“Coming out” de Mehdi Djaadi nommé aux Molières
Seul-en-scène retraçant sa conversion de l'islam au catholicisme, "Coming out" de Mehdi Djaadi a été nommé aux Molières 2023, le 24 avril prochain.
« Merci aux votantes et votants, au public, à mon équipe, à toutes celles et ceux qui ont fait partie de l’aventure. » C’est par ces mots simples que Mehdi Djaadi a réagi sur Facebook à la sélection de Coming out aux Molières 2023, le 30 mars 2023. Belle nouvelle pour l’acteur, metteur en scène et comédien, en lice pour la plus haute distinction française dans le domaine théâtral. La cérémonie aura lieu le 24 avril 2023 au Théâtre de Paris.
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Au cœur du bidonville de Sawata, ils font grandir les enfants…et leur couple
Joseph et Bérengère Gandar, 25 ans tous les deux, sont actuellement en mission à Manille, aux Philippines, envoyés par les MEP (Missions Etrangères de Paris) au sein de l’association Phil’Book. Une expérience riche et bénéfique à plusieurs égards : leur couple grandit en même temps que les enfants du bidonville s’épanouissent à travers les jeux, la lecture et l’amitié.
Bidonville de Sawata. Des enfants partout. C’est ce qui frappe généralement les volontaires occidentaux qui arrivent dans les bidonvilles de Manille. Des enfants qui errent dans les rues, livrés à eux-mêmes. Ils ne sont pas, ou peu scolarisés, en raison des classes surchargées, et passent leur temps sur Internet quand ils ne jouent pas sur des monticules de déchets. Rien ne les encourage à sortir de cette misère matérielle et affective. Rien, si ce n’est cette poignée de volontaires qui se succèdent depuis plus de dix ans au sein de l’association Phil’Book.
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Carême 2023 : contrairement à Judas, convertir le remords en fidélité
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer du remords à la fidélité.
Judas, si tu étais revenu du Remords vers la Fidélité !
Le remords, c’est mordre à nouveau, se ronger, se tourmenter dans le dégoût, la honte et la tristesse. C’est la culpabilité d’une faute trop lourde qui fait un poids terriblement accablant en faisant revivre à nouveau le mal commis. Il faut lui préférer le repentir, qui reconnaît le mal commis, mais ne s’y attarde pas, pour espérer sa libération, pour désirer ne plus le commettre et souhaiter sa réparation.
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Fin de vie : ce que « recommande » la Convention citoyenne
La Convention citoyenne sur la fin de vie a adopté ce dimanche 2 avril après quatre mois de débat un rapport final présentant ses conclusions. Si les membres se prononcent quasi-unanimement pour un renforcement et une amélioration de l’offre de soins palliatifs, les avis sont plus partagés sur l’ouverture à l’aide active à mourir.
Neuf sessions de travail et 27 jours de débat, c’est le temps qu’a pris la Convention citoyenne sur la fin de vie pour répondre à la question que leur avait adressée la première ministre, Élisabeth Borne, dans sa « feuille de saisine » : « Le cadre d’accompagnement de la fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits ? » Ils ont adopté ce dimanche 2 avril à 92% (162 pour, 6 contre, 8 abstentions, 176 votants) un document de 90 pages (150 avec les annexes) se présentant en quatre grandes parties et introduites par un « manifeste ». Ce manifeste, voulu par les membres de la commission, est une interpellation du gouvernement sur la « situation alarmante faute de moyens humains et financiers » dans lequel se trouve notre système de santé mais aussi un appel lancé à tous les Français à se saisir de la question de la fin de vie, « un enjeu de société majeur ».
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Quarante-huit ans après la loi Veil, le désir d’euthanasie
À l’issue de leurs travaux, les 184 participants à la Convention citoyenne sur la fin de vie seront reçus à l’Élysée le lundi 3 avril. L’essayiste Vincent Morch, auteur du "Courage de dire non" (Salvator), formule l’hypothèse que le militantisme en faveur de l’euthanasie a été en partie conditionné par les conséquences morales de l’avortement, depuis sa dépénalisation il y a quarante-huit ans.
