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Les dernières informations.
Alors que le gouvernement a annoncé un projet de loi sur la fin de vie à la fin de l’été, le Sénat a adopté mercredi 28 juin en commission des affaires sociale un rapport au vitriol contre l’aide active à mourir.
Créer un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie est « une réponse inappropriée et dangereuse à une demande diffuse et univoque », résume, en substance, le rapport des sénatrices Christine Bonfanti-Dossat (Lot-et-Garonne, LR) et Corine Imbert (Charente-Maritime, LR) adopté ce mercredi 28 juin par la commission des affaires sociales du Sénat. Selon elles, le « modèles français de fin de vie » vers lequel la France doit tendre doit « privilégier la sollicitude au nihilisme ».
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En visite au Mexique, le cardinal Robert Sarah a donné lundi 26 juin une conférence intitulée "Témoins de la vérité dans un monde en crise", à l'Université La Salle de Mexico. Un discours percutant et rempli de sages conseils pour faire face à la crise spirituelle que traverse le monde.
Âgé de 78 ans, le cardinal Robert Sarah, préfet émérite de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, est lucide voire un brin pessimiste. Selon lui, « l’homme est spirituellement en faillite ». C’est le constat qu’il a dressé le 26 juin 2023 lors d’une conférence intitulée « Témoins de la vérité dans un monde en crise », donnée à l’Université La Salle à Mexico. Le monde est en crise, non pas parce qu’il est indifférent à Dieu, mais parce qu’il a déclaré la guerre à la Création.
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La tradition orale a toujours enseigné que l’empereur Constantin avait édifié la première basilique Saint-Pierre sur l’emplacement même du tombeau du premier pape. Jusqu’au XXe siècle, on n’avait jamais cherché à valider ou infirmer cette croyance, les hommes de foi faisant à priori confiance à l’enseignement transmis de génération en génération. Mais, en 1939, un événement fortuit occasionne des fouilles archéologiques et entraîne chrétiens et scientifiques dans une véritable saga à la Indiana Jones.
L’actuelle basilique Saint-Pierre est dotée d’un niveau inférieur appelé « les grottes vaticanes » où sont enterrées de nombreux papes. Le niveau du sol de ces grottes correspond à peu près à celui de la première basilique, édifiée par l’empereur Constantin au IVe siècle. À sa mort en 1939, Pie XI manifeste le désir d’être enterré dans ces grottes, à côté de Pie X. Malgré l’exiguïté de l’endroit, le nouveau pape Pie XII est désireux de respecter les dernières volontés de son prédécesseur. Il décide alors de faire abaisser le pavement des grottes, afin d’élargir l’espace dédié au futur mausolée. En opérant les travaux, les ouvriers découvrent sous le pavement un espace vide où l’on distingue les vestiges d’un édifice funéraire. C’est ainsi qu’apparaît un troisième niveau, celui d’une vaste nécropole romaine.
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Myriam de Courrèges est décédée le 10 mai dernier à l’âge de 70 ans d’un cancer. Mariée, mère et grand-mère, médecin, elle livre un témoignage poignant sur la fin de vie. Un temps dont elle ne nie pas les souffrances et les misères, mais qu’elle a rempli de vie, de joie et d’espérance.
Notre chroniqueuse Élisabeth de Courrèges a perdu sa mère le 10 mai 2023, après quatre ans de combat contre un cancer. Elle s’appelait Myriam de Courrèges, était mariée, mère de sept enfants et grand-mère de nombreux petits-enfants, médecin dans un centre de lésés-cérébraux, très engagée dans sa paroisse… Avant de mourir, elle a écrit un texte qu’elle a intitulé Cela fait quatre ans que je suis éligible à l’euthanasie, expliquant pourquoi il aurait été dommage de la demander. « N’était-ce pas beau à vivre tout cela ? », interroge-t-elle après avoir décrit ses joies familiales, sa gratitude pour les grâces reçues et son cheminement vers Dieu. « Donnez plutôt une aide active à vivre », implore-t-elle. Un témoignage de poids à l’heure où les contours du projet de loi sur la fin de vie, évoquant notamment « le droit de bénéficier d’une aide active à mourir », se précisent.
