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Il vous arrive de ruminer le passé ? La prochaine fois que imaginerez comment serait la situation actuelle si vous aviez agi différemment, pensez à ce conte des trois moines et du diable.
Qui n’a jamais ressassé un événement passé ? Rien de grave, à première vue, pourtant le risque est bien souvent de tomber dans un cercle vicieux qui n’appartient plus ni au présent ni même à la réalité. C’est ce que nous explique le conte sur le diable qui a demandé aux trois moines ce qu’ils changeraient du passé. Cette courte histoire qui fait réfléchir a été publiée par le prêtre espagnol Jesús María Silva Castignani.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer du dégoût à la bienveillance.
L’émotion du dégoût est là pour rejeter ou nous éloigner de quelque chose ou de quelqu’un qui menacerait l’existence ou du moins la santé de notre corps. Ainsi le dégoût primaire agit comme un mécanisme de défense qui garantit et nous permet de préserver notre identité physique. Au plan moral, ce dégoût peut agir pour nous éloigner de tout mal mais aussi pour faire obstacle à quelqu’un qui nous déplait. Saint François a eu à vaincre sa peur physique de bourgeois bien élevé avant de baiser un lépreux et ne lui vouloir que de la charité bienfaisante.
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Sous le parvis de la cathédrale, le parcours "Notre-Dame de Paris : au cœur du chantier", présenté par l’établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris, met en scène les professions et savoir-faire qui œuvrent ensemble à la restauration du monument millénaire.
« Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles ». 16 mars 1831 : Victor Hugo publie Notre-Dame de Paris. L’engouement populaire est immédiat. 15 avril 2019 : en pleine Semaine sainte, Notre-Dame brûle. Le flot des flammes dévore l’édifice dans des images effroyables que le monde entier a contemplées. Sa charpente en bois et sa flèche sont englouties par le feu, s’effondrent et emportent avec elles une partie des voûtes qui soutenaient l’édifice. Au lendemain du drame, le président de la République annonce vouloir rouvrir la cathédrale en 2024. Pour financer la restauration du monument, 845 millions d’euros sont réunis, offerts par 340.000 donateurs originaires de 150 pays différents. Des dizaines de corps de métiers sont alors mobilisés pour restaurer la cathédrale et la restituer plus éclatante que jamais aux fidèles et aux visiteurs.
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Incroyable image que cette église "sortie des eaux" pour cause de sécheresse en Catalogne. Submergée depuis les années 60 par un réservoir d'eau, l'église Sant Roma de Sau, datant du XIe siècle, a totalement réapparue à cause de la sécheresse qui touche actuellement l'Espagne.
L’image est spectaculaire, à la fois inquiétante pour l’environnement, mais aussi bouleversante par le symbole. Cette église du XIe siècle, toujours debout, qui avait été pourtant volontairement submergée par les hommes, dans les années 1960, lors de la création d’un immense réservoir d’eau.
L’église Sant Roma de Sau se trouve près à Vilanova de Sau, une ville située à 90 kilomètres au nord de Barcelone. En 1962, un immense réservoir d’eau y a été construit, faisant disparaitre un village entier, dont cette église, même si le clocher restait visible, au ras de l’eau, et apparaissait régulièrement en fonction des fluctuations…
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'étonnement à la vérité.
L’étonnement est une vive surprise causée par quelque chose d’inhabituel, d’inattendu. Il peut nous stupéfier, nous éberluer, nous inspirer de la crainte, comme pour la Vierge. Aristote le voit comme une source d’anxiété. L’étonnement se situe dans la conscience, parfois dans l’intelligence et provoque alors de la réflexion. L’étonnement n’est-il pas à l’origine de la philosophie (Platon) ? Marie, pourtant si bien préparée, n’a pas échappé à cet étonnement des choses de Dieu, tant elles sont loin des nôtres. Pourtant il ne parvient pas pour elle à la sidération, à la perte de ses facultés, parce qu’elle est habitée par une tranquille habitude de scruter la Vérité dans l’Ecriture. On la représente souvent au moment de l’Annonciation en train de lire la Parole alors que l’ange lui parle de l’incarnation de la Parole.
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Bernard de La Villardière : « Les soins palliatifs sont la seule réponse à la demande d’euthanasie »
Le journaliste Bernard de la Villardière vient de produire un documentaire qui offre une véritable immersion dans le monde des soins palliatifs. Il explique à Aleteia pourquoi et comment il a voulu répondre au silence qui entoure la réalité de l’accompagnement de la fin de vie en France.