Aujourd’hui, en 2023, alors que la Convention citoyenne sur la fin de vie s’est exprimée dimanche 2 avril en faveur d’une évolution de loi avec l’ouverture de l’aide active à mourir, le législateur s’apprête à légaliser l’euthanasie et le suicide assisté, au nom d’un devoir d’humanité envers les personnes atteintes de souffrances incurables. Quarante-huit ans après la promulgation de la loi Veil relative à l’interruption volontaire de grossesse, le 17 janvier 1975. Presque mon âge. Je fais partie de ces premiers bébés qui auraient pu être tués légalement dans le ventre de leur mère. Cette première génération dont les parents s’étaient accordé le droit de ne pas la faire naître. Et maintenant, devenue adulte, cette génération se retourne vers ses parents vieillissants et parfois confrontés à des maladies sans retour, et avoue ne trouver comme unique réponse à leur désarroi qu’une mort douce et planifiée.
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Carême 2023 : avec Marie-Madeleine, convertir l’amour-éros en amour-agapè
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'amour-éros en amour-agapè.
Jésus a fait vivre à Marie-Madeleine, femme très émotionnelle, un lent itinéraire de conversion en reprenant son attachement trop affectif pour la conduire à la vraie charité.
L’amour comporte tant de composantes ! Mélange de joie et de confiance, cette émotion riche et comblante peut rester bien souvent aveugle, fragile, subie et subjective, voire intéressée. On n’existe plus sans l’autre. Il s’agit de l’amour-éros qui procure beaucoup de plaisir. Délivré de sept péchés, Marie-Madeleine a aimé courir les routes avec Jésus et le servir totalement avec beaucoup d’entrain. Service passionné, tourné vers son Maître mais en totale dépendance et sans liberté.
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Une astuce simplissime pour faire de la prière matinale une habitude bien ancrée
Comment faire pour rendre la prière aussi simple et automatique que son café du matin ?
Les habitudes constituent une grande partie de la vie quotidienne. Nombre d’entre elles sont bénéfiques car elles nous permettent de faire des actions de manière naturelle et automatique, ce qui allège la charge mentale de chaque journée. Une habitude se construit grâce à un réseau de neurones qui, à force d’être utilisé, a été sur-consolidé. Mais alors comment faire pour se débarrasser d’une mauvaise habitude ou pour la changer ?
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Carême 2023 : convertir l’extase en tempérance
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. À l'instar de Joseph dont la fête est célébrée ce lundi, Aleteia donne des pistes pour passer de l'extase à la tempérance.
Ex stare, se tenir en dehors de soi, a donné le mot extase. État dans lequel une personne se trouve comme transportée hors de soi et du monde sensible, dans une suspension des sens bien souvent. Mais il peut s’agir d’une forme exacerbée de la joie, exaltation provoquée par une sidération ou une admiration extrême. Elle se fait mystique dans la contemplation des choses divines. Mais les conseillers spirituels ont toujours porté une certaine méfiance à ces débordements qui finissent par brider la liberté et annihilent les autres facultés de l’intelligence ou de la volonté. Même s’il peut s’agir de grâces authentiques, prémonitoires de la vision béatifique céleste, elles ne sont jamais recherchées pour elles-mêmes et leur intérêt quelconque. D’où la nécessité d’une modération salutaire qui fortifie une foi plus vraie, une espérance imparable et une charité plus concrète.
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Le Pape « pourrait sortir dans les prochains jours » de l’hôpital
Atteint d’une "bronchite infectieuse", le Pape a bénéficié d’un "traitement antibiotique par perfusion qui a produit les effets escomptés avec une nette amélioration de son état de santé", a assuré l’équipe médicale qui suit François à l’hôpital Gemelli de Rome, dans la soirée du 30 mars 2023.
Atteint d’une « bronchite infectieuse », le pape François a bénéficié d’un « traitement antibiotique par perfusion qui a produit les effets escomptés avec une nette amélioration de son état de santé », a indiqué dans la soirée ce jeudi 30 mars l’équipe médicale qui suit François à l’hôpital Gemelli de Rome. Le pontife de 86 ans pourrait « sortir dans les prochains jours », a-t-elle encore assuré.
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La musulmane qui supplie les chrétiens de redevenir ce qu’ils sont
L’écrivain Xavier Patier revient sur le livre de Sonia Mabrouk, “Reconquérir le sacré”. Il comprend ce qu’elle dit quand elle déplore que la chrétienté ait refoulé le mystère qui la faisait tenir debout.
Livre étrange de Sonia Mabrouk. Si cette brillante journaliste était née dans la foi catholique, sans doute aurait-elle tenu des propos sévères sur la trahison des clercs. La mélopée joyeusement réactionnaire que les jeunes catholiques de France chantent volontiers contre la capitulation des chrétiens face aux fausses valeurs du monde, elle l’aurait entonnée avec talent. Mais Sonia Mabrouk est musulmane.