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Le débat sur l’usage "partagé" des églises communales avec des activités profanes est un débat dangereux, avertit le juriste Christophe Éoche-Duval, président d’une association patrimoniale. Dès lors que la loi de 1907 protège l’usage exclusivement religieux des édifices affectés au culte catholique, c’est aux catholiques et à eux seuls de décider de l’utilisation de leurs églises. Tant que la loi ne change pas.
Le devenir des 40.000 églises qui maillent notre pays, héritage spirituel en pierres de la France « fille aînée de l’Église », aurait dû préoccuper plus tôt. Les signaux d’alerte (désertification rurale, effondrement de la pratique et des vocations, rareté de l’argent public) étaient bien prévisibles. Les faits sont à présent devant nous. Il n’est jamais bon de traiter un problème lorsqu’on n’a plus le recul nécessaire pour l’analyser et le solutionner. C’est un homme d’Église qui a eu ce fin mot : « On ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment. »
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Curé de la paroisse Saint-Paul de Paris, le père Pierre Vivarès réagit au choix du nouveau mobilier liturgique de Notre-Dame. Par définition, dit-il, le mobilier change, celui-ci est déjà daté. Il trouvera son sens en s’effaçant derrière la présence de Celui qui ne change pas.
Le vendredi 16 juin 1989, j’avais 20 ans et j’étais à Notre-Dame de Paris : le cardinal Lustiger y consacrait ce jour-là le nouvel autel de Notre-Dame, œuvre des sculpteurs Jean et Sébastien Touret. À l’entrée de la majestueuse nef, nous entendions quelques personnes, jeunes, disons « tradis » déjà à l’époque, nihil nove sub sole, qui criaient très fort pour être bien entendus : « C’est pas beau ! » Il en fallait plus au cardinal Lustiger pour se laisser démonter ou s’inquiéter. Il en souriait presque et à la fin de la célébration eucharistique, décrivant à l’assemblée ce nouvel autel dressé à l’entrée du chœur, il tapait dessus en disant : « Cet autel est là pour des siècles ! » Déjà taquin, ou lucide, ce qui est la même chose pour un gascon, je me disais à ce moment-là qu’il était hasardeux de promettre des siècles à une installation, surtout en France, surtout dans l’Église. Il n’y a que le Christ et son Évangile qui ne changent pas.
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Désigné par le diocèse de Paris pour réaliser le nouveau reliquaire de la couronne d’épines, Sylvain Dubuisson a présenté une esquisse de son projet. La précieuse relique pourrait être exposée beaucoup plus souvent qu'auparavant.
C’est un reliquaire qui devrait en surprendre plus d’un. Choisi par le diocèse de Paris pour réaliser le nouveau reliquaire qui abritera la couronne d’épines, un fragment du bois de la Croix et un clou de la Passion, Sylvain Dubuisson a détaillé ce vendredi 23 juin ce à quoi allait ressembler cet objet de 2,8 mètres de large. Composée d’éléments autoportants en bois avec quelques ouvertures évoquant le bois de la couronne et de la croix, le reliquaire situé dans la chapelle axiale, derrière la Croix et la Gloire de Marc Couturier, aura en son cœur la relique, installée au centre d’une auréole avec des cabochons en verre sur fond d’or. Au sol, une pierre noire d’un côté évoquant le tombeau et une pierre blanche de l’autre évoquant la résurrection.
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Le chœur Harpa Dei, qui interprète régulièrement de magnifiques hymnes chrétiens, a mis en ligne une bouleversante version d'une chanson apprise d'un prêtre chinois, et dédiée à Notre Dame de Chine. Une belle occasion de prier pour les tous les chrétiens persécutés dans le monde.