Le documentaire Mourir n’est pas tuer, réalisé par Géraud Burin des Roziers, est une enquête au cœur de la fin de vie. Quatorze interviews de médecins en soins palliatifs, philosophes, juristes, directeurs d’Ehpad et psychologues viennent éclairer la réalité de l’histoire singulière de chaque patient. Ces images font prendre conscience de l’impact qu’aurait une évolution législative sur les personnes vulnérables et leurs familles, ainsi que la remise en question de la médecine hippocratique pour l’ensemble de la société. Des projections sont proposées sur l’ensemble du territoire français au cours de « Soirées cinés-débats » avec le réalisateur et des spécialistes : une trentaine d’étapes sont prévues.
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Dans l'État du Chattisgarh, situé au centre de l'Inde, une famille chrétienne a été empêchée le 21 mars par des manifestants hindous d'enterrer une défunte.
En Inde, les chrétiens peinent désormais à enterrer leurs morts dans la paix. Le 21 mars 2023, une famille du village de Bhejpadar, dans l’État du Chattisgarh (situé au centre de l’Inde), a été empêchée pendant plusieurs jours d’enterrer une défunte par des villageois et des militants du Bajrang Dal, une organisation nationaliste hindoue. Il s’agissait des funérailles d’une femme adivasi âgée, Mate Bekko, décédée le 19 mars et convertie au christianisme.
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Au Liban, la situation politique, économique et sociale ne cesse de se détériorer. La population survit, portée à bout de bras par les organisations chrétiennes et les congrégations religieuses présentes sur place, qui tâchent de combler le vide laissé par l'État.
« Le Liban, pays du cèdre, choyé par la nature, chanté par les poètes; le Liban terre de saints, loué par la Bible, est en train de s’effondrer », se désole ce jeudi 23 mars sœur Marie-Antoinette Saadé, supérieure générale de la Congrégation des Sœurs Maronites de la Sainte-Famille au Liban, lors d’une conférence de presse organisée par l’Œuvre d’Orient. « Nous assistons en direct à son agonie. » Miné par une crise multidimensionnelle qui va s’aggravant, le pays tout entier souffre. « Il s’agit de l’effondrement de tout un pays, de ses structures, de son système bancaire, judiciaire, monétaire, provoqué par une classe politique mesquine et sournoise, par une corruption patente, par un système alambiqué et inefficace, par un Etat construit sur le clientélisme et les petits intérêts », martèle encore sœur Marie-Antoinette.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de la tristesse à la piété.
Sainte Thérèse d’Avila parle de « douleur de l’âme » pour tout ce qui nuit et afflige dans la tristesse, où tout se garde pour soi et accable davantage de ce fait. Extériorisée, l’âme est dispersée au dehors et la douleur certes diminuée, mais pour des plaisirs illusoires et passagers si la cause de la tristesse subsiste. Les romantiques se plaisent à cette émotion un peu narcissique chez eux et l’appelle le spleen, mélange d’ennui et de mélancolie. « Le moi est haïssable » constate Pascal, qui veut dire qu’il vaut mieux se tourner vers Dieu, vrai centre de notre vie.
Psychologiquement, la tristesse se loge sur une perte, quelle qu’elle soit. Elle sert dans un deuil à dire « au revoir » pour se tourner vers quelqu’un d’autre. « Mon âme est triste à en mourir » dit Jésus aux apôtres à Gethsémani (Mt 26, 38), et il sortira de son agonie en se tournant vers son Père, passant de la tristesse à la piété, honneur dû à Dieu.
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Le site FORMATION CATHOLIQUE, porté par Aleteia, Magnificat, Mame et Famille Chrétienne, lance des soirées clé-en-main pour approfondir les grandes thématiques de la foi chrétienne : le mystère pascal, la messe, le salut… Une mine d’or pour se former seul, en couple ou en paroisse.
Votre effort de carême consiste à faire le jeûne de séries TV et vous manquez d’idées pour les remplacer ? Vous désirez vivre un carême un peu plus costaud ? Ou vous aimeriez tout simplement découvrir davantage les grands mystères de la foi chrétienne ? Le site FORMATION CATHOLIQUE, en plus des nombreux MOOC et Parcours de carême déjà en ligne, lance ce mercredi 22 mars des « Soirées pour approfondir« . Des formations clé-en-main gratuites, en ligne et accessibles à tout moment, comprenant des vidéos, des quiz, des pistes de réflexions autour de la Parole de Dieu, des textes d’approfondissement et des prières.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour guérir la honte par la pudeur.