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Loi Taubira : dix ans après, François Hollande préfère toujours la division
Les dix ans de la loi Taubira sont aussi les dix ans de La Manif pour tous, dont l’ancien président de la République François Hollande ne résiste pas à se moquer. Le chroniqueur Louis Daufresne voit dans cette préférence obstinée pour l’extrémisme sociétal un mépris du social.
À silhouette débonnaire, verbe affilé. On peut être rond et tranchant à la fois. L’un peut même compenser l’autre. François Hollande le prouve — qui sait se montrer moqueur. Comme si la dent de la Rancune dominait Tulle, alors qu’elle s’élève dans le cratère du Sancy. Corrèze ou Puy-de-Dôme, c’est toujours le centre de la France, me direz-vous. Subsiste-t-il encore là-bas une certaine rouerie paysanne ? Les attaches familiales de François Hollande sont plutôt normandes et nordistes, mais passons. L’ancien président de la République parlait donc à la télé. Pas comme Emmanuel Macron, engoncé dans de longues allocutions. Non, par petites touches, sur le mode de la confidence, en costard mais sur fond noir, niché dans un clair-obscur soigné.
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Carême 2023 : convertir le désappointement en prudence
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer du désappointement à la prudence.
Le désappointement est une déception, une déconvenue. C’est être trompé dans ses espérances, blessé dans sa confiance. A la croisée de la tristesse et de la surprise, c’est l’état de celui qui n’a pas eu ce qu’il espérait. Donc ne pas être payé de retour, puisque les « appointements » nous rétribuent. Le dépit dans l’amour, désappointement plus affectif, fait très mal. Les apôtres sont très souvent désappointés dans l’Evangile, et Nicodème, Judas, Hérode, Pilate et les disciples à la Résurrection ! Comprendre aide à rebondir et à intégrer ce qui a surpris. Prévoir est aussi un autre moyen de ne pas être désappointé.
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Victime d’une « infection respiratoire », le pape François hospitalisé quelques jours
Après avoir communiqué sur des "examens de contrôle programmés" ce mercredi 29 mars après-midi à l'hôpital Gemelli de Rome, le Saint-Siège a indiqué que le pape François souffrait d'une « infection respiratoire » et qu'il serait hospitalisé quelques jours.
Le pape François, hospitalisé ce 29 mars 2023 à l’hôpital Gemelli de Rome, souffre d’une « infection respiratoire », a fait savoir le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège dans un communiqué publié en début de soirée. Plusieurs jours d’hospitalisation au sein de l’établissement sont prévus pour soigner le pontife de 86 ans. « Ces derniers jours, le pape François a éprouvé des difficultés à respirer » a précisé Matteo Bruni. Plus tôt dans l’après-midi, le Saint Siège évoquait pourtant « des examens de contrôle programmés ». Ces examens ont « révélé une infection respiratoire » sans lien avec le Covid.
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La Manif pour tous devient le Syndicat de la famille
À l'occasion des dix ans de la première grande manifestation contre la loi autorisant le mariage aux personnes homosexuelles, le 24 mars 2023, La Manif pour Tous a décidé de changer à la fois son nom et son statut pour devenir le Syndicat de la famille.
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Carême 2023 : convertir la haine en gratitude
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de la haine à la gratitude.
uel sentiment violent que ce qui pousse à vouloir du mal à quelqu’un ou à se réjouir du mal qui lui arrive. Haïr, c’est tuer virtuellement, c’est ressentir de l’irritation du seul fait de son existence, et non pas à cause de ce qu’il fait, mais de ce qu’il est. On y trouve à la fois mépris, rage et colère et cette émotion détruit autant l’autre que soi-même. Plus que de l’agressivité, elle est le moteur des prises de pouvoir, du meurtre, de la guerre. Saint Paul haïssait les chrétiens au nom d’un amour de Dieu déformé. La haine est souvent le résultat d’un grand amour illusoire ou déçu.
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Pour une vasovasostomie collective !
Ces jeunes hommes contestataires qui se font stériliser pour ne pas "faire d’enfant" n’échappent pas à la logique bourgeoise du contrôle de leur vie, constate l’écrivain Henri Quantin. S’ils changent d’avis, il leur faudra recourir à la "vasovasostomie", aux résultats très incertains.