C’est un très beau clip qu’ont mis en ligne le chœur Harpa Dei, composé de quatre frère et sœurs,qui interprètent des chants sacrés issus de diverses traditions et les partagent sur leur chaine YouTube. Cette fois, il s’agit d’un chant en chinois, à la mélodie très pure, qui s’adresse à Notre Dame de Chine.
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Dans son ouvrage "La joie des petites choses" (Salvator), Anselm Grün, moine bénédictin de l’abbaye de Münsterschwarzach (Bavière), invite à éprouver une juste et bonne satisfaction à l’égard de sa propre vie.
« Être content de son sort, voilà la plus grande des richesses », dit le proverbe. Un trésor difficile à envisager lorsque les épreuves s’enchaînent ou lorsque nous sommes un éternel insatisfait. Cependant, il existe bel et bien un chemin pour accéder à la paix intérieure et goûter à la joie des humbles. À la croisée de la psychologie et de la spiritualité, Anselm Grün fournit de bonnes pistes pour aimer sa vie telle qu’elle est. Entre la satisfaction somnolente du repu et celle, bruyante, du frimeur, se dessine la satisfaction qu’il nomme « reconnaissante ». La juste et bonne satisfaction de celui qui se contente de ce qu’il possède et qui rend grâce pour ce qui lui est donné. Qui ne se plaint pas, même si sa vie n’est pas toute rose. Un sentiment qui mène à la joie et au bonheur.
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Face au mal, la foi n’engage ni à l’affolement ni à l’indifférence, mais au combat spirituel. Car ce n’est pas plus en se révoltant qu’en souffrant passivement que l’on vient à bout du mal, rappelle l’essayiste Jean Duchesne, mais en sachant d’abord qu’il n’est pas totalement éliminable et ensuite qu’il ne sera pas à la fin le plus fort.
Il est difficile de nos jours de rester indifférent à tout ce qui se passe dans le monde. L’accumulation des mauvaises nouvelles, qu’il s’agisse de catastrophes, de violences, de menaces ou d’inhumanités délibérées, peut engendrer le pessimisme : comme si tout allait de plus en plus mal et menait inexorablement à une apocalypse à laquelle pratiquement rien ne survivrait, tous étant ainsi punis, en raison soit de leur aveuglement égoïste, soit de leur impuissance à prendre les mesures salutaires qui s’imposent. C’est au point que certains (de moins en moins rares) refusent d’avoir des enfants, parce que ceux-ci ne pourraient pas être heureux. Comment résister à ce défaitisme finalement plus suicidaire que résigné ?
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Aleteia vous propose la version intégrale de la Lettre apostolique Sublimitas et miseria hominis – Grandeur et misère de l’homme – du pape François, publiée ce 19 juin 2023 pour le quatrième centenaire de la naissance de Blaise Pascal.
Sublimitas et miseria hominis
Grandeur et misère de l’homme forment le paradoxe qui se trouve au coeur de la réflexion et du message de Blaise Pascal, né il y a quatre siècles, le 19 juin 1623, à Clermont, dans le centre de la France. Dès l’enfance et tout au long de sa vie, il a cherché la vérité. Avec la raison, il en a tracé les signes, notamment dans les domaines des mathématiques, de la géométrie, de la physique et de la philosophie. Très tôt, il a fait des découvertes extraordinaires, au point d’atteindre une renommée considérable. Mais il ne s’est pas arrêté là. Dans un siècle de grands progrès en de nombreux domaines scientifiques, accompagnés d’un esprit de scepticisme philosophique et religieux croissant, Blaise Pascal s’est montré un infatigable chercheur de vérité qui, en tant que tel, reste toujours “inquiet”, attiré par de nouveaux et futurs horizons.
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Vieillir fait peur, parfois. La vieillesse véhicule une image négative : celle d’une dégradation, d’une peine, d’une perte. Pourtant, il y a plusieurs raisons de la vivre comme une expérience positive et heureuse. Alors comment apprivoiser la vieillesse ? Douze réponses lumineuses des grands saints.