Après la chute, Adam et Eve se trouvent « nus », à traduire par « dans la honte ». Cette émotion les isole l’un de l’autre, comme de Dieu. La honte est un mélange de peur et de dégoût, venant d’un déficit personnel, le péché, d’un défaut du corps ou de l’esprit, « peine et trouble devant des vices, entraînant une perte de réputation », dit Aristote. L’effet de cette émotion est la mésestime de soi, le sentiment d’indignité. Ils se sont jugés par eux-mêmes à la place de Dieu, qui a été attiré par cette honte pour les en délivrer. Dorénavant, ils auront la pudeur pour les protéger et le Seigneur leur fera des pagnes avec beaucoup de compassion.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. A l'instar de Joseph dont la fête est célébrée ce lundi, Aleteia donne des pistes pour passer de l'agressivité au respect.
On dit notre société très agressive, et combien cela peut déteindre sur nos comportements. L’agressivité est un mélange de colère et d’anticipation. Mus par la colère, nous envisageons le pire. Une énergie mal employée se libère dans une conduite adaptative et parfois nécessaire. Cela commence par de l’irritation, puis du mécontentement, jusqu’à l’exaspération. Lorsque nous ne pouvons pas contrôler une situation donnée, lorsque nous n’acceptons pas certains faits ou que nous sommes dérangés par le comportement des autres, autrement dit quand nous nous estimons menacés, l’agressivité extériorise un sentiment intérieur, mêlé de peur, de frustration et de colère. C’est l’émotion des combattants ! Il faut l’attraper avant qu’elle ne fasse passer à l’acte : violences, insultes, coups, etc…
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Si Dieu a replanté pour nous un jardin en Eden, il n’est pas rare que pour complaire à ses saints, Il multiplie les grâces horticoles les plus improbables et les plus contraires aux lois ordinaires de la nature. Petit florilège des miracles du Dieu jardinier.
Au commencement, il y a un jardin, celui que Dieu plante en Eden afin d’y installer Adam et Ève pour qu’ils y vivent longtemps heureux, au sein d’une nature généreuse donnant ses fruits à l’humanité sans qu’elle ait à travailler la terre. Dans ce jardin, il y a un arbre, d’une espèce indéterminée. La Tradition en fera, à la suite des moines irlandais, un pommier, parce que dans la tradition celtique l’Autre Monde bienheureux se nomme Avallon, « l’île des Pommes ». Mais aussi parce que le pommier, en latin, s’appelle « malus », comme le mal, de sorte que le jeu de mots est décidément trop tentant.
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Le PDG des hypermarchés Leclerc de Carcassonne, Laurent Boissonnade, a fait bénir la nouvelle grande surface du centre commercial "Rocadest" par Mgr Bruno Valentin, le 16 mars 2023.
S’il est commun de faire bénir sa maison ou son chapelet, il l’est sans doute moins pour un magasin d’une zone commerciale, entre le rayon boucherie et celui des fruits et légumes ! C’est pourtant bien ce qu’a demandé Laurent Boissonnade, PDG des hypermarchés E. Leclerc de Carcassonne.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de la joie à "la joie parfaite" de l'Evangile.
a joie est l’une des quatre grandes émotions universelles que la nature nous a données par-dessus la colère, la peur et la tristesse. Elle exprime une satisfaction qui a toujours une cause particulière, un sentiment de plénitude, une réussite.
Bien souvent cette émotion remplit toute notre personne. Comme chaque émotion, elle est très humaine et nous traverse de manière relativement courte et passagère. Elle a besoin d’espace pour s’exprimer. Par exemple, lorsque nous rions aux éclats, cela fait parfois du bruit ! Qu’est-ce qui nous procure de la joie ? Des hormones, vitamines du corps puis de l’âme : la dopamine, hormone du plaisir, la sérotonine, hormone de la bonne humeur, l’adrénaline, hormone de l’excitation, l’ocytocine, hormone de l’attachement.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. À l'instar de Joseph dont la fête est célébrée ce lundi, Aleteia donne des pistes pour passer du désespoir à l'espérance.
ffliction extrême, émotion irrépressible, le désespoir peut prendre toute la personne. Elle est la conscience d’une absence de solution, d’une défaite ou d’un insuccès, d’une confiance brisée dans un avenir prochain. On se suicide souvent par désespoir, c’est dire la nocivité d’une telle émotion, apparaissant comme une petite mort. En résumé, cette émotion est produite par un sentiment d’impossibilité. Un remède humain peut consister à mieux juger la situation, à chercher une solution, une aide, à procrastiner avec les déboires possibles qui s’annoncent.