Savez-vous ce que c’est qu’une vasovasostomie ? On l’apprend incidemment dans un article du Figaro intitulé « “Faire des enfants pour ses vieux jours, c’est nul” : ces jeunes Français qui décident de se faire stériliser ». La vasovasostomie consiste à tenter de réparer les effets provoqués par une vasectomie. Autrement dit, le but est de revenir en arrière pour rendre à nouveau fertile celui qui a voulu être stérilisé.
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Comment juger une faute sans juger la personne qui la commet ?
Si saint Paul nous explique que corriger un frère relève de la charité fraternelle, une personne ne peut être définie par ses mauvaises actions. Comment, alors, rejeter une faute sans juger la personne qui la commet ?
« J’entendis parler d’un grand criminel qui venait d’être condamné à mort pour des crimes horribles, tout portait à croire qu’il mourrait dans l’impénitence. Je voulus à tout prix l’empêcher de tomber en enfer […]. Je dis au Bon Dieu que j’étais bien sûre qu’Il pardonnerait au pauvre malheureux Pranzini, que je le croirais même s’il ne se confessait pas et ne donnait aucune marque de repentir, tant j’avais de confiance en la miséricorde infinie de Jésus. » Thérèse n’a pas 15 ans quand Henri Pranzini est condamné à mort pour avoir été reconnu coupable d’un triple meurtre sordide, dont celui d’une enfant de neuf ans. Thérèse est exaucée : avant de monter à l’échafaud, Pranzini saisit le crucifix que lui tend l’aumônier et l’embrasse.
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Fin de vie : les évêques militent pour l’aide active à vivre
Alors que la Convention citoyenne sur la fin de vie va rendre ce dimanche 2 avril ses conclusions au gouvernement, les évêques de France ont publié ce mardi 28 mars un texte fort dans lequel ils rappellent l’urgence de développer une aide active… à vivre.
Regroupant l’euthanasie et le suicide assisté, l’expression « aide active à mourir » s’est imposée ces derniers mois dans les débats et les médias au point d’en être devenue presqu’un incontournable. Alors que ce dimanche 2 avril la Convention citoyenne sur la fin de vie va rendre ses conclusions au gouvernement, les évêques de France rappellent quant à eux l’urgence de se battre pour… une aide active à vivre. Dans un document intitulé « L’aide active à vivre, un engagement de fraternité » publié ce mardi 28 mars, ils rappellent que le débat en cours sur la fin de vie doit constituer « l’occasion positive d’un progrès significatif de l’accompagnement et de la prise en charge notamment de la dépendance due au grand âge dans notre pays ».
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Comment aider les âmes du purgatoire pendant le carême ?
Si le mois de novembre est traditionnellement considéré comme le mois des défunts, le carême est aussi un temps propice pour se souvenir des personnes qui nous ont quittés.
En vertu de la communion des saints, de cette mystérieuse solidarité qui relie tous les membres de l’Église au-delà même des frontières de la mort, nous pouvons abréger la période de purification des âmes de nos proches au purgatoire. Et les âmes du purgatoire ont besoin de notre aide car comme le souligne Benoît XVI dans son encyclique Spe salvi :
« Nul ne vit seul. Nul n’est sauvé seul. Continuellement la vie des autres entre dans ma vie: en ce que je pense, dis, fais réalise. Et vice versa. Et ce qui est vrai dans nos vies terrestres, se réalise aussi dans la mort ».
Ainsi, nous sommes constamment appelés à ne pas oublier les âmes défuntes. Si le mois de novembre est considéré traditionnellement comme le mois des défunts, le carême est aussi un temps propice pour se souvenir des personnes qui nous ont quittés.
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Vingt ans après l’invasion de l’Irak
Les mises en garde du Pape ont été ignorées en 2003. Pour l’essayiste Jean Duchesne, ces avertissements pontificaux demeurent d’actualité.
est un anniversaire qui ne justifie certainement pas des célébrations, mais il invite à se rafraîchir la mémoire et fournit aujourd’hui quelques repères : il y a vingt ans, les États-Unis et quelques alliés inconditionnels envahissaient l’Irak. Le régime de Saddam Hussein s’effondrait bientôt et le pays sombra dans un chaos qui commence seulement à se dissiper. On estime à présent que cette guerre fut une erreur et un échec. Mais en tire-t-on les leçons ?