Qui n’a pas ressenti un jour cette angoisse paralysante de la vieillesse et de la mort ? Qui, la soixantaine passée, n’a pas constaté un jour avec inquiétude qu’il y a quelque chose qui cloche avec le genou dès que l’effort physique est un peu poussé ? Et lorsqu’on oublie de plus en plus fréquemment les titres des films ou les noms pourtant des bons amis ?
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Comment faire rentrer la jeunesse catholique de France dans les cases des sociologues ? Pour l’essayiste Thomas Belleil, qui vient de publier "Prêts, feu, aimez ! Plonger dans la radicalité" (Première partie), de Chartres ou de Paray-le-Monial, les pèlerins qui se préparent pour les JMJ de Lisbonne n’ont que faire des querelles de leurs anciens.
Accompagné d’un soleil radieux, le mois de mai nous a gratifié d’un vent de ferveur, soufflant sur la jeunesse catholique française. L’affluence record au traditionnel pèlerinage de Chartres, précédée d’une enquête sur le profil des jeunes JMJistes révèle que ferveur et attachement à la Tradition sont de mise dans la jeunesse chrétienne, cuvée 2023 ; pour une part, tout au moins. Devant ce constat, théologiens et sociologues de tout poil y vont de leur analyse… La jeunesse chrétienne serait-t-elle passéiste et réactionnaire ?
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Le père Charles Onomhoale Igechi, prêtre de l'archidiocèse de Benin City, dans le sud du Nigeria, a été tué le 7 juin par des hommes armés. Jeune prêtre, il allait fêter le premier anniversaire de son sacerdoce le 13 août 2023.
Le père Charles Onomhoale Igechi, prêtre de l’archidiocèse de Benin City dans le sud du Nigeria, a été abattu par des hommes armés alors qu’il regagnait son poste de vice-principal au collège St-Michael à Ikhueniro, dans l’Etat d’Edo. Sa dépouille a été retrouvée dans une rue de Ikpoba Hill, dans le même Etat, a annoncé Mgr Augustine Akubeze, archevêque de Bénin City.
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La "Gardienne des ténèbres", une statue de dix mètres de haut, est en cours de fabrication à Nantes. Commandée par le festival Hellfest, celui-ci souhaite l’installer à Clisson (Loire-Atlantique). Les collectivités locales sont invitées à participer au financement de celle qui "contrôlera le passage entre notre monde et celui de l’enfer".
Existant depuis une vingtaine d’années, et avec près de 420.000 festivaliers en 2022, le succès du festival de métal Hellfest ne se dément pas, et a lieu chaque année au mois de juin dans la ville de Clisson, située à une trentaine de kilomètres de Nantes. A tel point que les organisateurs du festival songent à le développer et pourquoi pas, à proposer des animations toute l’année. C’est dans cette idée qu’ils ont lancé la fabrication d’une créature de bois et d’acier imaginée par La Machine à Nantes.
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Comment agir sans craindre ni l'échec ni le jugement ? Comment ne plus avoir peur à l'idée du rejet ? Voici cinq exercices pour trouver sa place au milieu des autres.
« Depuis mon adolescence, j’ai beaucoup de mal à m’intégrer dans différents groupes de personnes », confie à Aleteia Laure, documentaliste parisienne de 31 ans. À l’époque, qu’il s’agisse d’un groupe de prière ou d’un cours de gym, à chaque rendez-vous, la jeune femme ressentait toujours la peur d’être rejetée. « J’ai même développé une sorte de réflexe : celui de croire qu’avant même d’avoir dit quoique ce soit, je serai déjà repérée et aussitôt rejetée. Aujourd’hui, je me suis installée à Paris pour commencer mon premier job. C’est à nouveau le même mécanisme qui se met en place. Je pense qu’il y a réellement quelque chose chez moi qui provoque un manque d’acceptation de la part des autres. Est-ce à cause de mon éducation trop « vieille école » ? Ma timidité ? Mon manque de confiance en moi ? Je ne sais pas, mais je suis coincée dans une spirale de plus en plus puissante qui me fait éviter toute rencontre possible », confie-t-elle convaincue que sans aide, elle n’y arrivera pas.
