseil des cardinaux Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre (France)
Vidéo sur KTO.
Un projet de loi constitutionnelle pour "graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir" à l’IVG va être envoyé au Conseil d’État cette semaine, a annoncé ce dimanche 29 octobre Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux.
Le président de la République a confirmé ce dimanche 29 octobre qu’il allait déposer un projet de loi constitutionnelle pour « graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir » à l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) auprès Conseil d’État cette semaine. Il sera « présenté en Conseil des ministres d’ici la fin de l’année », si bien qu' »en 2024, la liberté des femmes de recourir à l’IVG sera irréversible », a ainsi écrit Emmanuel Macron sur X (anciennement Twitter).
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Les plus pauvres, matériellement, culturellement et spirituellement, sont les premières victimes de la déchristianisation.
On entend souvent des personnes se féliciter de la condition (nouvelle) minoritaire qui est celle des chrétiens aujourd’hui. Sur le constat, il n’y a rien à redire : les disciples du Christ sont en situation d’infériorité numérique avérée. Là-dessus, tout le monde est d’accord. En revanche, les avis divergent au sujet de la valeur à accorder à cet état de fait qui tranche avec les siècles précédents de chrétienté. Pour les uns, cette condition n’est pas négative. Elle incite les croyants à affiner leur foi, à se garder des pièges du conformisme et des facilités qui lui sont liées en galvanisant leur ferveur. La fin du christianisme sociologique permettrait selon eux l’émergence d’une foi plus personnelle et existentielle.
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Place des femmes, nouveaux ministères, célibat des prêtres… Les membres du synode sur l’avenir de l’Église ont voté samedi 28 octobre un rapport de synthèse d’une quarantaine de pages qui doit guider l’Église catholique dans sa réforme jusqu’à la prochaine et dernière session du Synode, en octobre 2024.
Les membres du Synode sur l’avenir de l’Église ont voté dans la soirée du 28 octobre 2023, après un mois de travail, un rapport de synthèse qui doit guider l’Église catholique dans sa réforme jusqu’à la prochaine et dernière session du Synode en octobre 2024. Le texte d’une quarantaine de pages propose des pistes pour rendre l’Église catholique plus participative et avance des propositions concrètes sur des sujets parfois brûlants.
Lors d’une conférence de presse organisée peu après la diffusion du rapport en italien, le cardinal Jean-Claude Hollerich, rapporteur du Synode, a insisté sur le fait que la totalité des 273 paragraphes ont été votés à la majorité des deux tiers par les 344 membres du Synode présents dans la salle, dont des laïcs hommes et femmes.
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Dans "Peut-on programmer la mort ?" (Seuil), le journaliste Pierre Jova publie les résultats de son enquête sur la pratique de l'euthanasie en Belgique. Alors qu'un projet de loi sera présenté en décembre 2023 en France, l'auteur révèle l’envers du "modèle belge", devenu en vingt ans un système de mort programmée.
« La mort n’est pas qu’une affaire individuelle, mais bien collective », telle est bien la conviction de Pierre Jova qui a vérifié combien le recours à l’euthanasie laisse des traces indélébiles dans les familles. Il montre aussi que l’expérience de la légalisation est une course sans fin : après les malades incurables, les mineurs, les déments, les cas sociaux… « Une société a besoin de multiplier et étendre l’euthanasie pour se persuader qu’elle est normale » observe-t-il, comme dans d’autres pays comme la Suisse ou le Canada. Au nom d’une liberté absolue et de la toute puissance de la technique, mais aussi de la logique marchande, c’est un monde insatiable et sans limite qui se prépare. Et pourtant, soutient Pierre Jova, on ne peut « étouffer éternellement la casse humaine créée par l’euthanasie ».
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La première session de l'Assemblée du Synode prend fin ce dimanche 29 octobre à Rome. À l'occasion de la conlusion de cette étape, KTO retransmet en direct la messe de clôture présidée par le pape François à 10h et vous propose une émission spéciale pour aborder les enjeux, le fonctionnement et les travaux réalisés au Vatican du 4 au 29 octobre. Une émission réalisée depuis le plateau de KTO à Rome et diffusée ce dimanche à 20h35 sur KTO et ktotv.com.
Lettre au peuple de Dieu
Les 364 membres du Synode ont voté, mercredi 25 octobre 2023, la publication d’une lettre à destination du « peuple de Dieu » dans laquelle ils expriment leur état d’esprit à quelques jours de la clôture de la première session de l'Assemblée Synode « pour une Église synodale ». La lettre de deux pages et demie ne comporte pas d’annonce concrète mais enjoint les chrétiens à « se mettre à l’écoute de celles et ceux qui n’ont pas droit à la parole dans la société ou qui se sentent exclus, même de la part de l’Église ».
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