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Vandalisme d’églises en Ile-de-France : les pilleurs condamnés
Les malfrats qui avaient vandalisé six églises en Ile-de-France et une autre à Grenoble en janvier 2022 ont été condamnés à des peines allant jusqu’à trois ans de prison ferme ce lundi 27 mars.
e début de l’année 2022 a été particulièrement douloureux pour les catholiques avec la profanation en à peine quelques jours d’une dizaine d’églises en France, dont six églises situées en Ile-de-France. Les responsables de ces agissements ont été condamnés ce lundi 27 mars par le tribunal de Créteil (Val-de-Marne) à des peines allant jusqu’à trois ans de prison ferme, rapporte Le Parisien.
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Incendie de la cathédrale de Nantes : le responsable jugé ce mercredi
Le procès d’Emmanuel Abayisenga, l’incendiaire de la cathédrale de Nantes, ravagée par les flammes en juillet 2020, se tient ce mercredi 29 mars au tribunal judiciaire de Nantes. C’est également lui qui a été mis en examen et incarcéré pour le meurtre du père Olivier Maire en août 2021.
rès de trois ans après l’incendie de la cathédrale de Nantes, le 18 juillet 2020, le temps du procès est venu. Ce mercredi 29 mars, le tribunal judiciaire de Nantes doit juger Emmanuel Abayisenga, l’homme qui a reconnu lui-même en être à l’origine. Bénévole rwandais aujourd’hui âgé de 42 ans décrit comme instable psychologiquement, il était passé aux aveux une semaine après l’incendie qui a notamment détruit le grand orgue et un tableau d’Hippolyte Flandrin du XIXe siècle.
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Molière et les comédiens étaient-ils excommuniés sous l’Ancien Régime ?
L’année 2023 est l’année du 350e anniversaire de la mort de Molière, retourné à Dieu en 1673. Une fable tenace maintient que le comédien a été enterré excommunié. L’historien du droit Nicolas Kermabon fait litière de cette légende : sur le plan du droit canonique, il n’est pas soutenable que les comédiens contemporains de Molière étaient exclus spirituellement de l’Église.
Alors que l’on commémore cette année le 350e anniversaire de la mort de Molière (+1673), les circonstances de son enterrement, de nuit et sans pompe, avec l’autorisation de l’archevêque de Paris (après le refus du curé de Saint-Eustache de lui donner une sépulture chrétienne), font toujours parler. Elles sont souvent invoquées à l’appui de la thèse selon laquelle l’Église avait excommunié Molière et les acteurs à cette époque. On lit ainsi sur le site Wikipédia qu’au XVIIe siècle, « pour l’Église, en effet, les comédiens, qui exercent une profession infâme, sont excommuniés ».
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Identifier ses tentations, un bon booster de croissance spirituelle
Quand la tentation survient, abandonnez-vous dans les bras du Père.
Le temps du carême commence chaque année par l’Évangile de la tentation de Jésus dans le désert : « Alors Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le diable. » (Mt 4,1). Quelle était l’intention du diable en tentant Jésus ? Le diable voulait abîmer la relation de Jésus avec le Père afin que Jésus cesse de lui faire confiance et cesse de l’aimer comme un fils.
Le diable est très doué pour détruire la confiance de l’homme en Dieu le Père. Pensez à ce que vous ressentez lorsque vous êtes troublé par une tentation. Vous pensez : (a) que vous avez fait quelque chose de mal ; (b) que Dieu vous punit et vous rejette ; et (c) que Dieu ne sera pas heureux tant que vous ne lui aurez pas prouvé que vous méritez son amour. Si vous succombez à tous ces discours, le diable a déjà gagné.
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Questions de fond par Aleteia : peut-on dire que Dieu crée par l’évolution ?
- 1. La découverte de l’évolution s’oppose à la perspective fixiste comme à celle d’un univers éternel mais elle s’accorde au contraire très bien avec l’idée biblique d’un commencement et donc d’une histoire dans laquelle l’ensemble du cosmos va se déployer, au cours du temps, selon le plan de Dieu.
A l’échelle d’une vie humaine, nous ne voyons pas les êtres vivants évoluer
Il a fallu l’aide de la géologie et de la paléontologie pour comprendre que le monde changeait ainsi que les êtres vivants qui le peuplaient. L’expérience commune du monde et des vivants conduit alors à penser que Dieu a créé les espèces vivantes telles qu’elles sont aujourd’hui, selon leurs espèces. On est aussi conduit à penser que de ce fait, les espèces ne peuvent pas changer.