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L’épreuve du grand oral du baccalauréat démarre ce lundi 19 juin. Les grands timides peuvent se tourner vers le Seigneur pour lui demander la force et le courage d’ouvrir la bouche face aux examinateurs.
Bien entendu, implorer le Seigneur n’est pas une formule magique. Réclamer son aide n’exclut pas des révisions dignes de ce nom et un travail sérieux tout au long de l’année. Néanmoins, lorsqu’un étudiant a fait tout ce qui lui était possible de faire, et qu’il reste tétanisé, à cause de sa timidité, à l’idée de devoir parler durant vingt minutes, ce verset de la Bible peut lui être d’un grand réconfort.
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À l’occasion de la fête du Saint-Sacrement, célébrée cette année dimanche 11 juin, découvrez ces quatre mots qui résument le sacrifice de la messe et qui sont un excellent guide pour la vivre encore plus profondément.
La sainte Messe est une réalité si profonde et mystique que tous les livres de la terre ne seraient pas suffisants pour la décrire. Pourtant, quatre mots clés peuvent la résumer. Pendant la prière eucharistique, au moment de la consécration du pain, le prêtre dit :
« Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant : « Ceci est mon corps livré pour vous ». »
Ces mots sont donc prendre, rendre grâce, rompre et donner. Cela vaut la peine de réfléchir davantage sur ces mots pour mieux comprendre ce que l’Eucharistie dit de Jésus et ce qu’elle invite à faire. Cela vous aidera aussi à la vivre encore plus profondément.
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Envoyé par le pape François en Ukraine, le cardinal Zuppi a rencontré le président Zelenski. Pour notre chroniqueur Michel Cool, cette mission de déminage illustre bien la vocation diplomatique essentielle de l’Église catholique.
Le pape François a dépêché à Kiev, les 5 et 6 juin derniers, le cardinal Matteo Zuppi pour rencontrer des acteurs humanitaires et politiques de l’Ukraine en guerre, depuis son invasion par la Russie, dans la nuit du 23 au 24 février 2022. Le point d’orgue de sa visite a été sa rencontre avec Volodymyr Zelenski. Devant l’émissaire du Pape, le président ukrainien en kaki a défendu son plan de paix, présenté comme un préalable à tout règlement négocié du conflit : celui-ci exige le retrait des troupes russes de l’Ukraine, des réparations et des poursuites judiciaires contre les chefs militaires russes. « Comme la guerre se déroule sur notre territoire, l’algorithme pour parvenir à la paix ne peut être qu’ukrainien », soutient le chef d’État. Ses échanges avec le cardinal se sont déroulés en outre dans le contexte alarmant de la destruction du barrage HPP de Kakhovka dont les deux belligérants se renvoient la responsabilité. Le président Zelenski a une nouvelle fois dénoncé les « horribles crimes de guerre » commis par la Russie.
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Si de nombreux pèlerinages des mères de famille ont lieu toute l’année, les plus gros se déroulent ces 9, 10 et 11 juin, réunissant des milliers de femmes désireuses de confier leur famille au Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie.
Une organisation millimétrée pour anticiper ces trois jours sans « Maman » à la maison, un effort physique, des conditions souvent spartiates… Mais qu’est-ce qui peut bien pousser ces milliers de mères de famille à quitter leurs proches et leur confort pour marcher sous le soleil ou sous la pluie, durant ce mois de juin réputé pour être pourtant bien chargé ? Les réponses sont multiples et propres à chacune mais à les entendre, une vraie joie résulte de se retrouver entre femmes pour prier, marcher, partager et grandir dans sa vocation de femme, d’épouse et de mère.
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