Mais ce qui rend possible ce qui ne l’est pas encore s’appelle l’espérance ! Elle permet, pour Thomas d’Aquin, d’atteindre un bien que l’on veut obtenir et le secours qui permet de l’atteindre. Mais en puissance, sa réalisation peut être pour le futur. Posséder ce qu’on l’on n’a pas encore change la perspective. Voir déjà dimanche quand on est que vendredi signale le bout du tunnel alors qu’on y est encore. Judas, dans ton désespoir, si tu avais entrevu une autre issue à la condamnation de ton Maître, tu aurais vu la Résurrection !
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En prenant chez lui Marie, et en accueillant Jésus comme un père, saint Joseph, que l’Église fête exceptionnellement ce lundi 20 mars, a fait confiance à l’ange et à travers lui, à Dieu. Un modèle d’obéissance et d’abandon.
Peu d’hommes peuvent se targuer d’avoir donné à Dieu la plus grande preuve de confiance. Pour Benoît XVI, c’est son saint patron, saint Joseph, qui dans toute l’histoire de l’Église a prouvé par des gestes fous combien il faisait entièrement confiance à Dieu. En effet, il ne s’est pas contenté d’exprimer sa foi, il l’a vécue en actes : en prenant Marie enceinte chez lui, en adoptant cet enfant qui venait de l’Esprit saint, en fuyant en Égypte puis en revenant à Nazareth.
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Plus de 15.000 hommes ont participé ce samedi 18 et ce dimanche 19 mars à des pèlerinages sous le patronage de saint Joseph. À Paris, ils étaient près de 2.000 à participer ce samedi à la Marche de Saint-Joseph au Sacré-Cœur de Montmartre. Reportages en images.
« Lève-toi, prends ton brancard et marche » (Jn 5,8 ; Mt 9,6 ; Mc 2,9 ; Lc, 5,17), c’est le thème choisi pour cette 13e édition de la Marche de Saint-Joseph qui a eu lieu ce samedi 18 mars au Sacré-Cœur de Montmartre. Étudiants, jeunes professionnels, pères de famille, grands-parents… Ils étaient près de 2.000 à y participer. Une belle occasion pour ces pèlerins-hommes de prendre du recul, prier, se ressourcer, trouver du réconfort et échanger avec d’autres sur des sujets propres à chacun.
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La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. A l'instar de Joseph dont la fête est célébrée ce lundi, Aleteia donne des pistes pour passer de l'appréhension à la magnanimité.
A son Annonciation, saint Joseph a bien connu l’appréhension, cette crainte, cette inquiétude de quelque chose, née de l’anticipation du lointain, comme de l’avenir immédiat. Cela a pu supposer de sa part une grande lucidité. Qui n’aurait pas douter devant une telle annonce ? Mais l’appréhension n’est pas toujours source de bonne décision. Et Joseph est parti dans la mauvaise direction.
Il a bien sûr fini par accepter, en collant au réel, et en repérant les raisons exactes de son appréhension légitime. On dirait aujourd’hui qu’il a « verbalisé » en nommant l’adultère et donc sa suite, la répudiation. Pour mieux les préparer, Marie et lui, il choisit selon sa raison : équilibrer la réputation de Marie, en choisissant le secret, et la loi, en se séparant d’elle. C’est pas mal imaginé pour se sauver de son appréhension d’un déshonneur. Mais c’est petit, c’est manquer de foi, de grandeur d’âme. Ce n’était pas le plan du Seigneur.
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Au monastère de Mirhi, dans l’extrême est du Congo, des femmes défendent les droits de leurs prochains, dans un pays où ils sont très menacés. Rencontre avec les Filles de la Résurrection, en République démocratique du Congo.
Le travail manuel fait partie de la règle des Filles de la Résurrection, mais dans ce monastère de Mirhi, au bord du lac Kivu, dans l’extrême est congolais, il faut à la lettre travailler pour manger. Depuis la guerre civile qui a éclaté en 1995, toute la région vit au rythme des invasions de divers groupes armés, qui maintiennent un pesant climat d’insécurité, empêchent les artisans de commercer et maintiennent la population dans la pauvreté.
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