De plus la majorité des savants athées a longtemps été - et ce jusqu’au début du XXème siècle - acquise à l’idée d’un univers éternel, en opposition avec l’idée biblique d’un commencement dans le temps. Or un univers éternel condamné à la répétition infinie des mêmes causes produisant les mêmes effets ne peut aboutir qu’à une conception fixiste du vivant.
Carême 2023 : convertir l’angoisse en docilité
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'angoisse à la docilité.
Faire un passage étroit comme le jour de la naissance d’un bébé, définit bien ce qu’est l’angoisse : un resserrement de l’âme, une panique, une perte de contrôle, une ignorance devant un danger, la boule au ventre, le nœud dans la gorge, la transpiration et le souffle qui s’affole. Jésus a connu cette angoisse qui confina à la sueur de sang au Jardin des Oliviers.
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La Sainte Tunique bientôt exposée à la vénération
Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise, a annoncé dimanche 26 mars la tenue d’une ostension exceptionnelle de la Sainte Tunique au printemps 2025 .
Mgr Lalanne, évêque de Pontoise, a annoncé dimanche 26 mars la tenue d’une ostension exceptionnelle de la Sainte Tunique. Celle-ci aura lieu au printemps 2025 et permettra donc aux fidèles de vénérer la précieuse relique entièrement dépliée dans la basilique d’Argenteuil, où elle est conservée depuis le temps de Charlemagne. Habituellement, la tunique est conservée dans un reliquaire que les fidèles sont autorisés à approcher pour prier.
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Si vous avez tendance à ruminer le passé, pensez à ces trois moines
Il vous arrive de ruminer le passé ? La prochaine fois que imaginerez comment serait la situation actuelle si vous aviez agi différemment, pensez à ce conte des trois moines et du diable.
Qui n’a jamais ressassé un événement passé ? Rien de grave, à première vue, pourtant le risque est bien souvent de tomber dans un cercle vicieux qui n’appartient plus ni au présent ni même à la réalité. C’est ce que nous explique le conte sur le diable qui a demandé aux trois moines ce qu’ils changeraient du passé. Cette courte histoire qui fait réfléchir a été publiée par le prêtre espagnol Jesús María Silva Castignani.
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Carême 2023 : convertir le dégoût en bienveillance
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer du dégoût à la bienveillance.
L’émotion du dégoût est là pour rejeter ou nous éloigner de quelque chose ou de quelqu’un qui menacerait l’existence ou du moins la santé de notre corps. Ainsi le dégoût primaire agit comme un mécanisme de défense qui garantit et nous permet de préserver notre identité physique. Au plan moral, ce dégoût peut agir pour nous éloigner de tout mal mais aussi pour faire obstacle à quelqu’un qui nous déplait. Saint François a eu à vaincre sa peur physique de bourgeois bien élevé avant de baiser un lépreux et ne lui vouloir que de la charité bienfaisante.
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L’exposition qui vous transporte au cœur du chantier de Notre-Dame
Sous le parvis de la cathédrale, le parcours "Notre-Dame de Paris : au cœur du chantier", présenté par l’établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris, met en scène les professions et savoir-faire qui œuvrent ensemble à la restauration du monument millénaire.
« Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles ». 16 mars 1831 : Victor Hugo publie Notre-Dame de Paris. L’engouement populaire est immédiat. 15 avril 2019 : en pleine Semaine sainte, Notre-Dame brûle. Le flot des flammes dévore l’édifice dans des images effroyables que le monde entier a contemplées. Sa charpente en bois et sa flèche sont englouties par le feu, s’effondrent et emportent avec elles une partie des voûtes qui soutenaient l’édifice. Au lendemain du drame, le président de la République annonce vouloir rouvrir la cathédrale en 2024. Pour financer la restauration du monument, 845 millions d’euros sont réunis, offerts par 340.000 donateurs originaires de 150 pays différents. Des dizaines de corps de métiers sont alors mobilisés pour restaurer la cathédrale et la restituer plus éclatante que jamais aux fidèles et aux visiteurs.
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Espagne : une église engloutie réapparaît
Incroyable image que cette église "sortie des eaux" pour cause de sécheresse en Catalogne. Submergée depuis les années 60 par un réservoir d'eau, l'église Sant Roma de Sau, datant du XIe siècle, a totalement réapparue à cause de la sécheresse qui touche actuellement l'Espagne.
L’image est spectaculaire, à la fois inquiétante pour l’environnement, mais aussi bouleversante par le symbole. Cette église du XIe siècle, toujours debout, qui avait été pourtant volontairement submergée par les hommes, dans les années 1960, lors de la création d’un immense réservoir d’eau.
L’église Sant Roma de Sau se trouve près à Vilanova de Sau, une ville située à 90 kilomètres au nord de Barcelone. En 1962, un immense réservoir d’eau y a été construit, faisant disparaitre un village entier, dont cette église, même si le clocher restait visible, au ras de l’eau, et apparaissait régulièrement en fonction des fluctuations…
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Carême 2023 : avec Marie, convertir l’étonnement en vérité
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'étonnement à la vérité.
L’étonnement est une vive surprise causée par quelque chose d’inhabituel, d’inattendu. Il peut nous stupéfier, nous éberluer, nous inspirer de la crainte, comme pour la Vierge. Aristote le voit comme une source d’anxiété. L’étonnement se situe dans la conscience, parfois dans l’intelligence et provoque alors de la réflexion. L’étonnement n’est-il pas à l’origine de la philosophie (Platon) ? Marie, pourtant si bien préparée, n’a pas échappé à cet étonnement des choses de Dieu, tant elles sont loin des nôtres. Pourtant il ne parvient pas pour elle à la sidération, à la perte de ses facultés, parce qu’elle est habitée par une tranquille habitude de scruter la Vérité dans l’Ecriture. On la représente souvent au moment de l’Annonciation en train de lire la Parole alors que l’ange lui parle de l’incarnation de la Parole.
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Bernard de La Villardière : « Les soins palliatifs sont la seule réponse à la demande d’euthanasie »
Le journaliste Bernard de la Villardière vient de produire un documentaire qui offre une véritable immersion dans le monde des soins palliatifs. Il explique à Aleteia pourquoi et comment il a voulu répondre au silence qui entoure la réalité de l’accompagnement de la fin de vie en France.
Le documentaire Mourir n’est pas tuer, réalisé par Géraud Burin des Roziers, est une enquête au cœur de la fin de vie. Quatorze interviews de médecins en soins palliatifs, philosophes, juristes, directeurs d’Ehpad et psychologues viennent éclairer la réalité de l’histoire singulière de chaque patient. Ces images font prendre conscience de l’impact qu’aurait une évolution législative sur les personnes vulnérables et leurs familles, ainsi que la remise en question de la médecine hippocratique pour l’ensemble de la société. Des projections sont proposées sur l’ensemble du territoire français au cours de « Soirées cinés-débats » avec le réalisateur et des spécialistes : une trentaine d’étapes sont prévues.
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Inde : les funérailles d’une chrétienne empêchées par des nationalistes hindous
Dans l'État du Chattisgarh, situé au centre de l'Inde, une famille chrétienne a été empêchée le 21 mars par des manifestants hindous d'enterrer une défunte.
En Inde, les chrétiens peinent désormais à enterrer leurs morts dans la paix. Le 21 mars 2023, une famille du village de Bhejpadar, dans l’État du Chattisgarh (situé au centre de l’Inde), a été empêchée pendant plusieurs jours d’enterrer une défunte par des villageois et des militants du Bajrang Dal, une organisation nationaliste hindoue. Il s’agissait des funérailles d’une femme adivasi âgée, Mate Bekko, décédée le 19 mars et convertie au christianisme.
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Au Liban, « l’État s’effondre mais le pays tient »
Au Liban, la situation politique, économique et sociale ne cesse de se détériorer. La population survit, portée à bout de bras par les organisations chrétiennes et les congrégations religieuses présentes sur place, qui tâchent de combler le vide laissé par l'État.
« Le Liban, pays du cèdre, choyé par la nature, chanté par les poètes; le Liban terre de saints, loué par la Bible, est en train de s’effondrer », se désole ce jeudi 23 mars sœur Marie-Antoinette Saadé, supérieure générale de la Congrégation des Sœurs Maronites de la Sainte-Famille au Liban, lors d’une conférence de presse organisée par l’Œuvre d’Orient. « Nous assistons en direct à son agonie. » Miné par une crise multidimensionnelle qui va s’aggravant, le pays tout entier souffre. « Il s’agit de l’effondrement de tout un pays, de ses structures, de son système bancaire, judiciaire, monétaire, provoqué par une classe politique mesquine et sournoise, par une corruption patente, par un système alambiqué et inefficace, par un Etat construit sur le clientélisme et les petits intérêts », martèle encore sœur Marie-Antoinette.
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Carême 2023 : convertir la tristesse en piété
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de la tristesse à la piété.
Sainte Thérèse d’Avila parle de « douleur de l’âme » pour tout ce qui nuit et afflige dans la tristesse, où tout se garde pour soi et accable davantage de ce fait. Extériorisée, l’âme est dispersée au dehors et la douleur certes diminuée, mais pour des plaisirs illusoires et passagers si la cause de la tristesse subsiste. Les romantiques se plaisent à cette émotion un peu narcissique chez eux et l’appelle le spleen, mélange d’ennui et de mélancolie. « Le moi est haïssable » constate Pascal, qui veut dire qu’il vaut mieux se tourner vers Dieu, vrai centre de notre vie.
Psychologiquement, la tristesse se loge sur une perte, quelle qu’elle soit. Elle sert dans un deuil à dire « au revoir » pour se tourner vers quelqu’un d’autre. « Mon âme est triste à en mourir » dit Jésus aux apôtres à Gethsémani (Mt 26, 38), et il sortira de son agonie en se tournant vers son Père, passant de la tristesse à la piété, honneur dû à Dieu.
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Enseignements par le père Paul-Marie le 2 avril
Les prochains enseignements du père Paul-Marie auront lieu le 2 avril 2023 au prieuré des Frères de Saint Jean aux Jaumes, toutes les personnes intéressées par la philosophie et la théologie sont les bienvenues.
Programme
9h : philosophie
12h : repas partagé
15h : théologie
Vidéos en ligne sur notre chaîne Youtube
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Le site FORMATION CATHOLIQUE, porté par Aleteia, Magnificat, Mame et Famille Chrétienne, lance des soirées clé-en-main pour approfondir les grandes thématiques de la foi chrétienne : le mystère pascal, la messe, le salut… Une mine d’or pour se former seul, en couple ou en paroisse.
Votre effort de carême consiste à faire le jeûne de séries TV et vous manquez d’idées pour les remplacer ? Vous désirez vivre un carême un peu plus costaud ? Ou vous aimeriez tout simplement découvrir davantage les grands mystères de la foi chrétienne ? Le site FORMATION CATHOLIQUE, en plus des nombreux MOOC et Parcours de carême déjà en ligne, lance ce mercredi 22 mars des « Soirées pour approfondir« . Des formations clé-en-main gratuites, en ligne et accessibles à tout moment, comprenant des vidéos, des quiz, des pistes de réflexions autour de la Parole de Dieu, des textes d’approfondissement et des prières.
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Carême 2023 : guérir la honte par la pudeur
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour guérir la honte par la pudeur.
Après la chute, Adam et Eve se trouvent « nus », à traduire par « dans la honte ». Cette émotion les isole l’un de l’autre, comme de Dieu. La honte est un mélange de peur et de dégoût, venant d’un déficit personnel, le péché, d’un défaut du corps ou de l’esprit, « peine et trouble devant des vices, entraînant une perte de réputation », dit Aristote. L’effet de cette émotion est la mésestime de soi, le sentiment d’indignité. Ils se sont jugés par eux-mêmes à la place de Dieu, qui a été attiré par cette honte pour les en délivrer. Dorénavant, ils auront la pudeur pour les protéger et le Seigneur leur fera des pagnes avec beaucoup de compassion.
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Carême 2023 : convertir l’agressivité en respect
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. A l'instar de Joseph dont la fête est célébrée ce lundi, Aleteia donne des pistes pour passer de l'agressivité au respect.
On dit notre société très agressive, et combien cela peut déteindre sur nos comportements. L’agressivité est un mélange de colère et d’anticipation. Mus par la colère, nous envisageons le pire. Une énergie mal employée se libère dans une conduite adaptative et parfois nécessaire. Cela commence par de l’irritation, puis du mécontentement, jusqu’à l’exaspération. Lorsque nous ne pouvons pas contrôler une situation donnée, lorsque nous n’acceptons pas certains faits ou que nous sommes dérangés par le comportement des autres, autrement dit quand nous nous estimons menacés, l’agressivité extériorise un sentiment intérieur, mêlé de peur, de frustration et de colère. C’est l’émotion des combattants ! Il faut l’attraper avant qu’elle ne fasse passer à l’acte : violences, insultes, coups, etc…
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